Cours PDF Détaillé : Crise Hypertensive et Hypertension Artérielle Essentielle Homéopathie
Concours Résidanat et Préparation ECN
Diagnostic
-
Defintion
-
Crise aiguë hypertensive = urgence hypertensive + poussée hypertensive
-
Urgences hypertensives sont rares et sont définies par une élévation aiguë de la PA, généralement extrême, au-delà de 160/95 (OMS 1993) avec présence des signes ou symptômes d’une complication présente ou menaçante. => élévation tensionnelle brutale (sans notion de seuil ) + souffrance viscérale. En dehors des AVC, transitoires ou constitués, ces urgences doivent être traitées immédiatement. (!) Listes limitatives des urgences hypertensives :
-
Urgences neurovasculaires : Hémorragie cérébro-méningée ou AVC ischémique
-
Devant l’association S neuro-élevation brutale de la TA, il est recommandé une extrême prudence en ce qui concerne la mise en route ou le renforcement d’un ttt antihypertenseur.
-
Réaliser une imagerie au préalable qui orientera sur l’origine de l’accident neurologique et respecter une HTA physiologique d’adaptation ds les AVC ischémiques pdt au moins 10 jQ qui permet la perfusion d’une « zone de pénombre ischémique »
-
Urgence cardiovasculaire : IVG aiguë avec OAP, IDM, angor instable, dissection aortique
-
Ins rénale aiguë
-
Eclampsie
-
Crise catécholergique (phéochromocytome, arrêt brutal du catapressan, ttt par IMAO, cocaïne)
-
Encéphalopathie hypertensive et HTA maligne st également des urgences hypertensives.
-
Poussée hypertensive = Elévation brutale au-delà chiffres de TA recommandés sans souffrance viscérale.
-
Encéphalopathie hypertensive
-
Entité clinique extrêmement rare, elle associe :
-
Elévation très brutale de la TA
-
Céphalées fronto-occipitale pulsatile, phosphénes, acouphénes, épistaxis, confusion, vomissement pouvant évoluer vers des crises convulsives généralisées, dans l’intervalle desquelles conscience et examen neurologique sont fluctuants => coma
-
FO : rétinopathie hypertensive stade IV => Hémorragies, exsudats avec oedème papillaire
-
Une protéinurie et une insuffisance rénale sont habituelles.
-
Elle peut compliquer l’HTA maligne mais aussi marquer l’évolution de certaines urgences hypertensives surtt si l’état tensionnel anterieur était normal : néphropathie glomérulaire chez l’enfant, toxémie gravidique, intoxication médicamenteuse.
-
HTA maligne ou accélérée D 2001
-
Défintion : PAD > 130 mmHgQ + retentissement viscéral
-
Rétinopathie hypertensive : FO stade IIIQ (hémorragieQ et exsudats )ou IVQ (œdème papillaireQ)
-
Rénal : Ins rénaleQ, ou altérat° rapide de la fct° rénale (qu’il ne faut pas attendre pour traiter !) => PBRQ
-
Néphroangiosclérose maligne = microangiopathie thrombotique (thrombopénie + anémie hémolytiqueQ régénérativeQ avec schizocytose + insuffisance rénale) . Pas de douleurs lombairesQ
-
=> PBR : Associe nécrose fibrinoïde artériolo-cap et prolifération intimale (“endartérite”) responsable de l’occlusion progressive de la lumière artérielle. Lésions similaires à celle observée au cours de ttes les formes de microangiopathie thrombotique. L’atteinte artérielle entraîne une ischémie glomérulaire et l’activation du SRAA qui exacerbe l’HTA => HTA avec hyperaldostéronisme secondaireQ
-
Neuro : possible encéphalopathie hypertensive, infarctus lacunaire ou Hgie sous arachnoïdienne.
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Cardiaque : IVGQ possible
-
Etiologies de l’HTA maligne
-
Le + svt chez des patients ayant une HTA ancienne non-contrôlée, bcp ayant interrompu un ttt antérieur.
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Chez les sujets noirs l’HTA maligne fait assez svt suite à une HTA essentielleD .
-
Chez les sujets blancs, généralement plus âgés, une néphropathie sous-jacente est fréquente (50-75%).
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Néphropathies glomérulaires chroniques
-
Néphropathies vasculaires (PAN, sclérodermie, microangiopathie thrombotique, une sténose artérielle rénaleD à tjs suspecter => artérioG rénale est très souvent indiquée à distance de l’épisode aigu d’HTA.
-
Enfin quelques causes endocriniennes plus rares peuvent être responsables de néphroangiosclérose maligne :
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HyperminéralocorticismeD , intoxication par le pastis sans alcool
-
PhéochromocytomeD , réninome, contraception hormonaleQ++.
-
Pronostic : lié à l’atteinte de la fct° rénale avec risque d’une rapide et irréversible dégradation de celle-ci.
-
Physiopathologie de la « magnilisation » d’une HTA est mal connue.
-
TTT : Nipride® ou Loxen®
-
Diagnostic positif
-
Mesure de la TA selon des règles strictes (cf Q 123 HTA) à comparer par rapport aux chiffres habituels +++ : élevation franche. C’est + la différence qui compte que le chiffre maximal.
-
Rechercher d’emblée à l’interrogatoire des signes évocteurs de gravité
-
Interrogatoire ne devant pas faire différer la mise en route d’un ttt urgent
-
Céphalée opiniâtre => saignement cérébro-méningé
-
BAV, Tble cs, convulsions => encéphalopathie hypertensive
-
Dyspnée, orthopnée, dl thoracique => IVG, coronaropathie
-
Oligo-anurie => néphroangiosclérose maligne
-
Connaître l’histoire tensionnelle du patient : HTA anterieure, traitement, retentissement, étiologie connu, notion d’accés similaire anterieur, notion d’une néphropathie personnelle ou familiale, autres FDR athéromateux
-
Recherche de prise médicamenteuse : AINS, vasoconstricteurs nasaux, cortico….
-
Rechercher des S évocateurs d’une étiologie : Triade de Ménard, Néphropathie, Grossesse, prise récente d’un ttt par IEC, douleur thoracique, dyspnée, …déficit neurologique même transitoire
-
Rechercher à l’examen clinique des signes évocateurs d’une étiologie (cf ci dessus) : ne pas oublier l’examen gynéco et le fond d’oeil
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Bilan paraclinique en urgence
-
Biologie
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Iono sg et urine, urée, créatininémie
-
NFS-plaq, réticulocytose, recherche de schizocyte
-
Bilan d’hémostase, groupage ABO-Rh
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Protides totaux, hématocrite, enzyme cardiaque
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Bandelette urinaire ± ECBU ± Protéinurie des 24 h
-
Rx thorax (cardiomégalie , OAP)
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ECG : Coronaropathie, HVG, tble rythme ou de la conduction
-
Fond d’oeil
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CLASSIFICATION de Keith-Wagener et Berker
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Stade I: Arterioles étroites
-
Stade II: S du croisement arterioveineux
-
Stade III: Œdème rétinien + hémorragies + exsudats
-
Stade IV: Œdème papillaire bilatéral
-
TDM cérébral au moindre signe neurologique (céphalées,…)
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####SIKI####
CAT en situation d’urgence
-
Urgence hypertensive vraie = urgence thérapeutique
-
En attendant le SAMU…
-
Si OAP : Lasilix (80 mg IVD) + Natispray 2 à 4 b.
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Si ischémie myocardique : Natispray 1 à 2 b.
-
Hospit. en URGENCE en USI (après transport demi-assis par SAMU)
-
Objectifs tensionnel à atteindre en USI
-
Eviter complications dues à une baisse trop rapide de la TA = Ischémie cérébrale, myocardique, rénale
-
L’objectif est de diminuer la TA moyenne de 25 % rapidemment (1ière heure), puis une réduction progressive vers 160-180 /100-110 mmHg en 2 à 6 heures
-
Ramener TA jusqu’à niveau de sécurité variable selon pathologie (cf AVC : ne traiter que si TA > 230/130…) :
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Mise en place d’une VVP avec ttt antihypertenseur par voie parentérale en urgence
-
Traiter anxiété et/ou douleur associée
-
Surveillance au dynamap
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Modalités pratiques :
-
Indication Loxen : 10 mg en IVL sur 30 min, relais en IVSE à 1-5 mg/h puis relais per os à 24 h
-
En cas d’encéphalopathie hypertensive, HSA après avoir éliminer un AVC ischémique
-
En cas d’AVC ischémique seulement si TA > 230/130
-
Trinitrine + βbloquant si ischémie myocardique
-
Β blo ± Nicardipine Loxen® IV si dissection aortique
-
Furosémide +TNT : si OAP
-
α -βblo Labétalol Trandate® si phéochromocytomeQ
-
Si IR pré-existante ( néphroangiosclérose par HTA chronique) :IEC
-
Si HTA secondaire à IR par néphropathie Aigue ou chronique : IC + βblo + diurétiques
-
Si HTA maligne : βblo ou antagoniste de angioII, ou IEC ou IC
-
En cas d’eclampsie : Nepressol ou Trandate , Sulfate de Magnésium , extraction de l’enfant: par cesarienne
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Poussée hypertensive sans signe de gravité ( neuro, CV, rénal)
-
Traiter
-
BZD Tranxène® per os si anxiété à l’origine poussée
-
Antalgique si dl à l’origine poussée
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Antipyrétique si fièvre à l’origine poussée
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Antihypertenseur per os :
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IC Nicardipine Loxen®20 : 1 cp AR 30 min après si besoin
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Ou IEC Captopril Lopril®25 : 1 cp (après avoir éliminer une sténose de l’artère rénale)
-
ou Agoniste alpha2 (antiHTA central) Clonidine Catapressan®
-
Après ttt initial
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Garder patient au calme allongé
-
Recontrole TA à 30 et 60 min.
-
Si ttt efficace pas d’hospit. immédiate
-
Si HTA non connue : monothérapie per os (Loxen) + adressé à médecin tttant
-
Si HTA connue : ttt étio, modifier ttt antérieur, médecin tttant
Defintion
Crise aiguë hypertensive = urgence hypertensive + poussée hypertensive
Urgences hypertensives sont rares et sont définies par une élévation aiguë de la PA, généralement extrême, au-delà de 160/95 (OMS 1993) avec présence des signes ou symptômes d’une complication présente ou menaçante. => élévation tensionnelle brutale (sans notion de seuil ) + souffrance viscérale. En dehors des AVC, transitoires ou constitués, ces urgences doivent être traitées immédiatement. (!) Listes limitatives des urgences hypertensives :
Urgences neurovasculaires : Hémorragie cérébro-méningée ou AVC ischémique
Devant l’association S neuro-élevation brutale de la TA, il est recommandé une extrême prudence en ce qui concerne la mise en route ou le renforcement d’un ttt antihypertenseur.
Réaliser une imagerie au préalable qui orientera sur l’origine de l’accident neurologique et respecter une HTA physiologique d’adaptation ds les AVC ischémiques pdt au moins 10 jQ qui permet la perfusion d’une « zone de pénombre ischémique »
Urgence cardiovasculaire : IVG aiguë avec OAP, IDM, angor instable, dissection aortique
Ins rénale aiguë
Eclampsie
Crise catécholergique (phéochromocytome, arrêt brutal du catapressan, ttt par IMAO, cocaïne)
Encéphalopathie hypertensive et HTA maligne st également des urgences hypertensives.
Poussée hypertensive = Elévation brutale au-delà chiffres de TA recommandés sans souffrance viscérale.
Encéphalopathie hypertensive
Entité clinique extrêmement rare, elle associe :
Elévation très brutale de la TA
Céphalées fronto-occipitale pulsatile, phosphénes, acouphénes, épistaxis, confusion, vomissement pouvant évoluer vers des crises convulsives généralisées, dans l’intervalle desquelles conscience et examen neurologique sont fluctuants => coma
FO : rétinopathie hypertensive stade IV => Hémorragies, exsudats avec oedème papillaire
Une protéinurie et une insuffisance rénale sont habituelles.
Elle peut compliquer l’HTA maligne mais aussi marquer l’évolution de certaines urgences hypertensives surtt si l’état tensionnel anterieur était normal : néphropathie glomérulaire chez l’enfant, toxémie gravidique, intoxication médicamenteuse.
HTA maligne ou accélérée D 2001
Défintion : PAD > 130 mmHgQ + retentissement viscéral
Rétinopathie hypertensive : FO stade IIIQ (hémorragieQ et exsudats )ou IVQ (œdème papillaireQ)
Rénal : Ins rénaleQ, ou altérat° rapide de la fct° rénale (qu’il ne faut pas attendre pour traiter !) => PBRQ
Néphroangiosclérose maligne = microangiopathie thrombotique (thrombopénie + anémie hémolytiqueQ régénérativeQ avec schizocytose + insuffisance rénale) . Pas de douleurs lombairesQ
=> PBR : Associe nécrose fibrinoïde artériolo-cap et prolifération intimale (“endartérite”) responsable de l’occlusion progressive de la lumière artérielle. Lésions similaires à celle observée au cours de ttes les formes de microangiopathie thrombotique. L’atteinte artérielle entraîne une ischémie glomérulaire et l’activation du SRAA qui exacerbe l’HTA => HTA avec hyperaldostéronisme secondaireQ
Neuro : possible encéphalopathie hypertensive, infarctus lacunaire ou Hgie sous arachnoïdienne.
Cardiaque : IVGQ possible
Etiologies de l’HTA maligne
Le + svt chez des patients ayant une HTA ancienne non-contrôlée, bcp ayant interrompu un ttt antérieur.
Chez les sujets noirs l’HTA maligne fait assez svt suite à une HTA essentielleD .
Chez les sujets blancs, généralement plus âgés, une néphropathie sous-jacente est fréquente (50-75%).
Néphropathies glomérulaires chroniques
Néphropathies vasculaires (PAN, sclérodermie, microangiopathie thrombotique, une sténose artérielle rénaleD à tjs suspecter => artérioG rénale est très souvent indiquée à distance de l’épisode aigu d’HTA.
Enfin quelques causes endocriniennes plus rares peuvent être responsables de néphroangiosclérose maligne :
HyperminéralocorticismeD , intoxication par le pastis sans alcool
PhéochromocytomeD , réninome, contraception hormonaleQ++.
Pronostic : lié à l’atteinte de la fct° rénale avec risque d’une rapide et irréversible dégradation de celle-ci.
Physiopathologie de la « magnilisation » d’une HTA est mal connue.
TTT : Nipride® ou Loxen®
Diagnostic positif
Mesure de la TA selon des règles strictes (cf Q 123 HTA) à comparer par rapport aux chiffres habituels +++ : élevation franche. C’est + la différence qui compte que le chiffre maximal.
Rechercher d’emblée à l’interrogatoire des signes évocteurs de gravité
Interrogatoire ne devant pas faire différer la mise en route d’un ttt urgent
Céphalée opiniâtre => saignement cérébro-méningé
BAV, Tble cs, convulsions => encéphalopathie hypertensive
Dyspnée, orthopnée, dl thoracique => IVG, coronaropathie
Oligo-anurie => néphroangiosclérose maligne
Connaître l’histoire tensionnelle du patient : HTA anterieure, traitement, retentissement, étiologie connu, notion d’accés similaire anterieur, notion d’une néphropathie personnelle ou familiale, autres FDR athéromateux
Recherche de prise médicamenteuse : AINS, vasoconstricteurs nasaux, cortico….
Rechercher des S évocateurs d’une étiologie : Triade de Ménard, Néphropathie, Grossesse, prise récente d’un ttt par IEC, douleur thoracique, dyspnée, …déficit neurologique même transitoire
Rechercher à l’examen clinique des signes évocateurs d’une étiologie (cf ci dessus) : ne pas oublier l’examen gynéco et le fond d’oeil
Bilan paraclinique en urgence
Biologie
Iono sg et urine, urée, créatininémie
NFS-plaq, réticulocytose, recherche de schizocyte
Bilan d’hémostase, groupage ABO-Rh
Protides totaux, hématocrite, enzyme cardiaque
Bandelette urinaire ± ECBU ± Protéinurie des 24 h
Rx thorax (cardiomégalie , OAP)
ECG : Coronaropathie, HVG, tble rythme ou de la conduction
Fond d’oeil
CLASSIFICATION de Keith-Wagener et Berker
Stade I: Arterioles étroites
Stade II: S du croisement arterioveineux
Stade III: Œdème rétinien + hémorragies + exsudats
Stade IV: Œdème papillaire bilatéral
TDM cérébral au moindre signe neurologique (céphalées,…)
Urgence hypertensive vraie = urgence thérapeutique
En attendant le SAMU…
Si OAP : Lasilix (80 mg IVD) + Natispray 2 à 4 b.
Si ischémie myocardique : Natispray 1 à 2 b.
Hospit. en URGENCE en USI (après transport demi-assis par SAMU)
Objectifs tensionnel à atteindre en USI
Eviter complications dues à une baisse trop rapide de la TA = Ischémie cérébrale, myocardique, rénale
L’objectif est de diminuer la TA moyenne de 25 % rapidemment (1ière heure), puis une réduction progressive vers 160-180 /100-110 mmHg en 2 à 6 heures
Ramener TA jusqu’à niveau de sécurité variable selon pathologie (cf AVC : ne traiter que si TA > 230/130…) :
Mise en place d’une VVP avec ttt antihypertenseur par voie parentérale en urgence
Traiter anxiété et/ou douleur associée
Surveillance au dynamap
Modalités pratiques :
Indication Loxen : 10 mg en IVL sur 30 min, relais en IVSE à 1-5 mg/h puis relais per os à 24 h
En cas d’encéphalopathie hypertensive, HSA après avoir éliminer un AVC ischémique
En cas d’AVC ischémique seulement si TA > 230/130
Trinitrine + βbloquant si ischémie myocardique
Β blo ± Nicardipine Loxen® IV si dissection aortique
Furosémide +TNT : si OAP
α -βblo Labétalol Trandate® si phéochromocytomeQ
Si IR pré-existante ( néphroangiosclérose par HTA chronique) :IEC
Si HTA secondaire à IR par néphropathie Aigue ou chronique : IC + βblo + diurétiques
Si HTA maligne : βblo ou antagoniste de angioII, ou IEC ou IC
En cas d’eclampsie : Nepressol ou Trandate , Sulfate de Magnésium , extraction de l’enfant: par cesarienne
Poussée hypertensive sans signe de gravité ( neuro, CV, rénal)
Traiter
BZD Tranxène® per os si anxiété à l’origine poussée
Antalgique si dl à l’origine poussée
Antipyrétique si fièvre à l’origine poussée
Antihypertenseur per os :
IC Nicardipine Loxen®20 : 1 cp AR 30 min après si besoin
Ou IEC Captopril Lopril®25 : 1 cp (après avoir éliminer une sténose de l’artère rénale)
ou Agoniste alpha2 (antiHTA central) Clonidine Catapressan®
Après ttt initial
Garder patient au calme allongé
Recontrole TA à 30 et 60 min.
Si ttt efficace pas d’hospit. immédiate
Si HTA non connue : monothérapie per os (Loxen) + adressé à médecin tttant
Si HTA connue : ttt étio, modifier ttt antérieur, médecin tttant
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Source : Fiches Rev Prat, impact, conf.hipp, medline thérapeutique, Benkemoun (eh oui !), Intermed d’Ophtalmo, MediFac, QCM Intest 2000 , revue du prat, http://www.nephrohus.org/core.html