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Evaluation Pratique par QCM / QROC / Cas Cliniques
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=> 10 QCM sur la Leptospirose => Sur la 04 ème page
=> 14 QCM sur la Microbiologie => Sur la 05 ème page
=> 06 QCM sur les AntiBiotiques => Sur la 06 ème page
=> 10 QCM sur les IST => Sur la 07 ème page
=> 09 QCM sur la rubéole => Sur la 08 ème page
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=> 08 QCM sur la tuberculose intestinale => Sur la 10 ème page
=> 26 QCM sur le tétanos => Sur la 11 ème page
=> 13 QCM sur La toxoplasmose => Sur la 13 ème page
=> 14 QCM sur Le VIH => Sur la 14 ème page
=> 11 QCM sur La Varicelle – Zona => Sur la 15 ème page
=> 11 QCM sur le choléra => Sur la 16 ème page
=> 09 QCM sur la diphtérie => Sur la 17 ème page
=> 19 QCM sur la fièvre typhoïde => Sur la 18 ème page
=> 11 QCM sur les hépatites virales => Sur la 20 ème page
=> 46 QCM sur les méningites => Sur la 22 ème page
=> 20 QCM sur le paludisme => Sur la 25 ème page
=> 15 QCM sur la Brucellose => Sur la 27 ème page
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=> DIAGEST infectio => Sur la 33 ème page
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=> 45 PolyQCM en infectiologie sur l’amibiase intestinale
1- Parmi les parasites suivants, quel est le seul responsable d’un syndrome dysentérique ?
A. Entamoeba coli
B. Endolimax nana
C. Giardia intestinalis
D. Entamoeba histolytica
2- Un syndrome dysentérique au cours d’une amibiase colique aiguë non compliqué comporte :
A. Des selles glaireuses
B. Des selles sanglantes
C. Un ténesme rectal
D. Une fièvre élevée
3- L’amibiase intestinale peut être contractée :
A. Par l’eau de boisson
B. Par voie transplacentaire
C. Par l’ingestion d’aliments crus
D. Chez les homosexuels par voie vénérienne.
4- Le diagnostic d’amibiase intestinale aiguë est retenu devant:
A. Un examen parasitologique des selles qui trouve toujours la forme kystique.
B. Un examen parasitologique des selles qui trouve toujours la forme végétative.
C. Une coproculture qui objective la présence de forme kystique.
D. Un syndrome dysentérique.
5- En cas d’amibiase intestinale aiguë :
A. Le début de la symptomatologie est progressif.
B. La fièvre est présente de façon quasi-constante.
C. L’état général peut s’altérer par déshydratation.
D. Il y’a poly-éxoneration afécale.
6-Les complications de l’amibiase intestinale aiguë :
A. La déshydratation.
B. L’amoebome fréquemment.
C. La perforation intestinale.
D. Une surinfection bactérienne.
7- Parmi les affirmations suivantes concernant l’amibiase intestinale, lesquelles sont vraies ?
A. L’amibiase intestinale est due à Entamoeba dispar.
B. Le mode de transmission habituel de l’amibiase est féco-oral.
C. La recto-sigmoïdo-scopie rencontre des ulcérations en coup d’ongle, et des abcès en boutons de chemise.
D. Le traitement probabiliste est licite devant une diarrhée au retour d’un pays d’endémie
8- La posologie du traitement de l’amibiase par le metronidazole chez l’adulte est de :
A. 1g/j pendant 7 jours.
B. 2g/j pendant 7 jours.
C. 200 mg/j pendant 7 jours.
D. 30 mg/kg/j pendant 7 jours.
9- Au cours de l’amibiase intestinale aiguë, le syndrome dysentérique associe : (la RJ)
A. Emissions de selles afécales.
B. Epreinte et ténesme
C. Un TR douloureux.
D. Toutes les réponses sont correctes.
10-Parmi les éléments suivants indiquez celui (1) qu’on utilise pour confirmer le diagnostic d’amibiase intestinale:
A. Aspects endoscopiques
B. clinique: syndrome dysentérique
C. présence d’hyperleucocytose à l’hémogramme
D. la parasitologie des selles
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11- Sont des complications de l’amibiase intestinale :
A. Colectasie
B. perforation colique
C. amoebome
D. la réponse A est fausse
12- Le syndrome dysentérique au cours d’une amibiase aiguë comporte:
A. les épreintes
B. les ténèsmes
C. les évacuations rectales anormales
D. la diarrhée
13- Devant un tableau dysentérique aigu, il faut évoquer une amibiase:
A. Même en l’absence d’E. histolytica dans les selles.
B. S’il y a dans les selles des formes minuta d’E. histolytica.
C. S’il y a dans les selles des kystes.
D. S’il y a dans les selles des salmonelles.
14- Dans l’amibiase intestinale aiguë, le syndrome dysentérique franc:
A. Est de début souvent brutal.
B. Est de début plus brutal que celui des dysenteries bacillaires.
C. Est précédé de symptômes à type d’anorexie, de dysepsie.
D. peut être provoqué par l’un des facteurs suivants: stress, modification de la flore intestinale.
15- Dans l’amibiase aiguë, les exonérations sont:
A. Faites de selles sanglantes.
B. Au nombre de 15 à 20 par jour.
C. Sont afécales.
D. Sont faites de glaires plus que de selles.
16- Parmi les signes cliniques suivants, quels sont ceux qui se rencontrent dans l'”amibiase chronique”?
A. Rectorragies.
B. Diarrhée au long cours.
C. Constipation au long cours.
D. Douleurs abdominales variées.
17- Parmi les modes évolutives de l’amibiase intestinale, l’une est fausse. Laquelle ?!
A. Forme aiguë grave
B. Forme chronique en absence de traitement
C. Forme tumorale(ameboeme)
D. dégéneréscence maligne
18- Le syndrome dysentérique impose la réalisation de:
A. coproculture et parasitologie des selles
B. TR
C. rectoscopie
D. coloscopie
E. Transit du grêle
19- Quels sont les deux localisations habituelles d’une amibiase digestive:
A. Rectosigmoïde
B. Colon transverse
C. Caecum
D. Grêle
20- Le syndrome dysentérique peut se voir en :
A. cas d’amibiase
B. cas de salpingo-ovarite ou la prostatite
C. cas de rectocolite hémorragique
D. post-radiothérapie
21- Concernant l’amibiase intestinale :
A. le dépistage et traitement des sujets « même asymptomatiques » est obligatoire. B. Elle simule le tableau de certaines maladies inflammatoires et tumorales. C. L’FNS peut montrer une anémie D. La Vs est toujours accélérée
22- L’amibiase intestinale aiguë :
A. Déclenche les poussées des MICI
B. Est traité par le Métronidazole (Flagyl ®)
C. A une issue fatale si elle se transforme en amibiase maligne
D. Nécessite un diagnostic sérologique à ce stade
23- Le syndrome dysentérique au cours de l’amibiase colique aiguë non compliqué comporte tous ces signes, sauf un, lequel :
A. des selles glaireuses
B. des selles sanglantes
C. un ténesme rectal
D. une fièvre élevée
24- Lesquels parmi ces éléments sont habituellement positifs en cas d’amoebome :
A. Biopsies (qui ramènent des amibes)
B. Sérologie amibienne
C. Examen des selles
D. Toutes les réponses sont justes
25- Concernant l’amibiase colique :
A. on conseille un amoebicide tissulaire
B. on conseille un amoebicide de contact
C. nécessite parfois une prise en charge médico-chirurgicale
D. le portage asymptomatique est traité par amoebicide de contact
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26/ Le syndrome dysentérique au cours de l’amibiase colique aiguë non compliqué comporte tous ces signes, sauf un, lequel :
A- Des selles glaireuses
B- Des selles sanglantes
C- Un ténesme rectal
D- Une fièvre élevée
27/ Les signes cliniques de l’amibiase hépatique :
A- Des douleurs de l’hypochondre droit.
B- Une fièvre élevée en plateau 39 -40°C.
C- Un ictère franc.
D- Une hépatomégalie dure pierreuse et douloureuse.
28/ La posologie du traitement de l’amibiase par le metronidazole chez l’adulte est de :
A- 1g/j pendant 7 jours.
B- 2g/j pendant 7 jours.
C- 200 mg/j pendant 7 jours.
D- 30 mg/kg/j pendant 7 jours.
29/ En cas d’amibiase hépatique:
A- Le diagnostic est retenu par l’échographie et la TDM.
B- La sérologie amibienne est généralement négative.
C- Il y’a une hyperleucocytose à PNN.
D- L’examen parasitologique des selles est souvent positif.
30/ Le traitement de l’amibiase intestinale aiguë
A- Comporte uniquement un antiamibien de contact
B- Est efficace en dose unique sur une seule journée
C- Nécessite la succession d’un antiamibien tissulaire puis d’un antiamibien de contact
D- Impose un contrôle systématique de la parasitologie des selles après le traitement
31/ Indiquez les amibes parasites de l’intestin mais pathogènes :
A- Entamoeba coli
B- Entamoeba hartmanni
C- Entamoeba histolytica
D- Endolimax nanus
32/ Entamoeba hartmanni :
A- Est un amibe non pathogène.
B- Peut être responsable des troubles digestives.
C- Peut être à l’originee d’une hépato- et spléno-mégalie.
D- Toutes les réponses suscitées sont justes.
33/ Les trophozoites de l’Entamoeba histolytica :
A- Sont responsables d’ulcérations de la paroi colique grâce à des facteurs d’adhésions.
B- Sont mobiles et sont entourés d’une épaisse coque.
C- Emettent des pseudopodes qui leur permettent de se déplacer et d’ingérer des bactéries.
D- Peuvent ingérer des hématies.
34/ Concernant les amibes parasites de l’homme, Indiquez la ou les propositions correctes :
A- C’est des protozoaires.
B- Seule Entamoeba histolytica est considérée comme pathogène.
C- Certaines amibes non pathogènes appartiennent à la flore colique normale.
D- Entamoeba histolytica peut exister sous plusieurs formes différentes.
35/ Parmi les propositions suivantes concernant les amibes parasites de l’homme, indiquer celle qui est exacte.
A- La présence dans les selles d’amibes non pathogènes n’est pas inquiétante.
B- Elles sont toutes considérées habituellement comme pathogènes.
C- Les amibes non parasites de l’homme ne peuvent être pathogènes.
D- Aucune de ces propositions n’est correcte.
36/ Les formes kystiques d’Entamoeba :
A- Sont responsables d’ulcérations de la paroi colique grâce à des facteurs d’adhésions.
B- Sont sphériques et sont entourés d’une épaisse coque.
C- Sont très résistants dans le milieu extérieur contrairement à la forme végétative.
D- Sont éliminés dans les selles des malades et des porteurs sains.
37/ L’amibiase peut être contractée par:
A- Ingestion d’aliments parasités.
B- Transmission placentaire.
C- Transfusion de dérivés sanguins.
D- Ingestion d’eau de boisson non filtrée.
38/ L’amibiase intestinale peut être contractée :
A- Par l’eau de boisson
B- Par voie transplacentaire
C- Par l’ingestion d’aliments crus
D- Chez les homosexuels par voie vénérienne.
39/ Au stade végétatif, l’Entamoeba histolytica peut se présenter sous deux formes:
A- La forme Eh. minuta qui présente un ectoplasme clair et un endoplasme granuleux contenant des bactéries phagocytées.
B- La forme Eh. histolytica dont l’endoplasme contient des bactéries phagocytées.
C- La forme Eh. histolytica dont l’endoplasme contient des hématies phagocytées.
D- La forme minuta est plus grande que la forme histolytica.
40/ Le diagnostic d’amibiase intestinale aiguë est retenu devant:
A- Un examen parasitologique des selles qui trouve toujours la forme kystique.
B- Un examen parasitologique des selles qui trouve toujours la forme végétative.
C- Une coproculture qui objective la présence de forme kystique.
D- Un syndrome dysentérique.
41/ En cas d’amibiase intestinale aiguë :
A- Le début de la symptomatologie est progressive.
B- La fièvre est présente de façon quasiconstante.
C- L’état général peut s’altérer par deshydratation.
D- Il y’a poly-éxoneration afécale.
42/ Au cours de l’amibiase intestinale aiguë, le syndrome dysentérique associe : (la RJ)
A- Emissions de selles afécales.
B- Epreinte et ténesme
C- Un TR douloureux.
D- Toutes les réponses sont correctes.
43/ Les complications de l’amibiase intestinale aiguë :
A- La déshydratation.
B- L’amoebome fréquemment.
C- La perforation intestinale.
D- Une surinfection bactérienne.
44/ L’amoebome se caractérise par: (la RF)
A- Une diarrhée sanglante.
B- Une AEG.
C- Un examen parasitologique des selles positif.
D- Un tableau qui simule le tableau de symptomatologie des CCR.
45/ Parmi les affirmations suivantes concernant l’amibiase intestinale, lesquelles sont vraies ?
L’amibiase intestinale est due à Entamoeba dispar.
Le mode de transmission habituel de l’amibiase est féco-oral.
La recto-sigmoïdo-scopie rencontre des ulcérations en coup d’ongle, et des abcès en boutons de chemise.
Le traitement probabiliste est licite devant une diarrhée au retour d’un pays d’endémie.
Les réponses :
1- D 2- ABC 3- ACD 4- AD 5- CD 6- ACD 7- BCD 8- BD 9- D 10- D 11- ABC 12- ABCD 13- ABC 14- ACD 15- ACD 16- BCD 17- D 18- ABC 19- AC 20- ABCD 21- ABC 22- ABC 23- D 24- AB 25- ABCD 26/ D 27/ ABD 28/ BD 29/ AC 30/ CD 31/ C 32/ A 33/ ACD 34/ ABD 35/ A 36/ BCD 37/ AD 38/ ACD 39/ AC 40/ AD 41/ CD 42/ D 43/ ACD 44/ C 45/ BCD
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=> 10 PolyQCM en infectiologie sur la leptospirose
1- La leptospirose:
⦁ provoque généralement une maladie auto-limitation
⦁ est causée par les bacilles à Gram positif
⦁ provoque une leucopénie
⦁ provoque la jaunisse
⦁ provoque la méningite
2- La période d’incubation de la leptospirose est:
⦁ 2 – 6 jours
⦁ 2 – 16 jours
⦁ 2 – 26 jours
⦁ 2 – 36 jours
3- Les propositions suivantes concernant la leptospirose sont vraies, sauf:
⦁ C’est une zoonose
⦁ L’homme est l’impasse bactérienne
⦁ L’homme est un hôte accidentel
⦁ Les poux agissent comme des réservoirs d’infection
4- La leptospirose humaine se produit rarement par : (CS)
⦁ contact direct avec l’urine des animaux contaminés
⦁ contact indirect avec l’urine des animaux contaminés
⦁ contact avec l’urine humaine contaminée
⦁ contact avec le sol contaminé
5- lequel de ces groupes est à risque accru de la leptospirose ?
⦁ nageurs
⦁ égoutiers
⦁ agriculteurs
⦁ tout ce qui précède
6- Les manifestations oculaires communes dans la leptospirose anictériques sont:
⦁ suffusion conjonctivale
⦁ douleur rétro-orbital
⦁ photophobie
⦁ tout ce qui précède
7- Au sujet des leptospires; quelles sont les propositions correctes ?!
⦁ les leptospires sont des spirochètes droites
⦁ les leptospires sont des aérobies-obligatoires
⦁ leurs température de croissance optimale est de 28-300 C
⦁ peuvent être teinté à l’aide carbolfuchsine de contraste
⦁ toutes les réponses sont vraies
8- Chez l’homme les leptospires peuvent être détectés dans:
⦁ urine
⦁ sang
⦁ liquide céphalo-rachidien
⦁ Seules A et B sont justes
⦁ Aucune proposition n’est vraie
9- L’antibiotique donné pour prévenir la leptospirose est (CS):
⦁ Doxycycline
⦁ Ampicilline
⦁ Pénicilline
⦁ Erythromycine
10- Les anticorps dans le sang peuvent être détectés après combien de jours de l’apparition des symptômes?
⦁ 1 – 2 jours
⦁ 5 – 7 jours
⦁ 9 – 11 jours
⦁ 13 – 15 jours
Les réponses :
1- ADE
2- C
3- D
4- C
5- D
6- D
7- BCD
8- ABC
9- A
10- B
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⦁ provoque généralement une maladie auto-limitation
⦁ est causée par les bacilles à Gram positif
⦁ provoque une leucopénie
⦁ provoque la jaunisse
⦁ provoque la méningite
⦁ 2 – 6 jours
⦁ 2 – 16 jours
⦁ 2 – 26 jours
⦁ 2 – 36 jours
⦁ C’est une zoonose
⦁ L’homme est l’impasse bactérienne
⦁ L’homme est un hôte accidentel
⦁ Les poux agissent comme des réservoirs d’infection
⦁ contact direct avec l’urine des animaux contaminés
⦁ contact indirect avec l’urine des animaux contaminés
⦁ contact avec l’urine humaine contaminée
⦁ contact avec le sol contaminé
⦁ nageurs
⦁ égoutiers
⦁ agriculteurs
⦁ tout ce qui précède
6- Les manifestations oculaires communes dans la leptospirose anictériques sont:
⦁ suffusion conjonctivale
⦁ douleur rétro-orbital
⦁ photophobie
⦁ tout ce qui précède
⦁ les leptospires sont des spirochètes droites
⦁ les leptospires sont des aérobies-obligatoires
⦁ leurs température de croissance optimale est de 28-300 C
⦁ peuvent être teinté à l’aide carbolfuchsine de contraste
⦁ toutes les réponses sont vraies
⦁ urine
⦁ sang
⦁ liquide céphalo-rachidien
⦁ Seules A et B sont justes
⦁ Aucune proposition n’est vraie
⦁ Doxycycline
⦁ Ampicilline
⦁ Pénicilline
⦁ Erythromycine
⦁ 1 – 2 jours
⦁ 5 – 7 jours
⦁ 9 – 11 jours
⦁ 13 – 15 jours
2- C
3- D
4- C
5- D
6- D
7- BCD
8- ABC
9- A
10- B
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=> 14 PolyQCM en infectiologie sur la Microbiologie
1. Quel est le caractère morphologique des staphylocoques?
A – Diplocoque Gram positif
B – Bâtonnet Gram Positif
C – Cocci en grappe, Gram négatif
D – Bâtonnet Gram négatif
E – Cocci en grappe, Gram positif
F – Bacille non colorable
2. Vibrio cholerae où se multiple t il plus spécialement chez l’homme?
A – dans la lumière intestinale
B – dans l’estomac
C – dans les voies biliaires
D – dans le colon proximal
E – dans les lymphatiques mésentériques
3. Salmonelloses quelles sont les modes possible de contamination?
A – ingestion d’eau de boisson ou d’aliments souillés.
B – infection nosocomiale par ex. lors d’une transfusion sanguine
C – transmission directe homme-homme, si le porteur prépare les aliments.
D – les mouches peuvent transporter passivement les salmonelles.
4. Quel est l’agent causal de la mélioïdose?
A – Capnocytophaga sp
B – Enterococcus sp
C – Pseudomonas pseudomallei (Burkholderia pseudomallei)
D – Neisseria sp
E –association de germes anaérobies
5. Shigellose : quels examens para-cliniques sont utiles au diagnostic
A – La méthode de choix est l’hémoculture en période fébrile.
B – La méthode de choix est la coproculture.
C – Le sérodiagnostic n’a pas d’intérêt.
D – Le test de leucocyte dans les selles (bleu de méthylène) est positif.
6. Escherichia coli peut infecter différents organes ; lesquels le sont fréquemment ?
A – Vésicule biliaire
B – Bronches
C – Péritoine
D – Jejuno-ileon
E – Voies urinaires
F – voies génitales
7. Staphylococcus aureus peut être responsable d’une intoxication alimentaire sévère.
Lequel parmi les mécanismes suivants est alors en cause ?
A – pénicillinase
B – entérotoxine
C – leucocidine
D – haemolysine
E – coagulase
8. Staphylococcus aureus peut être à l’origine des maladies suivantes :
(Cocher les bonnes réponses)
A – glomérulonéphrite aiguë
B – impétigo
C – rhumatisme articulaire aigu
D – érysipèle
E – charbon
F – syndrome de Lyell
9. L’infection est définie par :
A – l’invasion d’un ou plusieurs tissus par un micro-organisme avec réaction inflammatoire, avec ou sans symptômes.
B – l’invasion d’un ou plusieurs tissus par un micro-organisme avec réaction inflammatoire, avec symptômes.
C – la présence d’agent pathogène dans les tissus.
D – l’équilibre entre la virulence d’un agent pathogène et la résistance de l’hôte (défense immunitaire).
E – l’aptitude d’un germe à se développer chez l’hôte et y secréter des toxines
10. Le pouvoir pathogène des bactéries dépend de :
A – espèce bactérienne et souche du germe responsable de l’infection
B – sécrétion de toxines par le germe
C – synthèse d’enzymes par le germe
D – capacité du germe à se multiplier
E – antibiorésistance du germe
F – susceptibilité de l’individu hôte.
11. Qu’est-ce qu’un porteur sain ?
A – Un individu porteur d’un agent pathogène avec des manifestations cliniques discrètes.
B – Un individu porteur d’un agent pathogène sans manifestations cliniques.
C – Un individu qui présente comme seule manifestation une sérologie positive.
D – Un individu porteur d’un agent pathogène incapable de le transmettre
E – Un individu porteur d’une maladie génétique sans expression clinique apparente.
F – Un individu qui n’est porteur d’aucun agent pathogène.
12. Parmi les germes entériques suivants, l’un d’eux est responsable de dysenterie ; lequel ?
A – Giardia intestinalis
B – Shigella spp
C – Klebsiella spp
D – Vibrio cholerae
E – E.coli entérotoxinogène
13. Les endotoxines, comme les lipopolysaccharides LPS, qui sont libérés par les bactéries au cours de l’infection, sont :
A – inflammatogènes, pyrogènes et à tropisme vasculaire
B – pyrogènes et à tropisme vasculaire et cardiaque
C – inflammatogènes et à tropisme endocrinien (surrénales, cellules bêta pancréatiques)
D – à l’origine du choc septique.
14 .Laquelle des propositions ci-dessous définissent le commensalisme ?
A – Le microorganisme se nourrit de matières organiques sur un être vivant sans entraîner de troubles ou de spoliation chez son hôte.
B – Le microorganisme se nourrit de matières organiques ou végétales en décomposition dans le milieu extérieur
C – Microorganisme et hôte vivent en étroite collaboration avec bénéfice mutuel.
D – Aucune des propositions précédentes ne caractérise le commensalisme.
Les réponses : 1-E ; 2-A ; 3-ACD ; 4-C ; 5-BCD ; 6-ADE ; 7-B ; 8-BDF ; 9-AE ; 10-ABCD ; 11-BCE ; 12-B ; 13- AD ; 14-A.
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=> 06 PolyQCM en infectiologie sur les AntiBiotiques
1. Antibiotique 1 (AB)
A. C’est à l’origine une molécule de nature biologique produite par un micro-organisme
B. Qui à la différence des antiseptiques, est relativement peu toxique pour l’homme
C. Qui a un effet destructeur spécifique sur les bactéries exclusivement (ni les virus, ni les champignons, ni les parasites)
D. Qui agit par le biais des cytokines
E. Qui est capable de détruire un nombre limité de bactéries pathogènes pour l’homme
F. Tous les AB partagent le même mécanisme d’action sur la bactérie
G. Réduisent ou annulent la multiplication bactérienne sans tuer véritablement la bactérie, cette dernière action revenant à l’immunité
H. Tous les antibiotiques sont susceptibles d’induire des mécanismes adaptatifs de résistance chez les bactéries
2. Antibiotique 2
A. On exprime la puissance d’un AB par sa CMI
B. La CMI peut être calculée pour chaque type d’antibiotique vis à vis de chaque famille de bactéries
C. Elle peut être mesurée simplement par l’antibiogramme grâce à la méthode des disques en mesurant le diamètre d’inhibition en culture sur gélose
D. Sa mesure nécessite des techniques complexes
E. La CMI d’un AB vis à vis d’un germe donné est stable dans le temps et dans l’espace
3. Antibiotiques 3
A. L’absorption digestive des AB est variable selon les personnes
B. La diffusion des AB est variable selon les tissus
C. L’os, le SNC, l’œil, la prostate, la peau sont des organes mal pénétrés par les AB
D. L’association de 2 AB produit toujours un renforcement mutuel et augmente leur puissance et leur diffusion
E. En cas d’infection sévère, c’est toujours une association d’AB qui est recommandée
4. Antibiotiques 4
A. Les quinolones et les cyclines sont contrindiquées chez l’enfant
B. Une majorité d’AB courants est contrindiquée en cas de grossesse sauf les betalactamines et les macrolides
C. La marge ou index thérapeutique est la différence entre le seuil d’activité et le seuil toxique
D. La marge ou index thérapeutique des aminosides est large
E. Aminosides et quinolones ont une faible puissance et vitesse de bactéricide
F. Les céphalosporines ont un large spectre antibactérien
G. Chloramphénicol et macrolides sont bactériostatiques
5. Antibiotiques 5. Le mauvais usage des AB consiste à :
A. prescrire trop d’antibiotiques en général
B. prescrire de façon symptomatique, par ex en cas de fièvre « inexpliquée »
C. prescrire de préférence des AB à spectre étroit
D. prescrire de préférence des AB bon marché
E. utiliser systématiquement des AB en prévention après une intervention chirurgicale
F. utiliser fréquemment des AB en association
6. Antibiotiques 6. La résistance aux AB
A. est typiquement un problème des pays riches qui surconsomment les AB
B. est très répandue dans les pays en développement
C. est favorisée par les traitements trop courts
D. est favorisée par les traitements trop longs
E. est favorisée par la prescription médicale
F. est favorisée par la prise d’AB en auto-traitement
Les réponses :
1-ABEH ;
2- ABC ;
3-AB (COM : la proposition C est exacte sauf la peau ; D : il existe des effets antagonistes, la synergie antibiotique n’est donc pas la règle même si elle existe (pénicilline et aminosides sont synergiques par ex.) ; l’association d’AB n’est pas dictée par la sévérité de l’infection mais par le germe visé : ex. monothérapie en cas de méningococcémie, association en cas de tuberculose) ;
4-ABCFG ;
5-ABCEF ;
6-BCDF (COM. La R est très répandu dans les pays en développement à cause des traitements écourtés, sous dosés (pour raisons économiques), des médicaments contrefaits et des auto-traitements (accès libre à tous les médicaments).
####SIKI####
=> 10 PolyQCM sur les Infections Sexsuellement Transmisibles
1- Quelles sont les affirmations exactes concernant le germe de la syphilis ?
⦁ C’est un petit diplocoque gram positif
⦁ C’est le treponema pallidum
⦁ Il est cultivable sur milieux usuels
⦁ Il est hélicoïdal et très mobile
⦁ Toutes les réponses sont fausses
2- Parmi les signes cliniques de la syphilis secondaire, quelles propositions sont exactes ?
⦁ L’alopécie, dite en clairière, est irréversible
⦁ Les syphilides, de localisation souvent palmoplantaire, sont très contagieuses
⦁ Les syphilides peuvent laisser des cicatrices dyschromiques
⦁ La roséole syphilitique est très prurigineuse, contrairement aux syphilides
⦁ Les syphilides peuvent toucher les sillons nasogéniens et donner un aspect de dermite séborrhéique
3- Quelles affirmations sont exactes à propos des sérologies syphilitiques ?
⦁ Le TPHA est spécifique des tréponématoses
⦁ Le FTA est spécifique du treponema pallidum
⦁ L’anticorps qui apparaît le plus précocement après contamination est le FTA
⦁ Le TPHA reste systématiquement positif à vie, même après une syphilis traitée
⦁ Le VDRL est peu spécifique mais sensible et quantitatif
4- Parmi les causes de VDRL positif, on trouve :
⦁ L’infection à VIH
⦁ La tuberculose
⦁ Une gammapathie monoclonale
⦁ Un cancer
⦁ Certains médicaments
5- Le diagnostic direct de syphilis :
⦁ Est nécessaire surtout à la phase primaire
⦁ Repose sur un prélèvement local après désinfection
⦁ Est réalisable sur produit de ponction ganglionnaire
⦁ Est réalisable sur prélèvement d’une érosion buccale suspecte
⦁ Est inutile à la phase secondaire (absence de tréponème)
6- Concernant les signes cliniques de l’urétrite gonococcique, quelles propositions sont exactes ?
⦁ Elle est le plus souvent asymptomatique chez l’homme
⦁ Elle se caractérise essentiellement par d’intenses brûlures mictionnelles avec écoulement purulent urétral
⦁ Le scrotum est inflammatoire et douloureux au cordon
⦁ Il faut réaliser un toucher rectal
⦁ L’urétrite gonococcique n’existe pas chez la femme
7- À propos de Neisseria gonorrhoea, quelles propositions sont exactes ?
⦁ C’est un diplocoque encapsulé Gram positif
⦁ C’est un germe présent dans l’environnement
⦁ Il est résistant aux quinolones dans 30 % des cas
⦁ Il est, dans 20 % des cas environ, associé à une infection à Chlamydia trachomatis
⦁ Il est traité en première intention par une céphalosporine de 3e génération
8- À propos de l’infection disséminée à gonocoque, quelles propositions sont exactes ?
⦁ Elle donne une arthrite réactionnelle aseptique
⦁ Les épanchements articulaires et les pustules sont purulents
⦁ C’est une cause de ténosynovite des extenseurs
⦁ Elle répond au traitement minute adapté
⦁ Toutes les réponses sont vraies
9- Concernant l’arthrite réactionnelle à Chlamydia, quelles propositions sont exactes ?
⦁ Le syndrome de Fiessinger-Leroy-Reiter touche surtout la femme
⦁ Il est associé préférentiellement au HLA B 27
⦁ Il associe arthrite réactionnelle, conjonctivite et lésions cutanées
⦁ Il peut évoluer pour son propre compte à distance de l’infection
10- À propos de l’infection génitale à Chlamydia trachomatis, quelles propositions sont exactes ?
⦁ Elle est le plus souvent asymptomatique chez la femme
⦁ Elle ne touche que la femme
⦁ Elle est une cause de stérilité
⦁ La cervicite s’accompagne de fièvre avec syndrome inflammatoire biologique
⦁ Je ne peux répondre car toutes les propositions sont incorrectes
Les réponses :
⦁ 1- BD
⦁ 2- BCE
⦁ 3- ACE
⦁ 4- ABCD
⦁ 5- AC
⦁ 6- BD
⦁ 7- CDE
⦁ 8- BC
⦁ 9- BCD
⦁ 10- AC
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⦁ C’est un petit diplocoque gram positif
⦁ C’est le treponema pallidum
⦁ Il est cultivable sur milieux usuels
⦁ Il est hélicoïdal et très mobile
⦁ Toutes les réponses sont fausses
2- Parmi les signes cliniques de la syphilis secondaire, quelles propositions sont exactes ?
⦁ L’alopécie, dite en clairière, est irréversible
⦁ Les syphilides, de localisation souvent palmoplantaire, sont très contagieuses
⦁ Les syphilides peuvent laisser des cicatrices dyschromiques
⦁ La roséole syphilitique est très prurigineuse, contrairement aux syphilides
⦁ Les syphilides peuvent toucher les sillons nasogéniens et donner un aspect de dermite séborrhéique
3- Quelles affirmations sont exactes à propos des sérologies syphilitiques ?
⦁ Le TPHA est spécifique des tréponématoses
⦁ Le FTA est spécifique du treponema pallidum
⦁ L’anticorps qui apparaît le plus précocement après contamination est le FTA
⦁ Le TPHA reste systématiquement positif à vie, même après une syphilis traitée
4- Parmi les causes de VDRL positif, on trouve :
⦁ L’infection à VIH
⦁ La tuberculose
⦁ Une gammapathie monoclonale
⦁ Un cancer
⦁ Certains médicaments
5- Le diagnostic direct de syphilis :
⦁ Est nécessaire surtout à la phase primaire
⦁ Repose sur un prélèvement local après désinfection
⦁ Est réalisable sur produit de ponction ganglionnaire
⦁ Est réalisable sur prélèvement d’une érosion buccale suspecte
⦁ Est inutile à la phase secondaire (absence de tréponème)
6- Concernant les signes cliniques de l’urétrite gonococcique, quelles propositions sont exactes ?
⦁ Elle est le plus souvent asymptomatique chez l’homme
⦁ Elle se caractérise essentiellement par d’intenses brûlures mictionnelles avec écoulement purulent urétral
⦁ Le scrotum est inflammatoire et douloureux au cordon
⦁ Il faut réaliser un toucher rectal
⦁ L’urétrite gonococcique n’existe pas chez la femme
7- À propos de Neisseria gonorrhoea, quelles propositions sont exactes ?
⦁ C’est un diplocoque encapsulé Gram positif
⦁ C’est un germe présent dans l’environnement
⦁ Il est résistant aux quinolones dans 30 % des cas
⦁ Il est, dans 20 % des cas environ, associé à une infection à Chlamydia trachomatis
⦁ Il est traité en première intention par une céphalosporine de 3e génération
8- À propos de l’infection disséminée à gonocoque, quelles propositions sont exactes ?
⦁ Elle donne une arthrite réactionnelle aseptique
⦁ Les épanchements articulaires et les pustules sont purulents
⦁ C’est une cause de ténosynovite des extenseurs
⦁ Elle répond au traitement minute adapté
⦁ Toutes les réponses sont vraies
9- Concernant l’arthrite réactionnelle à Chlamydia, quelles propositions sont exactes ?
⦁ Le syndrome de Fiessinger-Leroy-Reiter touche surtout la femme
⦁ Il est associé préférentiellement au HLA B 27
⦁ Il associe arthrite réactionnelle, conjonctivite et lésions cutanées
⦁ Il peut évoluer pour son propre compte à distance de l’infection
⦁ Elle est le plus souvent asymptomatique chez la femme
⦁ Elle ne touche que la femme
⦁ Elle est une cause de stérilité
⦁ La cervicite s’accompagne de fièvre avec syndrome inflammatoire biologique
⦁ Je ne peux répondre car toutes les propositions sont incorrectes
⦁ 1- BD
⦁ 2- BCE
⦁ 3- ACE
⦁ 4- ABCD
⦁ 5- AC
⦁ 6- BD
⦁ 7- CDE
⦁ 8- BC
⦁ 9- BCD
⦁ 10- AC
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=> 09 PolyQCM en infectiologie sur la rubéole
1/ La vaccination contre la rubéole est: La RF
A – Souvent associée à la vaccination contre la rougeole et les oreillons
B – Recommandée à partir de 12 mois
C – Recommandée pour les filles seulement
D – Refaite entre 13 et 24 mois
E – Proposée aux jeunes femmes non vaccinées
2/ Vaccin(s) vivant(s) :
A – le vaccin antivaricelle
B – le vaccin antihépatite B
C – le vaccin antirubéoleux
3/ Le virus de la rubéole est un
A – Togaviridae
B – Paramyxoviridae
C – Alphavirus
D – Rubivirus
E – Pacivirus
4/ Indiquez le virus qui peut provoquer une dysgénésie oculaire congénitale après infection chez la femme enceinte :
A – virus grippal,
B – poliovirus,
C – virus ourlien,
D – virus de la rubéole,
E – virus de la rougeole.
5/ Les adénopathies dans la rubéole présentent les caractéristiques suivantes :
A – Précédent l’éruption d’une semaine
B – Peuvent persister plusieurs semaines après l’éruption
C – Prédominent dans les aires : sous occipitale, cervicale, postérieure et épitrochléennes
D – Leur diamètre est toujours supérieur à 1 cm
E – Peuvent être douloureuses lors de l’éruption
6/ Les formes cliniques de la rubéole sont variées ; relevez la plus fréquente :
A – Forme inapparente
B – Forme avec polyarthrite des extrémités
C – Forme avec purpura thrombopénique
D – Forme avec méningo-encéphalite
E – Forme avec fièvre supérieure à 39°
7/ La rubéole congénitale entraîne toutes ces complications, sauf une. Laquelle ?
A – Cataracte
B – Hypotrophie foetale
C – Surdité
D – Malformation urinaire
E – Malformation cardiaque
8/ Le vaccin antirubéoleux :
A – n’est indiqué que chez les adolescentes
B – nécessite une seule injection
C – n’est le plus souvent pas suivi de réactions adverses
D – nécessite un rappel 1 an plus tard
E – est un vaccin vivant atténué
9/ Quelles sont les propositions exactes ?
A – en cas de rubéole maternelle au cours du 1er trimestre de la grossesse, le risque de transmission du virus à l’embryon ou au fœtus est très faible
B – même en cas de transmission du virus, les malformations ne surviennent que dans 5% des cas
C – la rubéole peut être à l’origine d’une cataracte congénitale
D – la rubéole peut être à l’origine d’une surdité congénitale
E – la rubéole peut être à l’origine de malformations cardiaques
Les réponses : 1/ C 2/ AC 3/ AD 4/ D 5/ ABCE 6/ D 7/ D 8/ BCE 9/ CDE
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=> 15 PolyQCM en infectiologie sur les sepsis à BGN
1/ Les SBGN sont :
Dues à des décharges bactériennes massives et répétées de bacilles gram négatif dans le sang.
Une simple bactériémie.
C’est donc un sepsis à porte d’entrée lymphatique.
C’est donc un sepsis à porte d’entrée thrombophlébitique.
2/ Les sepsis à BGN:
représentent 20 % des septicémies
surviennent généralement au milieu hospitalier
sont due à l’E.Coli par exemple
sont due au pseudomonas par exemple
3/ Le Syndrome Inflammatoire de Réponse Systémique SIRS se traduit par:
une hyper ou hypo-thermie
une bradycardie
une hyperleucocytose
une leucopénie
4/ Le sepsis:
C’est un SIRS associé à la défaillance d’un ou de plusieurs organes.
C’est un SIRS associé à une infection définie.
C’est un SIRS avec hypotension qui se corrige par un remplissage.
C’est un SIRS avec hypotension persistante malgré un remplissage.
5/ La bactériémie :
C’est la présence de bactéries dans le sang.
Le bacille diphtérique en donne fréquemment.
Entérobacter peut donner une bactériémie
Tout les BGN peuvent provoquer une bactériémie voir même un sepsis.
6/ A propos du choc toxi-infectieux, il est exact que :
Il résulte d’une hypoxie tissulaire du fait d’une hypovascularisation
Il s’accompagne de troubles métaboliques et de troubles de la crase sanguine
Il se complique d’une insuffisance rénale fonctionnelle avec risque de passage à l’organicité
Il ne survient que dans les septicémies à bacilles gram négatif
7/ Un état de choc septique :
S’accompagne d’une vasoconstriction à la phase initiale
S’accompagne habituellement de thrombopénie
Peut justifier un traitement par corticoïdes
Peut s’accompagner d’une acidose métabolique
8/ Le traitement hémodynamique du choc septique peut comporter: (1RJ)
Un remplissage vasculaire sous surveillance de la pression veineuse centrale
l’utilisation de digitaliques
l’utilisation de dopamine à une dose initiale de 30 mg/kg/min
l’utilisation systématique de furosémide
9/ Parmi les signes suivants, indiquer celui (ceux) qui témoigne(nt) de l’installation d’un choc septique :
Frissons
Chute de la diurèse horaire inférieure à 30 ml/m2/heure
Marbrures cutanées
Augmentation du temps de recoloration sous-unguéale
10/ Un des signes suivants ne se rencontre pas dans un tableau d’état de choc septique :
Polypnée
Bradycardie
Oligurie
Marbrures
11/ Le traitement d’un Sepsis à BGN:
Comporte deux antiobiotique en association avant le résultat de l’antibiogramme.
C’est l’association de B-lactamine et d’aminoside pendant un moi.
Toujours traiter les porte d’entrée.
toutes les réponses suscitées sont juste.
12/ Tous les symptômes suivants doivent attirer l’attention sur l’éventualité d’un choc septique à sa phase hyper-kinétique, sauf un. Lequel :
Sensation de malaise
Marbrures
Angoisse
Trouble du comportement
13/ Quelle est la complication qui n’est pas rencontrée dans les septicémies à bacilles Gram négatifs :
Néphropathie tubulo-intersticielle aiguë
Purpura vésiculo-pustuleux des extrémités
Choc endo-toxinique
Coagulation-intravasculaire disséminée
14/ Concernant les septicémies à bacille gram négatif :
Les SBGN sont les plus fréquentes des septicémies.
Le choc septique est la complication la plus grave.
Une PE digestive ou urinaire est énéralement mise en évidence.
L’origine iatrogène de l’infection fait la gravité de l’affection.
15/ Les SBGN sont caractérisées par
Leur fréquence; 50% des septicémies.
Une seule porte d’entrée.
Un taux bas de mortalité.
Une complication redoutable.
Les réponses : 1/ AD 2/ BCD 3/ ACD 4/ B 5/ AC 6/ ABC 7/ BCD 8/ A 9/ BCD 10/ B 12/ D 13/ B 14/ ABCD 15/ AD
####SIKI####
=> 08 PolyQCM de infectiologie la tuberculose intestinale
1- Concernant la tuberculose intestinale :
A. on note la présence au niveau du tube digestif de Lactobacillus.
B. c’est une urgence diagnostique du fait du piège diagnostique avec la maladie de Crohn.
C. c’est une urgence thérapeutique car les lésions anciennes sont difficiles à traiter.
D. l’histologie identifie un granulome épithéliogigantocellulaire sans nécrose caséeuse.
E. b, c et d sont justes.
2- Parmi les organes suivants du tractus gastrointestinal lequel n’est pas affecté par la tuberculose?
A. estomac
B. duodénum
C. le jéjunum
D. foie et de la rate
E. Aucune de ces réponses
3- La transmission des bacilles tuberculeux dans le système gastro-intestinal se fait:
A. En avalant des crachats
B. Par la dissémination hématogène
C. Par la consommation de lait contaminé
D. Par extension de voisinage
E. Aucune de ces réponses
4- Quel organe est le plus souvent affecté de la tuberculose ?
A. estomac
B. duodénum
C. jéjunum
D. iléon terminal et caecum.
E. Colon
5- La tuberculose iléocæcal se présente avec:
A. Une douleur abdominale
B. De la diarrhée et / ou constipation
C. De la fièvre
D. Une perte de poids
6- Devant des ulcérations iléales récentes étendues, les principaux diagnostics sont :
A. L’amibiase intestinale
B. La maladie de Crohn
C. La tuberculose intestinale
D. La rectocolite hémorragique
7- Concernant la tuberculose digestive, on dit que la localisation iléo-cæcale est la plus fréquente du fait de :
A. L’abondance des tissus lymphoïdes à ce niveau.
B. La rareté des tissus lymphoïdes à ce niveau.
C. La stase physiologique.
D. La diminution du processus d’absorption à cet endroit.
E. L’augmentation du processus d’absorption à cet endroit.
8- En cas de tuberculose intestinale :
A. La zone de prédilection du BK est la zone iléocaecale
B. L’aspect ulcéro-hypertrophique est spécifique de l’atteinte tuberculeuse
C. Les ulcérations muqueuses sont circonférentielles, peu profondes à bords inclinés et détachés
D. La recherche d’autres localisations tuberculeuses est systématique
E. Le traitement antituberculeux agit sur les lésions infectieuses sans rôle préventif des rechutes
Les réponses : 1- BC 2- E 3- ABCD 4- D 5- ABCDE 6- BC 7- ACE 8- ACD
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=> 26 PolyQCM de infectiologie le tétanos
1/ Habituellement le tétanos se traduit par
A – Trismus + fièvre
B – Trismus cédant aux antiparkinsoniens injectables
C – Trismus unilatéral intermittent
D – Trismus + dysphagie
E – Trismus + diarrhée
2/ Dans le tétanos généralisé on note :
A – Un trismus
B – L’absence de vaccination correcte
C – Des réflexes tendineux vifs
D – Un signe de Babinski bilatéral
E – Une fièvre élevée d’emblée
3/ A propos du tétanos, il est exact que :
A – Clostridium tetani peut être isolé par hémoculture
B – Le symptôme le plus précoce est le trismus
C – Le dosage des anticorps antitétaniques permet d’affirmer le diagnostic
D – La fièvre est présente d’emblée
E – Il existe un risque de transmission lors des soins infirmiers
4/ Retenez la ou les proposition(s) exacte(s) concernant le tétanos:
A. Toxi-infection
B. Maladie immunisante
C. Trachéotomie systématique
D. Une fois le cap des paroxysmes passé, le risque de décès est nul
E. Vaccination contre-indiquée chez la femme enceinte
5/ Devant une plaie, la prophylaxie antitétanique chez un sujet vacciné depuis moins de 5 ans (certificats fournis) comporte obligatoirement :
A. L’injection de globulines antitétaniques d’origine humaine
B. L’injection d’anatoxine spécifique
C. L’injection de globulines antitétaniques d’origine équine
D. L’injection de globulines antitétaniques d’origine humaine et d’anatoxine spécifique E. Aucune des mesures citées ci-dessus
6/ Retenez la proposition exacte concernant le signe habituel de début du tétanos:
A. Fièvre
B. Trismus
C. Dyspnée
D. Opisthotonos
E. Diarrhée
7/ Parmi les signes suivants, quel est celui qui ne permet pas d’éliminer le diagnostic de tétanos devant un trismus?
A. Caractère douloureux
B. Présence d’une plaie cutanée
C. Dysphagie
D. L’existence d’une vaccination ancienne
E. Paralysie faciale
8/ L’action du germe, cause du tétanos, se fait selon une ou plusieurs modalités suivantes. Laquelle ou lesquelles?
A – Diffusion septicémique
B – Diffusion d’une exotoxine à tropisme nerveux
C – Diffusion d’une endotoxine libérée par lyse bactérienne
D – Diffusion d’une toxine agissant sur les muscles
E – Aucune d’entre elles
9/ Parmi les infections suivantes, lesquelles sont en général sans fièvre ?
A – choléra
B – leptospirose
C – Fièvre typhoide
D – tétanos
10/ 1RJ: La vaccination anti-tétanique:
A. Utilise des germes tués
B. N’est pas contre-indiquée par la grossesse
C. Pour rester efficace, doit faire l’objet de rappel tous les ans
D. Est immédiatement efficace, quelque soit l’état vaccinal antérieur E. Ne doit jamais être associée à la vaccination contre la coqueluche
11/ Un vacancier de 50 ans qui n’a aucun souvenir de ses vaccinations antérieures contre le tétanos, s’est blessé le pied avec une fourche, quelle prophylaxie spécifique doit être adoptée?
A. Vaccination seule
B. Séroprophylaxie seule
C. Chimioprophylaxie seule
D. Séroprophylaxie et vaccination
E. Chimioprophylaxie et vaccination
12/ Un agriculteur de 45 ans a une plaie minime de la main. Il a été correctement vacciné contre le tétanos au service militaire, à l’âge de 19 ans avec un rappel à 20 ans. Que faites-vous pour prévenir le tétanos?
A. Rien
B. Un rappel d’anatoxine
C. Un rappel d’anatoxine et une injection d’immunoglobulines humaines antitétaniques
D. Deux injections d’anatoxine à un mois d’intervalle E. Une injection d’immunoglobulines humaines antitétaniques
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13/ La vaccination contre le tétanos fait appel aux injections de :
A. Antitoxine
B. Anatoxine
C. Une toxine modifiée ayant perdu son caractère antigénique
D. Exotoxine
E. Une suspension de bacilles tués
14/ Parmi les caractères des contractures du tétanos, quel(s) est(sont) celui(ceux) qui est(sont) exact(s)?
A – Irréductibles
B – Indolores
C – Localisées uniquement à la face
D – Fébriles
E – Provoquées par certains gestes d’examens ou de traitement
15/ Devant un patient suspect de tétanos, quelle(s) attitude(s) adoptez-vous en tant que médecin généraliste en cabinet rural?
A – Injection de sérum antitétanique
B – Antibiothérapie
C – Prescription d’une thérapeutique décontracturante
D – Hospitalisation d’urgence
E – Prophylaxie de l’entourage par spiramycine
16/ Parmi les éléments suivants, quels sont ceux qui sont de mauvais pronostic dans le tétanos généralisé de l’adulte ?
A. Porte d’entrée : brûlures multiples
B. Incubation de 4 jours
C. Absence de fièvre
D. Extension rapide des contractures
E. Age supérieur à 70 ans
17/ Parmi les propositions suivantes concernant la prévention du tétanos, citer celle(s) qui est(sont) exacte(s)
A. L’injection d’anatoxine tétanique confère une immunité active
B. Une seule injection de sérum antitétanique donne une immunité passive immédiate
C. La vaccination antitétanique est obligatoire
D. Le vaccin antitétanique doit être injecté en intradermique
E. Après la primo-vaccination un rappel doit être effectué tous les 10 ans
18/ Parmi les catégories sociales suivantes, laquelle est (sont) la (les) plus exposée(s) au tétanos et qu’il faudra vacciner et revacciner en priorité ?
A. Les agriculteurs
B. Les jeunes ayant terminé leur service militaire
C. Les retraités vivant à la campagne
D. Les porteurs d’ulcères variqueux chroniques
E. Les personnes âgées
19/ L’anatoxine tétanique doit être prescrite pour:
A. La vaccination préventive des sujets sains
B. La protection immédiate d’un blessé non vacciné
C. Le traitement curatif d’un sujet atteint de tétanos
D. L’identification du tétanos chez un sujet suspect
E. La protection d’un blessé antérieurement vacciné depuis 3 ans
20/ Quel(s) élément(s) en face d’un trismus oriente(nt) vers le diagnostic de tétanos?
A. Incubation silencieuse de deux à dix jours après une blessure
B. D’abord simple gène, à peine douloureuse à la mastication et à l’ouverture de la bouche
C. Puis contracture permanente, douloureuse, bilatérale
D. La vaccination anti-tétanique ancienne ou inexistante
E. Les examens ORL et Stomatologiques ne retrouvent pas de cause locale
21- Concernant le Clostridium tetani, quelle(s) proposition(s) est (sont) exacte(s) ?
⦁ C’est un bacille gram positif
⦁ Il est producteur d’une exotoxine neurotrope
⦁ C’est un germe commensal de la flore digestive
⦁ La voie respiratoire est le mode de contamination principal
⦁ Il est anaérobie strict
22- Le tétanos est une maladie :
⦁ à déclaration obligatoire
⦁ à transmission interhumaine directe
⦁ définitivement immunisante
⦁ en voie de disparition
⦁ qui agit par une toxine neurotrope du C.Tetani.
23- Le vaccin antitétanique :
⦁ est un vaccin vivant atténué
⦁ est obligatoire
⦁ est contre-indiqué chez l’immunodéprimé
⦁ est contre-indiqué chez la femme enceinte
⦁ procure aux individus une immunité durable à vie, et ne nécessitant donc aucun rappel vaccinal.
24- Comment pose-t-on le diagnostic de tétanos ?
⦁ Sérologie IgG et IgM anti-toxine tétanique
⦁ Prélèvement bactériologique de la plaie souillée
⦁ Biopsie neuromusculaire
⦁ Diagnostic clinique
⦁ Aucun des éléments suscités n’est juste
25- Parmi les éléments suivants, lequel (lesquels) est (sont) un (des) signe(s) du tétanos ?
⦁ Trismus irréductible, parfois douloureux, en contexte fébrile
⦁ Contracture du visage : faciès sardonique
⦁ Syndrome dysautonomique
⦁ Sepsis sévère
⦁ Contractures généralisées
26- Quelle est la prise en charge devant une plaie aux urgences ?
⦁ Prophylaxie systématique quelle que soit la date du dernier rappel vaccinal
⦁ Pas de prophylaxie en cas de statut vaccinal à jour avec dernier rappel datant de moins de 5 ans
⦁ La prophylaxie repose uniquement sur l’administration d’immunoglobulines antitétaniques humaines
⦁ On peut administrer des immunoglobulines antitétaniques humaines en cas de plaie importante ou souillée, particulièrement tétanigène
⦁ Les propositions A, B, C, et D sont vraies
Les réponses : 1/ D 2/ ABC 3/ B 4/ A 5/ E 6/ B 7/ D 8/ B 9/ AD 10/ B 11/ D 12/ B 13/ B 14/ AE 15/ D 16/ ABDE 17/ ABC 18/ ACDE 19/ AC 20/ ABCDE 21/ ABE 22/ AE 23/ B 24/ D 25/ BCE 26- BD
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=> 13 PolyQCM en infectiologie sur La toxoplasmose
1/La toxoplasmose est une maladie:
due à un protozoaire rhizopode
cosmopolite
donnant un syndrome mononucléosique
2/ En pratique courante, le diagnostic de la toxoplasmose chez l’adolescent non immuno-déprimé est basé sur:
la mise en évidence du parasite
les signes cliniques la mise en évidence d’anticorps
3/ Lors d’une toxoplasmose chez un sujet jeune, on observe principalement:
une infection d’allure grippale
de la fièvre
une angine
4/ Chez la femme enceinte, le diagnostic sérologique de la toxoplasmose doit comporter obligatoirement:
une méthode d’agglutination directe du parasite
le dosage des IgG
la recherche des IgM
5/ La présence d’IgG et d’IgM antitoxoplasmique chez le nouveau né, prouve:
que la mère a déclaré une toxoplasmose et les anticorps présents chez l’enfant sont tous d’origine maternelle et ont passé la barrière placentaire
que l’enfant a déclaré une toxoplasmose in utero
qu’il faut suivre l’évolution des anticorps chez l’enfant et rechercher les signes cliniques
6/ Le traitement de la toxoplasmose est indispensable chez:
chez le nouveau né, ne présentant pas d’anticorps et né d’une mère ayant déclaré une toxoplasmose au cours de la grossesse
la femme enceinte présentant un taux d’anticorps inférieur à 50 UI/m l(technique IFI) et la présence d’IgM
chez le nouveau né présentant des IgM antitoxoplasmique à la naissance
7/ La toxoplasmose se contracte le plus souvent par:
l’eau de boisson
la viande de bœuf crue
Ingestion de végétaux crus
8/ Concernant la toxoplasmose congénitale :
L’infection fœtale résulte classiquement du passage du toxoplasme par voie transplacentaire
Elle peut entraîner des atteintes cérébrales chez l’enfant
Il faut que la primo infestation de la mère ait lieu au cours de la grossesse
9- La toxoplasmose cérébrale :
Est spécifique de l’immunodéprimé
Est une primo-infection
Est plus fréquente chez la femme enceinte
Témoigne d’une contamination animale
Est spécifique d’une contamination oculaire
10- La toxoplasmose :
est une protozoose spécifique de l’homme
peut provoquer des infections disséminées chez un patient immunodéprimé
peut provoquer une choriorétinite
engendre chez l’homme une immunité définitive après un premier contact avec le parasite
aucune mesure prophylactique n’est réellement efficace
11- Parmi ces médicaments, lesquels peuvent être prescrits chez la femme enceinte en cas d’infection fœtale par Toxoplasma gondii ?
Biltricide® (praziquantel)
Rovamycine® (spiramycine)
Fansidar® (pyriméthamine + sulfadoxine)
Bactrim® (triméthoprime + sulfaméthoxazole)
Augmentin® (amoxicilline + acide clavulanique)
12- Chez une femme enceinte infestée par Toxoplasma gondii, le risque de contamination fœtale :
est maximum entre la conception et la 8ème semaine de grossesse
est maximum entre la 10ème et la 24ème semaine de grossesse
est maximum après le 24ème semaine de grossesse
est nul si la femme est immunisée
est réduit par la prise de Rovamycine (Spiramycine)
13- La toxoplasmose congénitale survient chez l’enfant dont la mère a été contaminée en cours de grossesse
En mangeant des laitages
En mangeant des légumes crus
En mangeant de la viande peu cuite
En ayant des contacts avec des bovins
En ayant des contacts avec des enfants présentant la maladie
Les réponses : 9/ a 10/ bcd 11/ bc 12/ cde 13/ bc
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=> 14 PolyQCM en infectiologie sur Le VIH
1- Quels sont les éléments, isolés ou associés, qui indiquent la mise en route d’un traitement antiviral dirigé contre le V.I.H. ?
- infection pulmonaire à Pneumocystis carinii
- herpès labial
- antigénémie VIH élevée
- lymphocytes CD4 < 500/mm3
- VS > 70 mm
2- Parmi les items suivants, lequel est pris en compte pour initier un premier traitement antirétroviral, chez un patient infecté par le virus de l’immunodéficience humaine (V.I.H.) ?
- quantité des anticorps anti-VIH
- importance de la charge virale
- ancienneté de la séropositivité
- mode de contamination par le VIH
- niveau de la ß2 microglobuline
3- La prophylaxie de la pneumocystose dans le Sida fait appel à :
- Bactrim(r)
- Erythromycine
- Vibramycine(r)
- Pénicilline
- Gentamycine
4- Quelle est la molécule utilisée pour la prophylaxie des infections à Pneumocystis et à Toxoplasme, chez un patient infecté par le VIH ?
- Cotrimoxazole (Bactrim)
- Amoxicilline
- Cycline (Vibramycine)
- Fluoroquinolone
- Macrolide
5- Quelle est l’affirmation exacte concernant le dépistage de l’infection HIV ?
- le dépistage se pratique à l’aide d’une seule technique immunoenzymatique
- un dépistage positif doit être obligatoirement confirmé par un test dit de validation
- le diagnostic d’une infection chez le nouveau-né de mère séropositive est effectué par une recherche d’anticorps anti HIV1 à la naissance
- la recherche de l’antigène P24 est obligatoire après un dépistage positif chez l’adulte
- il n’existe pas de faux positif dans les tests de dépistage HIV
6- Parmi les critères suivants, lequel est pertinent pour indiquer un traitement antirétroviral chez un patient séropositif pour le VIH, en corrélation avec la charge virale ?
- CD4 < 500/mm
- CRP > 30
- Lymphocytes totaux < 3000/mm*
- Polynucléaires < 1400/mm*
- VS > 50
7- Chez un patient VIH positif, quels sont les critères qui vont indiquer la mise en route d’un traitement anti retroviral ?
- nombre de CD4
- CRP
- charge virale
- infection opportuniste
- âge du patient
8- Quels sont les éléments, isolés ou associés, qui indiquent la mise en route d’un traitement antiviral dirigé contre le V.I.H. ?
- infection pulmonaire à Pneumocystis carinii
- herpès labial
- antigénémie VIH élevée
- lymphocytes CD4 < 500/mm
- VS > 70 mm
9- Quelles sont les affirmations exactes concernant le suivi virologique de l’infection HIV chez l’adulte ?
- la mesure de la charge virale dans le plasma (quantification de l’ARN viral) est indispensable au suivi des patients infectés
- les techniques de mesure de la charge virale par amplification moléculaire peuvent être gênées du fait de la grande variabilité du virus
- il existe plusieurs génotypes HIV dans le monde avec des prédominances géographiques
- le dépistage des souches virales résistantes aux antiviraux n’est possible qu’en culture (antivirogramme)
- une augmentation transitoire de la charge virale HIV peut survenir au décours d’une infection opportuniste
10- Le traitement par trithérapie du sida :
a- Permet d’éradiquer le virus
b- Reconstitue les défenses immunitaires et élimine de nombreuses maladies opportunistes
c- Rend le porteur du VIH non contagieux
11- Parmi les liquides biologiques suivants, quels sont ceux dans lesquels la concentration virale peut être suffisamment élevée pour entraîner un risque de contamination par le VIH :
a- Le sperme
b- Les larmes
c- La salive
d- Le sang
e- L’urine
12- L’épidémie de sida dans le monde est due à :
a- Un seul virus, le VIH (virus de l’immunodéficience humaine)
b- Deux virus (VIH-1 et VIH -2) dont l’un est surtout répandu en Afrique de l’Ouest
13- La prévention de l’épidémie est possible puisque l’on connaît les voies de transmission de l’infection. Ce sont :
a- Les aliments, comme pour l’hépatite
b- L’air et les sécrétions buccales, comme pour la grippe
c- Les piqûres d’insectes, comme pour le paludisme
d- Le sang et les sécrétions sexuelles, comme pour l’hépatite B
e- L’eau, comme pour la poliomyélite
14- Le virus HIV, responsable du SIDA :
a- Est stable à 56°
b- Est détruit par l’alcool et l’eau de Javel
c- Possède une enveloppe
d- Infecte exclusivement les Iymphocytes T4 (CD 4)
e- N’est pas transmis de la mère à l’enfant
Les réponses :
1/ acd 2/ b 3/ a 4/ a 5/ b 6/ a 7/ acd 8/ acd 9/ abce 10/ b 11/ ad 12/ b 13/ d 14 / bc
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- infection pulmonaire à Pneumocystis carinii
- herpès labial
- antigénémie VIH élevée
- lymphocytes CD4 < 500/mm3
- VS > 70 mm
- quantité des anticorps anti-VIH
- importance de la charge virale
- ancienneté de la séropositivité
- mode de contamination par le VIH
- niveau de la ß2 microglobuline
- Bactrim(r)
- Erythromycine
- Vibramycine(r)
- Pénicilline
- Gentamycine
- Cotrimoxazole (Bactrim)
- Amoxicilline
- Cycline (Vibramycine)
- Fluoroquinolone
- Macrolide
- le dépistage se pratique à l’aide d’une seule technique immunoenzymatique
- un dépistage positif doit être obligatoirement confirmé par un test dit de validation
- le diagnostic d’une infection chez le nouveau-né de mère séropositive est effectué par une recherche d’anticorps anti HIV1 à la naissance
- la recherche de l’antigène P24 est obligatoire après un dépistage positif chez l’adulte
- il n’existe pas de faux positif dans les tests de dépistage HIV
- CD4 < 500/mm
- CRP > 30
- Lymphocytes totaux < 3000/mm*
- Polynucléaires < 1400/mm*
- VS > 50
- nombre de CD4
- CRP
- charge virale
- infection opportuniste
- âge du patient
- infection pulmonaire à Pneumocystis carinii
- herpès labial
- antigénémie VIH élevée
- lymphocytes CD4 < 500/mm
- VS > 70 mm
- la mesure de la charge virale dans le plasma (quantification de l’ARN viral) est indispensable au suivi des patients infectés
- les techniques de mesure de la charge virale par amplification moléculaire peuvent être gênées du fait de la grande variabilité du virus
- il existe plusieurs génotypes HIV dans le monde avec des prédominances géographiques
- le dépistage des souches virales résistantes aux antiviraux n’est possible qu’en culture (antivirogramme)
- une augmentation transitoire de la charge virale HIV peut survenir au décours d’une infection opportuniste
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=> 11 PolyQCM en infectiologie sur La Varicelle – Zona
1/ la varicelle est:
A. une primo-infection à VZV
B. le contage est tjrs direct par gouttelette de salive
C. n’est pas prurigineuse
D. l’éruption est diffuse
2/ La varicelle est:
A. une primo-infection à VZV
B. la réactivation du VZV
C. l’éruption est vésiculeuse puis bulleuse en bouquet unilatéral
D. l’éruption est vésiculeuse et croûteuse diffuse.
3/ Critère d’hospitalisation d’un sujet adulte présentant une varicelle : 1RJ
A. Toux quinteuse avec dyspnée et polypnée
B. Température à 38°C
C. Prurit généralisé
D. Eruption vésiculeuse
E. Adp cervico-occipitales
4/ La complication la plus fréquente de la varicelle :
A. Une paralysie de la VIIIe paire
B. Une myélite
C. Une ataxie cérébelleuse
5/ Devant ce tableau évocateur d’une varicelle retenez la ou les mesure(s) à prendre éventuellement :
A. Traitement anti prurigineux
B. Eviction scolaire pendant 40 jours
C. Traitement antibiotique par un macrolide
D. Application d’une solution antiseptique sur les lésions les plus inflammatoires
E. Immunoglobulines à l’entourage
6/ Vous examinez un enfant porteur depuis 5 jours d’une éruption vésiculeuse généralisée. Parmi les éléments diagnostiques suivants, quel(s) est (sont) celui(ceux) en faveur de la varicelle ?
A. Présence de vésicules dans la région périlabiale
B. Présence des éléments éruptifs sur le cuir chevelu
C. Prédominance des éléments sur les parties découvertes
D. Coexistence d’éléments d’âge différent
7/ La durée approximative de l’incubation de la varicelle est de :
A. 3 à 5 jours
B. 8 à 10 jours
C. 14 à 16 jours
D. 20 à 25 jours
E. 1 mois
8/ Les complications possibles de la varicelle sont la ou les suivante(s) :
A. Cérébellite aiguë
B. Pneumonie avec hypoxie sévère
C. Syndrome hémorragique
D. Embryopathie
E. Algies post varicelleuse
9/ La gravité du zona tient à de multiples facteurs. Parmi les circonstances dapparition de cette maladie, citez celle(s) qui peu(ven)t constituer un facteur aggravant:
A. Jeune âge du patient
B. Existence antérieure dune varicelle banale
C. Notion dune vaccination antitétanique récente
D. Malade sous corticothérapie au long cours, en traitement dune collagénose
E. Survenue au cours dune leucose aiguè lymphoblastique
10/ Concernant le zona :
A. L’éruption est habituellement précédée de douleurs dans le même territoire
B. La localisation péribuccale ou génitale récidivante est évocatrice du diagnostic de zona
C. Les séquelles douloureuses sont à craindre surtout chez le sujet âgé
D. L’éruption s’accompagne de virémie
E. L’éruption est bilatérale, dans les métamères symétriques
11/ Concernant la varicelle :
A. l’antibiothérapie est systématique pour éviter les surinfections
B. l’éviction scolaire est obligatoire
C. la prévention repose sur la vaccination obligatoire couplée avec le ROR (rougeole, oreillons et rubéole) chez tous les enfants
D. la prescription d’anti-histaminiques est recommandée
Les réponses : 1/ AD 2/ AD 3/ A 4/ C 5/ AD 6/ BD 7/ C 8/ ABCD 9/ DE 10/ AC 11/ BD
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=> 15 PolyQCM en infectiologie sur le infection staphylococciques
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=> 30 PolyQCM en infectiologie sur les Infections streptococciques
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=> 15 PolyQCM en infectiologie sur la rougeole
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