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Evaluation Pratique par QCM / QROC / Cas Cliniques
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=> 06 QCM sur la Compression médullaire => Sur la 07 ème page
=> 41 QCM sur la Sclérose en plaque => à partir de la 08 ème page
=> 25 QCM sur les accidents vasculaires cérébraux => Sur la 10 ème page
=> 21 QCM sur l’Hémorragie méningée => Sur la 11 ème page
=> 18 QCM sur la Migraine => Sur la 12 ème page
=> 20 QCM sur la Myasthénie => Sur la 13 ème page
=> 15 QCM sur la Syndrome d’hypertension intracrânienne => Sur la 14 ème page
=> 17 QCM sur la Traumatisme crânien => Sur la 15 ème page
=> Les Cas cliniques => Sur la 16 ème page
=> Les QROC => Sur la 16 ème page
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=> 86 PolyQCM de Neurologie : Généralisées
=> Réponses correctes avec Commentaires
01-Une méningite à liquide clair peut être causée par une infection à :
A: Pneumocoque
B: Listeria
C: Brucella
D: Méningocoque
E: B.K.
Corrigé : ABCDE
A, D: en cas de méningite gravissime, réaction à liquide clair par sidération des polynucléaires neutrophiles (précédent le décès du patient).
02-L’hypertension intracrânienne dite “bénigne” :
A: Est en rapport avec une tumeur cérébrale bénigne
B: Est caractérisée par un scanner toujours normal
C: S’accompagne d’un oedème au fond d’oeil
D: Peut être d’origine médicamenteuse
E: Ne contre-indique pas la ponction lombaire
Corrigé : CDE
B: HTIC à petits ventricules.
C: risque de cécité par atrophie optique de stase.
D: ex: tétracyclines; E: l’évacuation par ponction lombaire fait partie du traitement.
03-Les absences “petit mal”:
A: S’observent surtout chez l’adulte
B: Sont améliorées par la CARBAMAZEPINE (TEGRETOL*)
C: Comportent à l’électroencéphalogramme des pointes ondes à 3 cycles par secondes
D: Sont traitées efficacement par l’acide VALPROIQUE (DEPAKINE*)
E: S’accompagent de sensations psychiques de “déjà vu” ou de “déjà vécu”
Corrigé : CD
A: surtout chez l’enfant.
B, D: acide valproique ou ethosuximide (Zarontin*) sont les médicaments les plus actifs.
E: dans les épilepsies partielles touchant les aires associatives.
04-Un enfant de 3 ans, sans antécédent et bien portant le matin même, est amené dans l’après-midi aux Urgences de l’hôpital dans un coma de stade II, sans signe de localisation, mais avec une hypothermie à 35°5. Quel(s) diagnostic(s) évoquer en premier?
A: Traumatisme crânien méconnu
B: Coma hyperglycémique
C: Méningite
D: Intoxication médicamenteuse
E: Ingestion alcool
Corrigé : DE
D, E: premières causes d’hypothermie chez l’enfant.
05-Parmi les propositions suivantes laquelle (lesquelles) est (sont) compatible(s) avec le diagnostic d’hémorragie méningée sous-arachnoïdienne pure par rupture d’anévrysme ?
A: Céphalée aiguë + hémiplégie initiale
B: Céphalée brutale isolée
C: Céphalées aiguë + ptosis et mydriase unilatéraux
D: Céphalée brutale + syndrome méningé + fièvre d’installation secondaire
E: Céphalée brutale + troubles de conscience progressifs
Corrigé : BCDE
A: évoque un hématome intra-cérébral associé à une hémorragie cérébro-méningée.
C: évoque un anévrisme de la communicante antérieure, avec atteinte du III.
06-Devant un traumatisme crânien chez l’enfant, quel(s) signe(s) doit (doivent) conduire à pratiquer un scanner en urgence ?
A. Vomissements répétés
B. Signes focaux déficitaires
C. Convulsions
D. Troubles de la conscience
E. Otorragie
Corrigé : A B C D E
07-L’engagement temporal droit compliquant une hypertension intra-crânienne se traduit par :
A.
Des troubles de la conscience
B. Une mydriase droite
C. Une décérébration
D. Des crises comitiales généralisées
E. Des troubles du rythme respiratoire
Corrigé : A B C
A et C : atteinte du tronc cérébral dans son étage mésencéphalique.
B : signe le plus précoce, atteinte des fibres intrinsèques du III homolatéral à l’engagement.
E : plutôt évocateur d’atteinte bulbaire par engagement des amygdales cérébelleuses.
08-La méningite tuberculeuse de l’enfant :
A. Est une méningite granulomateuse
B. Est toujours la conséquence d’une dissémination hématogène
C. Prédomine à la convexité du cerveau
D. Peut être révélée par un syndrome de Schwartz-Bartter
E. Est une méningite lymphocytaire, hyperprotéinorachique et hyperglycorachique
Corrigé : A B D
B : contamination par voie respiratoire puis diffusion hématogène.
C : prédomine à la base du cerveau.
E : hypoglycorachie.
09-Une sténose athéromateuse de la carotide interne près de son origine :
A. Peut être asymptomatique
B.
Peut se compliquer d’une thrombose carotidienne
C. Peut entraîner des accidents ischémiques transitoires par embols plaquettaires d’aval
D. Peut, dans certaines conditions, être l’objet d’un traitement chirurgical
E.
Peut être visualisée par l’angiographie numérisée
Corrigé : A B C D E
10-Retenez parmi les propositions ci-dessous celle(s) qui est (sont) conforme(s) au cadre de l’épilepsie généralisée primaire :
A. Normalité de la TDM encéphalique
B. Antécédents familiaux d’épilepsie
C. Crises consistant en absences petit mal typiques
D. Foyer de pointes-ondes temporal unilatéral à l’E.E.G.
E. Notion d’une souffrance néonatale
Corrigé : A B C
D est en faveur d’une épilepsie partielle temporale.
E évoque une épilepsie secondaire par anoxie cérébrale.
11-Les résultats de l’examen direct bactériologique du liquide céphalo-rachidien, eau de riz, prélevé chez un enfant de 2 ans, sans antécédent particulier, sont négatifs. Quel est votre premier choix thérapeutique ?
A. Pénicilline G
B. Amoxicilline
C. Chloramphénicol
D. Cefotaxine
E. Gentamycine
Bonne(s) réoponse(s) : D
Céfotaxime ; conférence de consencus 1996 : C3G en 1ère intention dans les méningites purulentes chez l’enfant de moins de 2 ans.
12-Une crise épileptique olfactive :
A. Est générée par une atteinte de l’uncus
B. Impose la réalisation d’une imagerie neuroradiologique
C. Doit être considérée a priori comme d’origine tumorale
D.
Ne nécessite pas d’imagerie neuroradiologique si l’EEG est normal
E. Alterne souvent avec des crises bravais-jacksoniennes motrices
Bonne(s) réponse(s) : A B
A : crise unciné ou hippocampique (partie interne du lobe temporal).
B : IRM de préférence.
D : non, l’ECG peut être normal.
E : une altération de la conscience et autres manifestations épileptiques peuvent l’accompagner.
13-Les radiographies de crâne chez un enfant atteint d’hypertension intracrânienne peuvent montrer :
A. Une accentuation des empreintes osseuses cérébrales
B. Une disjonction des sutures
C. Un élargissement de la selle turcique
D. Une hyperostose frontale interne
E.
Un amincissement du dorsum sellae
Bonne(s) réponse(s) : A C E
A C E sont les trois signes classiques et non spécifiques d’HTIC sur la radio du crane.
B : vrai chez le nourrisson.
14-En faveur de l’origine listérienne d’une méningite chez l’adulte, vous retenez :
A. Liquide céphalorachidien clair
B. Formule panachée des éléments blancs
C. Atteinte des nerfs crâniens bulboprotubérantiels volontiers unilatérale
D.
Hypoglycorachie toujours présente
E. Isolement constant du germe par culture du sang
Bonne(s) réponse(s) : A B
A : peut également être purulent.
B : 25 % des cas.
C : atteinte souvent dffuse.
D : 50 % seulement.
E : hémocultures fréquemment positives mais pas constamment.
15-En faveur d’un ramollissement sylvien superficiel gauche chez un droitier on retient :
A. La topographie brachio-faciale du déficit droit
B. L’association du déficit à des troubles de la sensibilité de l’hémicorps droit
C.
Une hémiasomatognosie
D. Une hémianopsie latérale homonyme gauche
E. Un signe de Babinski droit
Bonne(s) réponse(s) : A B E
C : se voit en cas d’atteinte de l’hémisphère mineur (droit)
D : HLH controlatérale.
####SIKI####
16-Parmi les propositions suivantes sur le méningocoque, lesquelles sont exactes ?
A.
Ce sont des diplocoques à Gram+
B. Très sensibles à la température
C. Parfois présents dans l’oropharynx d’un sujet sain
D. Pathogènes uniquement pour l’espèce humaine
E. Sensibles à la pénicilline G
Bonne(s) réponse(s) : B C D E
17-Noter la ou les mention(s) exacte(s). Les médicaments suivants peuvent être utilisés comme antiépileptiques :
A. -Chlorpromazine (Largactil®)
B.
Diazépam (Valium®)
C. Lithium (Téralithe®)
D. Carbamazépine (Tégrétol®)
E. Ethosuximide (Zarontin®)
Bonne(s) réponse(s) : B D E
A : c’est un neuroleptique.
E : dans les épilepsies petit mal.
18-Un hématome extradural apparaît en tomodensitométrie:
A. Sous la forme d’hyperdensité
B.
Sous la forme d’hypodensité
C. Sous la forme d’une image falciforme
D. Sous la forme d’une lentille biconvexe
E. Le plus souvent associé à un trait de fracture
Bonne(s) réponse(s) : A D E
19-En l’absence de traitement, un malade présentant une hémorragie méningée d’origine anévrismale est exposé au(x) risque(s) de :
A. Méningite
B. Récidive hémorragique
C. Ischémie dans le territoire de l’artère porteuse
D. Hydrocéphalie
E. Paralysie du VII
Bonne(s) réponse(s) : B C D
B : 20 % des cas.
C : par vasospasme artériel.
20-Le seul traitement logique d’une hypertension intra-crânienne par tumeur frontale droite en cas d’apparition de troubles de la conscience est, en urgence, avant l’abord chirurgical de la lésion :
A. L’emploi de diurétiques type furosémide (Lasilix)
B. La mise en position tête basse du malade
C. L’emploi de corticoïdes
D. L’hypotension artérielle systémique
E. La ponction-drainage de LCR au niveau d’une corne frontale
Corrigé : C
21-Un enfant de 13 ans, traité depuis l’âge de 11 ans par Depakine® per os pour une épilepsie essentielle, fait une nouvelle crise convulsive. Quel est l’examen complémentaire à faire en urgence ?
A. Electro-encéphalogramme
B.
Tomodensitométrie cérébrale
C. Dosage de la dépakinémie
D. Dosage de la glycémie
E. Fond d’oeil
Corrigé : D
L’hypoglycémie est une situation épileptogène, à éliminer en urgence devant une nouvelle crise convulsive.
22-Au lendemain d’une perte de connaissance survenue sans témoins, un examen complémentaire peut apporter la certitude que le patient a convulsé (I’ECG est normal). Lequel ?
A. Electroencéphalogramme
B.
Electromyogramme
C. Hyperkaliémie
D. Elévation de la C.P.K.
E. Alcoolémie
Corrigé : A
En montrant des signes de la série comitiale.
23-Les convulsions hyperthermiques du nourrisson :
A. Surviennent lors d’un changement rapide de la température centrale
B. Une infection ORL est le plus souvent responsable de l’hyperthermie
C. Peuvent récidiver
D. L’évolution vers l’épilepsie est la règle
E. Le Diazepam (Valium®) intra-rectal est le traitement de choix si elles se prolongent
Corrigé : A B C E
24-Devant un traumatisme crânien, quelles situations justifient un scanner encéphalique en urgence ?
A. Coma avec signe de focalisation
B. Coma sans signe de focalisation
C.
Perte de connaissance initiale
D. Sensations vertigineuses
E. Amnésie des faits
Corrigé : A B C
25-Un liquide céphalorachidien clair, comportant 300 éléments (90% lymphocytaires), une protéinorachie à 0,8 g/l et une glycorachie à 0,6 g/l est évocateur avant tout de :
A. La normalité
B. Une méningite virale
C. Une méningite tuberculeuse
D.
Une méningite à méningocoque
E. Une maladie à prions
Corrigé : B
A condition que la glycémie soit à 1 g/l.
26-A l’occasion d’un accident hémorragique sévère au cours d’un surdosage thérapeutique par l’héparine, indiquez la mesure qui vous paraît la plus appropriée :
A. Demander en urgence un taux de prothrombine
B. Injecter en urgence du PPSB à la dose de 20 U/kg
C. Injecter du sulfate de protamine par voie intraveineuse à la même dose en unités que celle de la dernière injection d’héparine
D.
Injecter 20 mg de vitamine K par voie intraveineuse
E. Transfuser du plasma frais congelé pour neutraliser l’héparine circulante
Corrigé : C
La protamine neutralise l’héparine (1 mg pour 100 UI d’héparine).
27-Un malade affecté d’une sténose carotidienne gauche peut présenter du fait de celle-ci :
A. Une amaurose transitoire de l’œil gauche
B. Une aphasie transitoire
C. Une diplopie transitoire
D.
Une hémiparésie transitoire droite
E. Une hémianesthésie transitoire
Corrigé : A B D E
A et D : syndrome optico-pyramidal.
Aphasie transitoire par atteinte de l’hémisphère dominant (G).
28-Un lycéen présente une méningite à méningocoques de sérogroupe B. Quelle(s) mesure(s) prophylactique(s) prenez-vous ?
A. Prescrire un vaccin antiméningococcique à tous les élèves de la classe
B. Prescrire une chimioprophylaxie avec une ampicilline (2 g/jour) aux sujets contacts proches
C. Prélèvement rhinopharyngé chez tous les élèves de la classe pour rechercher le méningocoque
D.
Déclarer la maladie
E. Prescrire une chimioprophylaxie par rifampicine pendant 2 jours aux sujets contacts proches
Corrigé : D E
Classique.
29-Quels sont, parmi les suivants, les signes ophtalmologiques relatifs à une hypertension intracrânienne ?
A. Paralysie du VI
B. Glaucome
C. Oedème papillaire
D. Episodes d’amblyopie
E. Nystagmus
Corrigé : A C
30-Parmi les effets indésirables suivants, quel(s) est(sont) celui(ceux) que l’on peut observer au cours d’un traitement par la phénytoïne (Dihydan®) ?
A. Syndrome cérébelleux
B. Nystagmus
C. Hyperplasie gingivale
D. Anémie macrocytaire
E. Acroparesthésie
Corrigé : A B C D
####SIKI####
31-Les 3 germes les plus fréquemment responsables d’une méningite purulente néonatale sont :
A. Escherichia coli
B. Hemophilus influenzae
C. Listeria monocytogenes
D.
Méningocoques B
E. Streptocoques B
Corrigé : A C E
32-L’anévrisme artériel intracrânien :
A. Siège plus volontiers à la périphérie des territoires artériels
B. Est parfois vu sur la radiographie simple du fait de sa calcification
C. Peut être multiple
D. Est une malformation congénitale héréditaire
E.
Est le plus fréquent dans le territoire carotidien que vertébro-basilaire
Corrigé : B C E
A : faux, c’est plutôt proximal à la base du crâne, près du polygone de Willis, les anévrismes mycotiques sont plutôt distaux.
D : cela peut être héréditaire, mais ce n’est pas constant.
E : 90 % dans le territoire carotidien
33-Un infarctus cérébral peut être la conséquence de :
A. Une phlébite cérébrale
B. Une obstruction carotidienne extracrânienne
C. Une embolie
D.
Un spasme après rupture d’anévrysme
E. Un abcès cérébral
Corrigé : A B C D
C : l’embolie peut être d’origine cardiaque ou artérielle (crosse de l’aorte, carotide).
23-Parmi les antibiotiques suivants, lequel (lesquels) ne franchi(ssen)t pas ou très mal la barrière hémoméningée?
A. Cefotaxime
B. Spiramycine
C. Chloramphénicol
D. Colimycine
E. Gentamicine
Corrigé : B D E
34-Quel est, dans la liste suivante, le virus (ou la catégorie de virus) le plus souvent à l’origine de méningites lymphocytaires de l’enfant ?
A. Echovirus
B. Herpès
C. Adénovirus
D. Virus de la grippe
E. Virus de la rougeole
Corrigé : A
35-Lorsqu’un scanner montre un hématome intracérébral, quand faut-il poursuivre le bilan par une artériographie?
A. Hématome dû aux anticoagulants
B. Hématome de la capsule interne
C. Sujet jeune
D. Hématome de la vallée sylvienne
E. Hématome interhémisphérique frontal
Corrigé : C D E
B : évocateur d’HTA
C : surtout non hypertendu
D : évoque un anévrysme artériel de l’artère cérébrale moyenne ou de l’artère communiquante antérieure (E).
36-Parmi les crises d’épilepsie suivantes, quelle(s) est (sont) celle(s) dont la survenue conduirai(en)t à remettre en cause un diagnostic d’épilepsie généralisée idiopathique (primaire) ?
A. Myoclonies massives du réveil
B. Crises Bravais-Jacksoniennes
C. Crises grand-mal
D. Absences petit-mal
E. Crises partielles complexes
Corrigé : B E
B : crise partielle somato-motrice
A, C et D : sont des crises généralisées primaires
37-En présence d’une perte de connaissance, le meilleur signe d’épilepsie est :
A. Début brutal
B. Perte d’urine
C. Polyurie post-critique
D. Amnésie de la crise
E. Morsure de la langue
Corrigé : E
En particulier quand elle est latérale.
L’amnésie de la crise est classique.
38-L’examen cytobactériologique d’un LCR prélevé chez un adulte jeune montre : 1800 éléments par mm3 avec 90 % de polynucléaires, 10 % de lymphocytes et présence de rares diplocoques à Gram négatif. Le germe le plus probablement en cause est :
A. Streptococcus pneumoniae
B. Haemophilus influenzae
C. Neisseria meningitidis
D. Escherichia coli
E. Listeria monocytogènes
Corrigé : C
39-Le traitement actuel le plus logique, en première intention dans l’épilepsie petit mal avec absences typiques de l’enfant est :
A. La DEPAKINE® (valproate de sodium)
B. Le ZARONTIN® (éthosuximide)
C. Le TEGRETOL® (carbamazépine)
D. Le RIVOTRIL® (clonazepam)
E. Le GARDENAL® (phénobarbital)
Corrigé : A
Mieux supporté que B (Zaroutier)
40-Une dissociation albumino-cytologique du liquide céphalorachidien peut s’observer dans :
A. Polyradiculonévrite
B. Neuropathie diabétique
C. Compression médullaire
D. Maladie d’Alzheimer
E. Maladie de Parkinson
Corrigé : A B C
Augmentation de la protéinorachie sans réaction cellulaire
41-La prophylaxie dans l’entourage d’un enfant de deux ans élevé à domicile et porteur d’une méningite à méningocoque du groupe B :
A. S’applique aux frères et sœurs
B. S’applique aux deux parents
C. S’applique aux écoles où sont scolarisés les frères et sœurs
D. Repose sur l’administration de Pénicilline orale
E. Repose sur la vaccination
Corrigé : A B
“On doit faire la prophylaxie des frères et sœurs, parents vivant au domicile ;” camarades proches. La prophylaxie d’une école entière et la désinfection des locaux est inutile.
42-Les facteurs de risque d’une hémorragie cérébrale sont :
A. Un antécédent d’hémorragie cérébrale
B. La contraception orale
C. L’hypertension artérielle
D. La présence d’une malformation vasculaire cérébrale
E. Augmentation du taux de l’HDL cholestérol
Corrigé : A C D
C : principal facteur de risque d’AVC hémorragique. Les autres sont les coagulopathies, l’éthylisme, les MAV, l’hypocholestérolémie…
43-Les éléments suivants sont en faveur d’une méningite bactérienne :
A. Trouble de conscience
B. Syndrome méningé franc
C. Globules blancs < 500 maga/L
D. Protéinorachie > 1 g/L
E. Rapport glycorachie/glycémie < 0,5
Corrigé : B D E
44-Concernant la méningo-encéphalite herpétique :
A. Sa découverte doit faire systématiquement rechercher une immunodépression sous-jacente (SIDA)
B. Des crises comitiales en émaillent fréquemment l’évolution
C. Son traitement fait appel à l’acyclovir par voie injectable
D. Elle est provoquée par une immuno-infection à Herpès virus simplex de type 2
E. La récupération sans séquelle est la règle
Corrigé : B C
45-Parmi les causes suivantes de méningites lymphocytaires aiguës, indiquez les deux étiologies les plus fréquemment rencontrées dans les pays tempérés dans l’état actuel des connaissances :
A. Herpèsvirus (virus herpès simplex, virus varicelle-zona)
B. Arbovirus (dengue, encéphalite à tiques)
C. Arénavirus (chorioméningite lymphocytaire, Lassa)
D. Paramysovirus (virus des oreillons, virus de la rougeole)
E. Entérovirus (coxsackievirus, echovirus)
Corrigé : D E
####SIKI####
46-Parmi les antiépileptiques suivants, quels sont ceux qui sont actifs sur l’épilepsie petit mal ?
A. Valproate de sodium (DEPAKINE®)
B. Ethosuximide (ZARONTIN®)
C. Hydantoïnes (DIHYDAN®)
D. Carbamazépine (TEGRETOL®)
E. Diones (EPIDIONE®)
Corrigé : A B
47-L’hématome extradural :
A. Est une complication tardive d’un traumatisme crânien
B. Survient habituellement après un intervalle libre
C. Peut s’accompagner de signes d’engagement temporal
D. Est la cause la plus fréquente d’engagement central
E. Se traduit par une hyperdensité biconcave au scanner
Corrigé : B C
A : précoce
E : biconvexe
48-Concernant l’hématome sous dural chronique, quelle est la proposition fausse ?
A. Est plus fréquent après 75 ans
B. Peut se manifester par un tableau de démence rapidement évolutif
C. Nécessite un scanner cérébral
D. Peut être évacué quel que soit l’âge du patient
E. Relève d’un traitement corticoïde et d’une réhydratation
Corrigé : E
E : seule réponse fausse
49-Un coma fébrile chez un patient revenu d’Afrique depuis 10 jours doit faire évoquer obligatoirement :
A. Une méningite purulente
B. Une amibiase disséminée
C. Une bilharziose
D. Un paludisme
E. Une leishmaniose viscérale
Bonne(s) réponse(s) : A B D
B : due aux amibes libres (méningo-encéphalites).
E : Incubation de 2 à 6 mois.
50-Lors d’un coma, l’existence de sueurs profuses et d’un réflexe cutané plantaire en extension des 2 côtés doit faire évoquer un des diagnostics suivants :
-
Un coma acidocétosique
-
Un coma éthylique
-
Un coma endocrinien
-
Un coma hypoglycémique
-
Un coma barbiturique
Haut du formulaire
Corrigé : 4;
Il faut toujours réaliser une glycémie capillaire devant des troubles de conscience.
51-Chez un sujet droitier, on peut évoquer une ischémie du territoire de l’artère cérébrale antérieure gauche devant :
A. Aphasie de Wernicke
B.
Réflexe de préhension de la main gauche
C. Hémianopsie latérale homonyme droite
D. Hémiplégie droite à prédominance crurale
E. Hémiplégie droite à prédominance brachio-faciale
Corrigé : D
52-A propos des antiépileptiques :
A. La phénytoïne (Dihydan) peut induire son propre catabolisme
B.
Le carbamazépine (Tégrétol) est contre-indiqué en cas de bloc auriculo-ventriculaire
C. Le valproate de sodium (Dépakine) est actif sur toutes les formes d’épilepsie
D. Le phénobarbital (Gardénal) peut causer une ostéomalacie
E. L’éthosuximide (Zarontin) est utilisé en première intention dans le traitement du petit mal
Corrigé : A B C D
53-Les voies de suppléance d’une obstruction carotidienne sont les artères :
A. Méningée moyenne
B. Communicante postérieure
C. Anastomose cortico-corticale
D. Cérébelleuse supérieure
E. Ophtalmique
Corrigé : B C E
54-Parmi les manifestations neurologiques suivantes, quelle(s) est(sont) celle(s) fréquemment observée(s) à la phase initiale d’une méningite aiguë suppurée chez un nourrisson ?
A. Réflexes ostéotendineux vifs
B. Babinski uni ou bilatéral
C. Troubles de conscience
D.
Paralysie du VI
E. Convulsions
Corrigé : A C E
55-Un lycéen présente une méningite à méningocoque de sérogroupe B. Quelle(s) mesure(s) prendre ?
A. Déclarer la maladie
B. Prescrire une chimioprophylaxie par rifampicine pendant 2 jours
C. Prescrire un vaccin antiméningococcique à tous les élèves de la classe
D. Prescrire une chimioprophylaxie avec une ampicilline 2g/jour aux sujets contacts proches
E. Prélèvement rhinopharyngé chez tous les élèves de la classe pour rechercher le méningocoque
Corrigé : A B
56-En faveur d’un ramollissement sylvien superficiel gauche chez un droitier, on retient
A. La topographie brachio-faciale du déficit gauche
B. L’association du déficit à des troubles de la sensibilité de l’hémicorps droit
C. Une hémiasomato-anosognosie
D. Une hémianopsie latérale homonyme gauche
E. Un signe de Babinski droit
Corrigé : B E
57-Devant un liquide céphalo-rachidien purulent, vous retenez en faveur d’une méningite à méningocoque:
A. Notion d’épidémie
B. Association à un purpura pétéchial
C. Association à une atteinte des nerfs crâniens
D. Otomastoïdite récente
E. Antécédent de traumatisme crânien avec fracture de la base du crâne
Corrigé : A B
58-Tous les signes suivants sauf un entrent dans la description d’un syndrome latéro-bulbaire gauche de type Wallenberg. Lequel ?
A. Syndrome de Claude Bernard Horner gauche
B. Vertige rotatoire
C. Hémiplégie droite massive
D. Nystagmus rotatoire dans le regard latéral
E. Hémianesthésie thermo-algique droite respectant la face
Corrigé : C
59-Une hémorragie méningée d’étiologie anévrismale expose précocement au(x) risque(s) majeur(s) de :
A. Resaignement massif
B. Epilepsie
C. Infarctus cérébral par spasme
D. Hypertension intracrânienne
E. Cécité
Corrigé : A C D
60-Concernant les méningites suppurées du nourrisson et de l’enfant, au-delà de l’âge de 2 mois, les 3 germes volontiers en cause sont :
A. Listeria monocytogènes
B. Streptocoque du groupe B
C. Neisseria meningitidis
D. Streptococcus pneumoniae
E. Hemophilus influenzae
Corrigé : C D E
####SIKI####
61-Qu’est ce qu’une épistaxis méningée ?
A. Une hémorragie méningée cataclysmique
B. Une hémorragie méningée survenant chez un patient traité pour épistaxis
C. Une hémorragie méningée avec à-coup hypertensif entraînant un saignement par le nez
D. Une inondation ventriculaire
E. Une hémorragie méningée avec signes « a minima »
Corrigé : E
62-Dans la surveillance d’une fracture de la voûte crânienne, avec perte de connaissance brève, certains éléments font particulièrement penser à un hématome extradural, sauf un :
A. Coma grave d’emblée
B. Mydriase unilatérale
C. Hémiplégie d’apparition retardée
D. Notion d’un trait de fracture temporal
E. Aggravation de l’état de conscience après la 4e heure
Corrigé : A
63-Les arguments en faveur d’une méningite d’origine tuberculeuse comportent :
A. Liquide céphalorachidien hémorragique
B. Normoglycorachie
C. Sujet transplanté
D. Atteinte de l’état général
E. Atteinte des paires crâniennes
Corrigé : C D E
64-Une lésion sténosante de l’origine de la carotide interne est évoquée devant :
A. Cécité monoculaire et hémiplégie controlatérale
B. Diplopie
C. Souffle sous-angulo-maxillaire systolique
D. Syndrome de Wallenberg
E. Accidents transitoires répétitifs avec déficit moteur à bascule
Corrigé : A C
65-Un enfant de 2 ans présente une méningite ; Dans les antécédents récents on note une rhino-pharyngite et une otite. Quelles sont les deux étiologies bactériennes les plus probables ?
A. Streptococcus pneumoniae
B. Staphylocoque doré
C. Entérocoque
D. Streptocoque du groupe B
E. Hemophilus influenzae
Corrigé : A E
66-Quel(s) antibiotique(s) a (ont) une bonne diffusion hémoméningée ?
A. Ampicilline
B. Amikacine
C. Chloramphénicol
D. Cotrimoxazole
E. Erythromycine
Corrigé : A C D
67-En cas d’antécédents convulsifs, on évite la vaccination :
A. Anti-rougéole
B. Anti-grippale
C. Anti-coqueluche
D. Anti-tuberculeuse
E. Anti-poliomyélitique
Corrigé : C
68-Parmi les crises suivantes, quelles sont celles qui sont des crises focales ?
A. Crise bravais-jacksonienne
B. Absence type « petit mal »
C. Crise adversive
D. Spasme en flexion
E. Crise somato-sensitive
Corrigé : A C E
69-À propos crises d’épilepsie partielles à symptomatologie complexe, citez la ou les réponse(s) juste(s) :
A. Leur sémiologie est très polymorphe
B. Leur origine est souvent frontale ou temporale
C. L’EEG donne toujours le siège du foyer épileptogène
D. L’Ethosuximide (ZarontinÒ) est un traitement efficace
E. Le traitement est parfois chirurgical
Corrigé : A B E
70-Dans une caserne, 3 cas de méningite cérébrospinale à méningocoque du groupe C ont été diagnostiqués. Quelle(s) mesures(s) prophylactique(s) allez-vous prendre ou envisager ?
A. Désinfection des locaux
B. Dépistage des porteurs
C. Chimioprophylaxie des contacts par l’Amoxicilline
D. Chimioprophylaxie des contacts par la Rifampicine
E. Vaccination antiméningococcique des sujets contacts
Corrigé : D E
71-Parmi les symptômes suivants, lesquels sont liés directement à l’hypertension intracrânienne ?
A. Obnubilation
B. Céphalées
C. Hallucinations visuelles
D. Paralysie du IIIème nerf crânien
E. Hémianopsie bi-temporale
Corrigé : A B
72-Quels sont les critères diagnostiques définissant, dans le cadres des encéphalopathies épileptiques du nourrisson, l’encéphalopathie myoclonique infantile également nommée syndrome de West ?
A. Spasmes en flexion
B. Arrêt du développement psychomoteur
C. Microcéphalie
D. Aspect d’hypsarythmie à l’EEG
E. Survenue avant l’âge de 18 mois
Corrigé : A B D E
73-Chez un sujet droitier on peut évoquer une ischémie du territoire de l’artère cérébrale antérieure gauche devant:
A. Aphasie de Wernicke
B. Réflexe de préhension de la main gauche
C. Hémianopsie latérale homonyme droite
D. Hémiplégie droite à prédominance crurale
E. Hémiplégie droite à prédominance brachio-faciale
Corrigé : D
74-Dans le coma oxycarboné :
A. Le malade est souvent hypothermique
B. Les téguments sont pâles
C. Les convulsions sont fréquentes
D. L’oxygénothérapie hyperbare hâte l’évolution favorable
E. La guérison sans séquelle est constante
Corrigé : A D
75-La méningite à Listeria :
A. Peut être à liquide clair
B. Est surtout fréquente chez l’adolescent
C. Doit être évoquée si l’on voit un bacille gram positif à l’examen direct du LCR
D. Réalise plutôt une méningo-encéphalite
E. Se traite par les céphalosporines de troisième génération injectables
Corrigé : A C D
####SIKI####
76-Le camarade de chambrée d’une jeune recrue vient d’être hospitalisé pour méningite cérébrospinale à méningocoque de sérogroupe C. Quelle prophylaxie spécifique doit être adoptée en France à l’heure actuelle?
A. Désinfection des locaux
B. Séroprophylaxie
C. Chimioprophylaxie
D. Séroprophylaxie et vaccination
E. Chimioprophylaxie et vaccination
Corrigé : E
77-Parmi les symptômes suivants, lesquels sont liés directement à l’hypertension intracrânienne ?
A. Obnubilation
B. Céphalées
C. Hallucinations visuelles
D. Paralysie du IIIe nerf crânien
E. Hémianopsie bitemporale
Corrigé : A B
78-Les deux causes bactériennes les plus fréquentes des méningites néonatales sont :
A. Streptocoque B
B. Méningocoque
C. Pneumocoque
D. Escherichia coli
E. Staphylococcus epidermidis
Corrigé : A D
79-Parmi les médicaments anticonvulsivants suivants, lequel (lesquels) a (ont) une activité certaine sur le petit mal ?
A. Valproate de sodium (Dépakine®)
B. Carbamazépine (Tégrétol®)
C. Diphénylhydantoïne(Dihydan®)
D. Phénobarbital (Gardénal®)
E. Ethosuximide (Zarontin®)
Corrigé : A E
80-Parmi les paramètres suivants, indiquez celui ou ceux qui incitent à réaliser un scanner pour rechercher une cause cérébrale organique dans l’enquête étiologique d’une première crise d’épilepsie :
A. Foyer paroxystique frontal gauche à l’électroencéphalogramme
B. Absence petit mal typique
C. Sujet âgé de 40 ans
D. Antécédents familiaux d’épilepsie
E. Anomalies bilatérales synchrones à type de pointes-ondes à l’électroencéphalogramme
Corrigé : A C
81-Quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) exacte(s) concernant le méningocoque ?
A. Sont des diplocoques à Gram (-)
B. Peuvent exister à l’état de portage sain
C. Se rencontrent chez l’homme et les animaux
D. Sont sensibles aux variations de température
E. Ne présentent qu’un seul sérogroupe capsulaire
Corrigé : A B D
82-Un accident ischémique transitoire carotidien peut se manifester par :
A. Une hémiplégie brachio-faciale
B. Une aphasie de Wernicke
C. Une cécité mono-oculaire
D. Un trouble de la déglutition avec signe du rideau
E. Un vertige rotatoire
Corrigé : A B C
83-La recherche d’antigènes solubles permet généralement de reconnaître le germe en cause lors d’une méningite aiguë à :
A. Listeria
B. Pneumocoque
C. Méningocoque du groupe A
D. Méningocoque du groupe B
E. Haemophilus
Corrigé : B D E
84-Quelle(s) est (sont) les propositions exactes concernant les méningocoques ?
A. Sont des diplocoques à Gram (-)
B. Peuvent exister à l’état de portage sain
C. Se rencontrent chez l’homme et les animaux
D. Sont sensibles aux variations de température
E. Ne présentent qu’un seul sérogroupe capsulaire
Corrigé : A B D
85-L’examen cytobactériologique d’un liquide rachidien, prélevé chez un adolescent, montre : – 2.000 éléments/ mm3 avec 90 % de polynucléaires et 10 % de lymphocytes – présence de rares diplocoques à Gram négatif. La bactérie la plus probablement en cause est :
A. Pneumocoque
B. Haemophilus influenzae
C. Méningocoque
D. Escherichia coli
E. Listeria monocytogènes
Corrigé : C
86-Quelle est la caractéristique principale de la céphalée de l’hémorragie méningée ?
A. Localisée
B. Généralisée
C. Brutale
D. Survient lors d’une exposition au soleil
E. Survient le matin au réveil
Corrigé : C
####SIKI####
=> 06 PolyQCM de Neurologie : la Cmpression médullaire
1/ Le syndrome de la queue de cheval comporte tous ces signes cliniques, sauf un. Lequel ? A – Incontinence urinaire
B – Baisse de la libido
C – Priapisme douloureux
D – Anesthésie en selle
E – Abolition du réflexe anal
2/ Dans les compressions médullaires thoraciques, les troubles de la sensibili-té à type de dissociation thermoalgésique sont en faveur de :
A – Méningiome intra-rachidien
B – Neurinome intra-rachidien
C – Astrocytome intra-médullaire étendu
D – Malformation artério-veineuse médullaire
E – Epidurite tuberculeuse
3/ La compression médullaire dorsale :
A – Est une affection d’évolution lente
B – Débute classiquement par une radiculalgie
C – Non opérée, évolue vers la paraplégie
D – Nécessite un examen de la sensibilité pour déterminer le niveau lésionnel
E – N’entraine pas de dissociation albumino-cytologique à l’examen du LCR
4/ Un syndrome de la queue de cheval est évoqué devant :
A – Une anesthésie en selle.
B – Des troubles sphinctériens.
C – Une paraplégie flasque.
D – Une aréflexie àchilléenne
E – Tous ces signes.
5/ RJ. Le syndrome de la queue de cheval se caractérise par :
A – Un syndrome pluri-radiculaire
B – Est dû à une lésion du canal rachidien siégeant au dessus du cône terminal de la moelle C – S’accompagne d’un signe de Babinski bilatéral
D – S’accompagne d’une anesthésie en selle et d’une paralysie flasque dans le ter-ritoire des racines sacrées
E – S’accompagne d’une impuissance et de troubles urinaires
6/ L’existence chez un adulte d’un syndrome de Brown-Séquard peut évoquer :
A – Une dégénér escence spino-cérébelleuse
B – Une polyradiculonévrite
C – Une compression médullaire lente
D – Une multinévrite
Réponses : 1/ C 2/ B 3/ ABCD 4/ E 5/ E 6/ C
####SIKI####
=> 41 PolyQCM de Neurologie : la Sclérose en plaques
Question 1 : Quelles sont les réponses exactes concernant la sclérose en plaque :
A les troubles cognitifs sont sévères chez la grande majorité des malades après une dizaine d’années d’évolution de la maladie
B les plaques de sclérose sont dépistées par l’IRM
C il n’y a pas d’atrophie cérébrale, même dans les formes très évoluées
D la ponction lombaire montre classiquement une synthèse intrathécale d’immunoglobulines et en particulier des IgG avec un aspect de bandes oligoclonales
E le traitemen
Question 26 : Quels sont parmi les examens paracliniques suivant, ceux qui fournissent des
orientations dans le cadre de la sclérose en plaques ?
1.1La ponction lombairev
1.2La radiographie du crâne standard
1.3Les potentiels évoqués auditifs
1.4Le doppler cervical
1.5Les potentiels évoqués visuelsv
1.6L’étude du champ visuelv2A propos de la SEP,
Question 27 : 2 propositions sont inexactes. Lesquelles ?
2.1La névrite optique rétrobulbaire est souvent symétrique
2.2L’euphorie est un signe d’évolution tardivev
2.3La diplopie est un signe souvent révélateurv
2.4La névralgie du trijumeau est caractéristique
2.5La protéinorachie est supérieure à 1 g/l
2.6La névralgie du trijumeau n’est pas fréquentev
Question 28 : A propos de la SEP, 1 proposition est inexacte. Laquelle ?
3.1La SEP est rare en zone inter-tropicalev
3.2Les troubles occulo-moteurs sont rarissimes
3.3La première poussée ne survient jamais après 50 ans
3.4Une hyperlymphocytose modérée sans hyperprotéinorachie est très peu révélatrice
Question 29 : Au cours de la SEP, quel(s) sont le(s) symptome(s)s rarement observé(s) ?
4.1Diplopie
4.2Toubles de la sensibilité profondev
4.3Surdité unilatérale
4.4Syndrome cérébelleuxv
4.5Hémianopsie latérale homonyme
Question 30 : Le traitement de la SEP par les corticoïdes
5.1Est capable de prévenir les récidives
5.2Ne doit jamais être mis en oeuvre
5.3Peut comporter des doses massives de manière transitoirev
5.4Doit être continué en permanence5.5Doit être prescrit en raison des pousséesv
Question 31 : Un sujet de 30 ans se plaint depuis 15 jours d’une difficulté à manger, parler et siffler.
On remarque une parésie bilatérale dans le territoire du facial, un signe de Charles Bell
bilatéral et une aréflexie des 4 mb sans trouble sensitivo-moteur. Diag ?
6.1Un syndrome de Guillain-Barrév
6.2Une S.E.P.
6.3Une rhombencéphalite virale
6.4Une périartérite noueuse
6.5Une neurosyphilis
Question 32 : Chez un jeune patient suspect de SEP, l’examen montre un syndrome pyramidal
des 4 mb, un syndrome cérébelleux, un nystagmus et une diplopie. Ce tableau
permet d’éliminer un diagnostic différenteil de la SEP. Lequel ?
7.1Compression de la moelle cervicale. v
7.2Malformation de la charnière cervico-occipitale
7.3Hérédodégénération spino-cérébelleuse
7.4Malformation angiomateuse du tronc cérébral
7.5Tumeur de la fosse postérieure
Question 33 : Le signe de Lhermitte s’observe au cours de
8.1Syndrome de Guillain-Barré
8.2Sclérose en plaques. v
8.3Myélopathie cervicarthrosique. v
8.4Sclérose latérale amyotrophique
8.5Maladie de Parkinson
Question 34 : Parmi les symptomes suivants, quels sont les 3 qui par leur fréquence,
ont une valeur dans le diagnostic de SEP ?
9.1Névrite optique rétro-bulbaire. v
9.2Omphtalmoplégie internucléaire. v
9.3Hypertonie extra-pyramydale
9.4Paraparésie spasmodique. v
9.5Hypoacousie unilatérale
Question 35 : Aucours de la SEP, les potentiels évoqués visuels
10.1Apportent un argument pronostique
10.2Sont symétriques
10.3Permettent d’ajuster la thérapeutique
10.4Leur altération traduit l’existence de plaques périventriculaires postérieures
10.5Peuvent être anormaux en l’absence de phénomène visuel clinique. v
Question 36 : Une multinévrite peut apparaître au cours de
11.1Sclérose latérale amyotrophique
11.2Sclérose en plaques
11.3Lèprev11.4Diabète. v
11.5Périartérite noueuse. v
Question 37 : Le LCR d’un patient atteint d’une SEP comporte typiquement
12.1Une protéinorachie supérieure à 1 g/l. v
12.2Une hypoglycorachie
12.3Une hypercytose lymphocytaire discrète
12.4Une polynucléose
12.5Une distribution oligo-clonale du profil électrophorétique des protéines. v
Question 38 : Dans la sclérose en plaques
13.1La vitesse de sédimentation globulaire est habituellement augmentée
13.2Le traitement repose sur la corticothérapie au long cours
13.3L’augmentation des gamma-globulines dans le LCR s’accompagne
d’une distribution oligo-clonale. v
13.4Une hémianopsie latérale homonyme est souvent constatée
13.5Il peut exister des troubles sphinctériens. v
Question 39 : Au cours de la sclérose en plaques on peut retrouver:
14.1Un syndrome du canal carpien
14.2Une impuisance. v
14.3Des paresthésies constrictives. v
14.4Un signe de Lhermitte. v
14.5Une ophtalmoplégie inter-nucléaire. v
Question 40 : La sclérose en plaques est caractérisée par
15.1La visualisation quasi-constante des plaques récentes au Scanner X
après inection de produit de contraste
15.2La normalité habituelle de l’IRM
15.3La majoration des symptomes par la chaleur. v
15.4Une hyper-gamma-globulinorachie oligo-clonale
15.5Une augmentation de l’amplitude des potentiels évoqués visuels. v
Question 41 : Parmi les formules de liquide céphalorachidien suivantes, 2 sont compatibles
avec le diagnostic de SEP. Lesquelles ?
16.1Protéines 0,60 g/l; 90 polynucléaires/mm3
16.2Protéines 0,30 g/l et cytologie nulle. v
16.3Protéines 1,80 g/l et cytologie nulle
16.4Protéines 0,80 g/l et 500 lymphocytes /mm3
16.5Protéines 0,30 g/l et 15 lymphocytes /mm3. v
####SIKI####
=> 12 PolyQCM de Neurologie : Les Accidents vasculaires cérébraux
1/ Le premier examen para clinique à réaliser chez un patient porteur de signes cliniques d’AVC est :
11/ En faveur d’un ramollissement sylvien superficiel gauche chez un droitier, on retient :
C – Hémiplégie motrice droite
Réponses : 1/ E 2/ C 3/ ABDE 4/ C 5/ ABCD 6/ C 7/ ABC 8/ ABCD 9/ E 10/ ABE 11/ ABDE 12/ ACE 13/ BC 14/ AD 15/ ABE 16/ BD 17/ BCD 18/ D 19/ ACE 20/ ACE 21/ C 22/ DE 23/ BCD 24/ A 25/ ABCDE
####SIKI####
=> 21 PolyQCM de Neurologie : Hémorragie méningée
Question 1 : L’hémorragie méningée est caractérisée par:
Question 16 : Quelle est la caractéristique principale de la céphalée d’une hémorragie méningée ?
Réponses : 1/ ACD 2/ AB 3/ ACDE 4/ BCD 5/ ABCDE 6/ ABDE 7/ AC 8/ BCE 9/ C 10/ABDE 11/ C 12/ C 13/ CDE 14/ AD 15/ AD 16/ D 17/ A 18/ C 19/ C 20/ C 21/ D
####SIKI####
=> 18 PolyQCM de Neurologie : La Migraine
1/ Le scotome scintillant est un signe de :
Réponses : 1/ D 2/ ABCE 3/ ABC 4/ ABC 5/ A
B – Les phénomènes d’accompagnement durent pendant toute la durée de l’accès de mal de tête
Corrigés : 1/ ABCD 2/ ADE 3/ ACD 4/ D 5/ BDE 6/ ABCE 7/ AB 8/ A 9/ DE 10/ CDE 11/ ABD 12/ B 13/ ABDE
####SIKI####
=> 20 PolyQCM de Neurologie : La Myasthénie
1/ La myasthénie :
13/ Une femme de 65 ans, sans antécédent, vient vous consulter car elle a constaté depuis 2 mois des épisodes d’environ 2 à 4 heures de vision double lorsqu’elle regarde la télévision en fin de journée où elle a été très active. La fréquence de ces épisodes et leur intensité vont en augmentant pour devenir quotidiens. Vous l’examinez à 10 heures du matin, elle ne signale aucune anomalie et son examen neurologique est normal. Quel est le diagnostic le plus probable ?
Réponses : 1/ CDE 2/ AD 3/ ABC 4/ D 5/ C 6/ ACE 7/ CDE 8/ C 9/ D 10/ ABCDE 11/ BC 12/ ABC 13/ C 14/ D 15/ AC 16/ BCE 17/ ACDE 18/ CD 19/ ABC 20/ ABCD
####SIKI####
=> 15 PolyQCM de Neurologie : Syndrome d’hypertension intracrânienne
1/ Les vomissements de l’hypertension intracrânienne :
11/ Le seul traitement logique d’une hypertension intracrânienne par tumeur frontale droite en cas d’apparition de troubles de la conscience est, en urgence, avant l’abord chirurgical de la lésion :
Corrigés : 1/ ABD 2/ ABCDE 3/ AB 4/ ACDE 5/ ABE 6/ A 7/ CDE 8/ AC 9/ AB 10/ ABC 11/ C 12/ ABC 13/ BC 14/ A 15/ B
####SIKI####
=> 17 PolyQCM de Neurologie : Traumatisme crânien
Réponses : 1/ C 2/ B 3/ B 4/ C 5/ A 6/ C 7/ B
Réponses : 1/ C 2/ B 3/ D 4/ B 5/ C 6/ D 7/ C 8/ C 9/ D 10/ C
####SIKI####
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