=> 105 PolyQCM en Entéro-Gastrologie généralisées
1. La sténose pyloro-bulbaire, quelle que soit sa cause, se traduit par :
A. Des vomissements bilieux fréquents et répétés
B. Des vomissements bilieux puis fécaloïdes
C. Des vomissements d’aliments ingérés plusieurs jours auparavant D. Des vomissements d’emblée fécaloïdes
E. Des vomissements de sang non digéré
C
2. Un ulcère de la face postérieure du bulbe duodénal peut se perforer dans :
A. La tête du pancréas
B. L’artère pylorique
C. La veine cave inférieure
D. Le cholédoque
E. L’artère gastroduodénale
A D E
3. Quel est l’examen à réaliser en première intention dans le bilan d’un ulcère gastroduodénal ?
A. Tubage gastrique basal
B. Gastrinémie basale
C. Recherche d’Helicobacter Pylori dans la région antrale
D. Tomodensitométrie abdominale
E. Recherche d’une hyperthyroïdie
C
4. Le diagnostic d’infection à Helicobacter pylori peut être fait par :
A. La sérologie
B. La coproculture
C. Le test rapide à l’uréase
D. Un test respiratoire
E. L’histologie des biopsies antrales
C D E
5. Dans le cancer de l’estomac, il est exact de dire que :
A. Le cancer du cardia est épidermoïde
B. Tout ulcère gastrique traité médicalement doit faire l’objet d’une surveillance endoscopique et biopsique
C. Le cancer de l’antre gastrique peut être sténosant
D. Le cancer de l’estomac peut se révéler par une anémie
E. Les hématémèses importantes sont fréquentes dans le cancer gastrique
B D
6° Parmi les propositions suivantes concernant la crise de colique hépatique, une est inexacte. Laquelle ?
A – La douleur peut siéger dans l’hypochondre gauche
B – La douleur peut être soulagée par la pression profonde du creux épigastrique
C – L’irradiation de la douleur à l’épaule droite est fréquente
D – La douleur est liée à la mise en tension brutale des voies biliaires
E – Une douleur épigastrique de survenue brutale sans défense péritonéale doit faire évoquer en premier lieu une colique hépatique
B
Commentaire :
Toutes les autres propositions sont exactes. Il faut se souvenir que dans 2/3 des cas, le siège initial de la douleur est épigastrique et non au niveau de l’hypochondre droit.
7° Sur un abdomen sans préparation le signe le plus fidèle d’un hématome rétropéritonéal est la présence :
A – D’un iléus réflexe
B – D’un pneumopéritoine
C – D’une grisaille diffuse
D – D’une aérocolie
E – D’un effacement des bords du psoas
E
8°L’hépatite alcoolique aiguë s’observe :
A – Au stade de stéatose
B – Au stade de fibrose
C – Au stade de cirrhose
D – A tous les stades de l’hépatopathie alcoolique
E – Aucune des réponses précédentes n’est exacte
D
Commentaire :
Habituellement en France, l’hépatite alcoolique aiguë (HAA) survient sur des lésions de cirrhose ; cependant l’HAA peut survenir à tous les stades de foie alcoolique. Dans les pays anglo-saxons, l’HAA sur “”foie sain”” (stéatome) est fréquente.
9° Le traitement habituel de la crise de colique hépatique non compliquée est représenté par la prescription de :
A – L’acide urso ou chénodésoxycholique
B – Un antibiotique
C – Un antispasmodique
D – Une sphinctérotomie endoscopique
E – Une cholécystectomie
C
Commentaire :
Le traitement immédiat habituel de la crise de colique hépatique repose sur la prescription d’un antispasmodique ; les morphiniques, qui augmentent la tension des voies biliaires, sont à éviter.
10° Une élévation du taux sérique de la gamma GT peut s’observer dans les situations suivantes, sauf une. Laquelle ?
A – Au cours des cancers du foie
B – Au cours de la maladie de Gilbert
C – Au cours de l’alcoolisme
D – Au cours d’un cancer de la tête du pancréas
E – Au cours d’un traitement au phénobarbital
B
Commentaire :
Affection fréquente autosomique dominante, la maladie de Gilbert est responsable d’ictère à bilirubine non conjuguée. En dehors d’une anomalie possible de la clearance de la BSP, le reste du bilan hépatique est strictement normal.
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11° Un cancer de l’estomac peut être révélé par :
A – Douleurs épigastriques
B – Vomissements alimentaires
C – Hématémèse
D – Phlébites récidivantes
E – Constipation
A B C D
12° Pour traiter de manière curative un cancer du sigmoïde on peut réaliser :
A – Une colectomie segmentaire
B – Une hémicolectomie gauche
C – Une colostomie
D – Une dérivation interne par anastomose
E – Une amputation du rectum
A B
Commentaire :
L’hémicolectomie gauche, théoriquement plus satisfaisante sur le plan carcinologique, donne en fait exactement les mêmes taux de survie et de récidive que la colectomie segmentaire. Celle-ci à l’avantage d’éviter un décrochement de l’angle gauche.
13° L’anneau crural qui donne issue aux hernies crurales est situé :
A – Au-dessous de l’arcade crurale
B – Au-dessus de la bandelette ilio-pubienne
C – En dehors du ligament de Cooper
D – En dedans de la veine fémorale
E – En dehors du nerf crural
A D
14° Une hépatite chronique active peut être dûe au :
A – Virus A
B – Virus B
C – Virus non A non B
D – Cytomégalovirus
E – Virus d’Esptein-barr
B C
Commentaire :
L’hépatite A peut exceptionnellement être responsable d’hépatite fulminante mais jamais d’hépatites chroniques.Les anomalies biologiques hépatiques observées au cours des infections à CMV et à EBV sont en règles modérées et toujours transitoires.
15° Dans les suites d’une hépatite B, la découverte dans le sérum au delà du troisième mois d’un antigène HBe signifie :
1 – Que l’hépatite risque de devenir chronique
2 – Qu’une évolution fulminante est à redouter
3 – Que le sujet est encore contagieux
4 – Que l’évolution se fait vers la guérison Compléments corrects :
A – 1,2,3 B – 1,3 C – 2,4 D – 4 E – 1,2,3,4
B
Commentaire :
La persistance de l’antigène HBe dans le sérum au delà de 10 semaines fait craindre une évolution vers la chronicité.
16° Lors des traumatismes de l’abdomen, le viscère le plus souvent touché est :
A – Le foie
B – L’estomac
C – La rate
D – L’intestin
E – Le côlon
C
Commentaire : Organe fragile, particulièrement exposé.
17° Une angiocholite se définit comme :
A – Une lithiase cholédocienne
B – Une infection de la voie biliaire principale
C – Une thrombose de l’artère cystique
D – Une suppuration vésiculaire
E – Une colite infectieuse
B
Commentaire :
L’angiocholite se définit comme une infection bactérienne de la voie biliaire principale. Sa cause majeure est la lithiase de la voie biliaire principale.
18° le vaccin HEVAC B utilisé dans le cadre de la vaccination contre l’hépatite à virus B :
A – Est un vaccin viral vivant atténué
B – Est un vaccin viral inactivé
C – Est un vaccin constitué de l’antigène de surface du virus HB
D – Est une fraction glucido-lipido-polypeptidique extraite de la nucléocapside
E – Est une anatoxine extraite du vibrion complet
C
Commentaire :
L’antigène de surface du virus HB, ou enveloppe, est une partie non infectante du virus.
19° Un patient consulte pour un syndrome appendiculaire subaigu. A l’examen abdominal, vous ne trouvez pas des signes physiques aussi nets que vous étiez en droit d’attendre ; vous hésitez, mais le patient est obèse et l’examen difficile. Vous retenez parmi les propositions suivantes :
A – L’absence de défense de la fosse iliaque droite infirme le diagnostic évoqué
B – La langue très saburrale est un signe reconnu d’orientation
C – Un nombre normal de globules blancs mais avec une lymphocytose confirme le diagnostic
D – En l’absence d’urgence, un lavement baryté apporte des informations utiles pour confirmer l’atteinte appendiculaire
E – Une fébricule à 38آ° C incite a prescrire le repos et un traitement antibiotique quelques jours
B D
Commentaire :
A – L’absence de parallélisme anatomo-clinique est classique en matière d’appendicite aiguë.
20° La hernie inguinale oblique externe :
A – Possède un orifice situé en dehors des vaisseaux épigastriques
B – A un orifice superficiel situé en dehors du grand droit de l’abdomen
C – S’extériorise au-dessous de la ligne de Malgaigne
D – Peut contenir une corne vésicale
E – Peut descendre dans la grande lèvre chez la femme
A B D E
Commentaire :
C – C’est le cas de la hernie crurale.
21° Chez un patient consultant pour des douleurs de la fosse iliaque gauche, des ballonnements et une constipation, on retiendra en faveur d’une colopathie fonctionnelle :
A – L’apparition récente des symptômes
B – La sédation des douleurs et des ballonnements par l’émission de gaz
C – La présence d’hémorroïdes à l’examen de la marge anale
D – Le déclenchement post-prandial du ballonnement
E – La normalité de l’examen physique du patient
B D E
Commentaire :
A – L’apparition récente des troubles même fonctionnels invite à pousser les investigations surtout passé l’âge de 40 ans.
22° La hernie crurale :
A – S’extériorise au-dessous de la ligne de Malgaigne
B – A un collet situé en-dedans de la veine fémorale
C – Peut s’engager dans la bourse chez l’homme
D – Peut descendre dans la grande lèvre chez la femme
E – S’étrangle fréquemment
A B E
23° Au cours d une cirrhose, l’insuffisance hépatocellulaire se manifeste par :
A – Baisse du facteur V
B – Augmentation de l’activité rénine plasmatique
C – Elévation du cholestérol total
D – Elévation de la bilirubine
E – Baisse du fer sérique
A D
Commentaire :
C – Le cholestérol synthétisé par le foie est diminué en cas d’insuffisance hépatocellulaire.
24° La ou les maladies suivantes sont la cause de diarrhée fébrile :
A – Choléra
B – Toxi-infection alimentaire à Salmonella typhi murium
C – Amibiase intestinale
D – Toxi-infection alimentaire à Staphylococcus aureus
E – Shigellose
B E
Commentaire :
C – La survenue d’une fièvre au cours de l’amibiase doit faire rechercher une atteinte hépatique (abcès amibien du foie).
25° Indiquez, parmi les médicaments suivants, celui(ceux) susceptible(s) de provoquer une diarrhée :
A – 5-Fluoro-uracile
B – Médicament contenant de l’hydroxyde de magnésium
C – Digitaline
D – Prednisolone
E – Colchicine
A B C E
Commentaire :
C – En cas de surdosage.
E – Epithélium à renouvellement rapide (48 h pour la muqueuse intestinale).
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26° Toutes les affirmations suivantes concernant l’angiocholite sont justes, sauf une. Laquelle ?
A – Les voies biliaires ne sont pas obligatoirement dilatées à l’échographie
B – Les hémocultures sont souvent positives
C – Une insuffisance rénale est une complication possible
D – L’ictère peut aboutir rapidement à une insuffisance hépatocellulaire aiguë
E – L’ictère peut être retardé par rapport aux autres signes
D
Commentaire :
Au cours de l’angiocholite l’origine, de l’ictère peut être mixte 1 – n est essentiellement lié à l’obstacle responsable d’une cholestase. Le facteur V, témoin de l’insuffisance hépatique, est normal même si le TP est abaissé. L’injection lente (perfusion) de vitamines K (20 mg) normalise en règle le TP. 2 – Le sepsis peut être directement responsable d’ictère (septicémie à gram – ).
27° Indiquer parmi les éléments cliniques suivants celui qui ne caractérise pas un syndrome ulcéreux :
A – La douleur est une crampe
B – Son siège est épigastrique
C – Son irradiation est scapulaire droite
D – L’alimentation calme la douleur
E – Son horaire est post-prandial immédiat
C
Commentaire :
E – La douleur post prandiale immédiate évoque soit une gastrite soit une colopathie fonctionnelle (l’item E est donc inexact et la correction discutable).
28° En présence d’une hématémèse grave par ulcère duodénal, l’importance de l’hémorragie sera au mieux appréciée par :
A – La quantité de sang rejetée
B – L’importance de la quantité de sang nécessaire pour rétablir et maintenir une tension correcte
C – L’agitation du sujet
D – La fréquence respiratoire
E – La soif
B
Commentaire :
A – Elle est toujours surestimée.
29° Toutes les manifestations suivantes peuvent s’observer au cours d’un coma hépatique au stade 3 compliquant une cirrhose alcoolique, sauf une. Indiquez laquelle :
A – Astérixis
B – Ictère cutanéo-muqueux
C – Angiomes stellaires
D – Crises convulsives
E – Hyperventilation
A
Commentaire :
La recherche d’un astérixis nécessite un état de conscience incompatible avec la définition du coma stade III.
30° Devant une pancréatite aiguë chez l’adulte, on doit rechercher en premier lieu deux affections parmi les suivantes; lesquelles :
A – Un alcoolisme
B – Une ascaridiose de la voie biliaire principale
C – Une distomatose hépatique
D – Un syndrome ourlien récent
E – Une lithiase biliaire à petits calculs
A B E
Commentaire :
Ce sont les causes les plus fréquentes de pancréatite aiguë sous nos climats B D – Peuvent donner des pancréatites aiguës. Pour l’ascaris, en cas de localisation, dans le Wirsung et non dans la VBP.
31° Une femme de 62 ans,.sans antécédent particulier, présente depuis 4 jours une fièvre à 38آ°, un ralentissement du transit intestinal et surtout une douleur de la fosse iliaque gauche; à l’examen, un empâtement de cette région. Le toucher rectal est normal, la numération formule sanguine montre une leucocytose avec polynucléose. On doit évoquer :
A – Colite ischémique
B – Cancer du sigmoïde
C – Diverticulite
D – Maladie de Crohn chronique
E – Toutes les réponses ci-dessus
B C
Commentaire :
Par argument de fréquence devant le tableau, la diverticulite doit être évoquée en premier lieu mais la crainte du cancer impose des explorations complémentaires en commençant, compte tenu du contexte infectieux, par un lavement aux hydrosolubles.
32° Le ou les caractère(s) radiologique(s) évocateur(s) de la pancréatite chronique est(sont) :
A – Anomalie du bord interne du deuxième duodénum au transit baryté
B – Calcifications prévertébrales au niveau de L4 sur les clichés sans préparation
C – Amputations vasculaires sur l’artériographie coeliaque sélective
D – Atrophie pancréatique à la tomodensitométrie
E – Reflux du produit de contraste dans le canal de Wirsung sur la cholangiographie veineuse
A D
Commentaire :
A – Il s’agit d’un signe tardif, le transit baryté n’est plus guère utilisé dans le cadre du bilan d’une pancréatite chronique.
B – L1 L2 et non L4
E – N’a aucune signification pathologique.
33° Devant une ascite, rebelle au traitement médical chez un cirrhotique, la ou les solution(s) chirurgicale(s) peut(vent) être :
A – Mise en place d’un shunt péritonéojugulaire
B – Ligature des varices oesophagiennes
C – Anastomose porto-cave latéro-latérale
D – Déconnection azygo-portale
E – Anastomose spléno-rénale distale avec déconnection gastrique
A C
Commentaire :
Vise à créer un gradient de pression entre la cavité péritonéale et le milieu intérieur, afin que l’ascite se draine. C’est le type d’anastomose qu’il faut utiliser si l’on réalise une anastomose portocave pour ascite réfractaire. Les anastomoses termino-latérales s’accompagnent au contraire d’une ascite.
B D E – Sont des traitements préventifs des récidives hémorragiques liées à l’hypertension portale.
34° Dans une perforation d’ulcère duodénal en péritoine libre, vue dans les 12 premières heures, on observe typiquement :
A – La contracture abdominale
B – Un collapsus cardio-vasculaire
C – La disparition de la matité pré-hépatique à la percussion
D – Une température supérieure a 38,5 آ°C
E – Une douleur au toucher rectal
A C E
Commentaire :
C – Elle se traduit, sur la radiologie de face, par un pneumopéritoine.
35° Un sujet victime d’un accident de la voie publique il y a un mois présentait une contusion de l’abdomen et des fractures des dernières côtes gauches. La radiographie pulmonaire initialement normale découvre une image hydro aérique basithoracique gauche. Pour assurer le diagnostic on peut pratiquer :
A – Un transit oesogastroduodénal
B – Un lavement baryté
C – Une ponction-lavage du péritoine
D – Une ponction pleurale
E – Une échographie basithoracique gauche
A B E Commentaire : Le diagnostic de hernie diaphragmatique post-traumatique est vraisemblable.Elle peut livrer passage à l’estomac (A) à la rate (E) ou au colon ( B ) , au grêle et au grand épiploon.
36° Chez un malade qui a présenté 10 jours avant une contusion de l’abdomen, pour affirmer le diagnostic d’un hématome sous capsulaire de la rate, on peut demander :
A – Une échographie
B – Un lavement baryté
C – Une urographie intraveineuse
D – Une artériographie coeliaque
E – Un scanner
A D E
Commentaire :
A – L’échographie est en règle suffisante.
D – Elle est réalisée dans le cadre du bilan pré-opératoire pour rechercher des lésions associées (rein gauche).
37° Les angiomes stellaires :
A – Sont pathognomoniques de la cirrhose alcoolique
B – Peuvent être observés au cours de la grossesse
C – Ne peuvent pas être observés au cours d’une hépatite aiguë
D – Peuvent être congénitaux
E – Sont observés dans toutes les maladies comportant une hypertension portale
B D
Commentaire :
E – L’angiome stellaire au cours d’une maladie hépatique est un signe d’insuffisance hépatocellulaire et non hypertension portale.
38° La gamma glutamyl transférase :
1 – Est au-dessous de la moyenne chez les nonbuveurs
2 – Est élevée uniquement chez les alcooliques chroniques
3 – Est une preuve formelle d’alcoolisme aigu
4 – Son élévation est liée à une induction enzymatique Compléments corrects :
A – 1,2,3 B – 1,3 C – 2,4 D – 4 E – 1,2,3,4
D
39° Concernant la maladie coeliaque :
1 – La diarrhée chronique est un mode de révélation fréquent
2 – La maladie coeliaque peut se révéler par une anémie
3 – Le test au D-xylose est le plus souvent pathologique
4 – A la biopsie du grêle, l’atrophie villositaire peut être à un stade IV (atrophie totale) III (sub-totale) ou II (modérée) Compléments corrects :
A – 1,2,3 B – 1,3 C – 2,4 D – 4 E – 1,2,3,4
A
40° Si certaines de ces manifestations peuvent être observées autant dans la rectocolite hémorragique que dans la maladie de Crohn iléo-colique, l’une d’elles n’est rencontrée que dans cette dernière affection :
A – Une spondylarthrite ankylosante
B – Un érythème noueux
C – Une diarrhée sanglante
D – Une lithiase rénale oxalique
E – Un pyoderma gangrenosum
D
Commentaire :
L’hyperoxalémie responsable d’une lithiase nécessite une atteinte iléale. Celle-ci n’est jamais observée (pas d’atteinte du grêle) dans la RCH.
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41° Un seul des signes suivants est caractéristique d’une occlusion par volvulus du sigmoïde. Lequel ?
A – Fièvre précoce
B – Météorisme oblique
C – Sang au toucher rectal
D – Distension de l’ensemble du cadre colique à l’abdomen sans préparation
E – Niveaux liquides coliques
B
Commentaire :
D – Cela se voit en règle dans les occlusions incomplètes réalisées habituellement par les obstructions terminales.
42° Parmi les caractères suivants, indiquez celui qui s’applique à l’iléus biliaire :
A – Est la conséquence de l’enclavement d’un calcul au niveau de la région cervico-cystique
B – Son évolution est dominée par le risque de suppuration intra-hépatique
C – Est toujours associé à une vésicule volumineuse, tendue, palpable D – Est responsable d’une occlusion du grêle
E – Le calcul est toujours pur, constitué de bilirubinate de calcium
D
Commentaire :
Il s’agit d’un complication rare des fistules cholécystoduodénales ; cliniquement elle réalise une occlusion évoluant par accès avec migration des douleurs. Radiologiquement, le signe pathognomonique de la fistule est la présence d’air dans les voies biliaires (aérobilie).
43° Cette femme est porteuse d’un cancer occupant la moitié antérieure de l’ampoule rectale; le pôle inférieur de la tumeur est situé à 3 centimètres de la marge anale. Cette lésion est mobile et paraît extirpable. Si l’on peut donc réaliser une exérèse, quelle sera la situation de la patiente après l’intervention curatrice habituellement pratiquée dans ce cas ?
A – Aura une cicatrice abdominale
B – Aura une cicatrice périnéale
C – Sera porteuse d’une iléostomie
D – Sera porteuse d’une colostomie iliaque gauche
E – Gardera son anus périnéal naturel
A B D
Commentaire :
L’intervention s’impose (A) ;
l’amputation abdominopérinéale est indispensable
(B ) compte tenu de la proximité du pôle inférieur de la tumeur par rapport à la marge anale.
44° Une décompensation ictéro-ascitique d’une cirrhose éthylique peut relever de plusieurs étiologies. Une ou plusieurs dans la liste ci-dessous est/sont exacte(s) :
A – Hémorragie digestive
B – Encéphalopathie hépatique
C – Adéno-cancer
D – Infection entéro-péritonéale
E – Insuffisance rénale fonctionnelle
A C D
Commentaire :
B E – Sont des conséquences possibles.
A – Impose la recherche par NFS et toucher Rectal au minimum.
C – La décompensation ictéro-ascitique d’une cirrhose bien compensée jusqu’alors peut révéler un carcinome hépatocellulaire (le terme d’adéno cancer est imprécis)
45° Une ascite riche en protéine Rivalta positif évoque :
A – Un cavernome portal congénital
B – Un syndrome néphrotique aigu
C – Une tuberculose péritonéale
D – Une carcinose péritonéale
E – Une surinfection de l’ascite chez un cirrhotique
C D E
Commentaire :
E – Les ascites infectées du cirrhotique sont en règle plus pauvres en protides que les ascites non infectées . Une ascite riche en protides (>20 g/P) doit faire rechercher une pathologie maligne ou une tuberculose.
46- les angiomes stellaires :
a. Peuvent être observés pendant la grossesse
b. Ne peuvent être observés au cours de l’hépatite aiguë
c. Peuvent être congénitaux
d. Sont observés dans toutes les maladies comportant une HTP
ac
47- Concernant l’appendicite aiguë
a. L’appendicite mésocoeliaque peut simuler une salpingite aiguë
b. L’appendicite pelvienne peut être révélée par des signes urinaires
c. Le toucher rectal est toujours douloureux
d. Il existe souvent une hyperleucocytose à PNN
bd
48- Hernies hiatales et leurs complications
a. Une hernie hiatale par glissement avec œsophagite peptique stade 1 est une indication opératoire formelle
b. Une sténose peptique de l’œsophage doit toujours être traitée par œsophagoplastie colique
c. L’ulcère peptique de l’œsophage compliquant un reflux acide est une indication opératoire.
d. Les complications respiratoires des hernies hiatales par glissement doivent être toujours traités médicalement
d
49- La hernie inguinale oblique externe
a. Possède un orifice situé en dehors des vaisseaux épigastriques
b. A un orifice superficiel situé en dehors du grand droit de l’abdomen
c. S’extériorise au dessous de la ligne de Malgaigne
d. Peut contenir une corne vésicale
e. peut descendre dans la grande lèvre chez la femme
abde
50- la hernie crurale
a. s’extériorise au-dessous de la ligne de Malgaigne
b. A un collet situé en dedans de la veine fémorale
c. Peut s’engager dans la bourse chez l’homme
d. Peut descendre dans la grande lèvre chez la femme
e. S’étrangle fréquemment
abe
51- Causes de diarrhée fébrile
a. Choléra
b. Toxi-infection alimentaire à S. typhi
c. Amibiase intestinale
d. Shigellose
bd
52- L’une des manifestations est rencontré dans la maladie de Crohn et non dans le RCUH
a. Arthropathie axiale
b. Erythème noueux
c. Diarrhée sanglante
d. Lithiase rénale oxalique
e. Un pyoderma gangrenosum
d
53- Un seul des signes suivants est caractéristique d’un volvulus du sigmoïde :
a. Fièvre précoce
b. Météorisme oblique
c. Distension de l’ensemble du cadre colique à l’ASP
d. Niveau liquide colique
b
54- Une décompensation ictéro-ascitique d’une cirrhose peut être la conséquence de :
a. Hémorragie digestive
b. Encéphalopathie hépatique
c. Adéno-cancer
d. Infection entéro-péritonéale
e. Insuffisance rénale fonctionnelle
acd
55- Une ascite riche en protéine évoque
a. Un cavernome porte
b. Un syndrome néphrotique aigu
c. Une tuberculose péritonéale
d. Une carcinose péritonéale
e. Une ascite de cirrhose
cde
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56- Maladie cœliaque
a. Les lésions sont d’intensité croissante du duodénum à l’iléon
b. Sur le transit du grêle, l’espace interpli est augmenté
c. Le test de Schilling est constamment perturbé
d. Le diagnostic peut être porté devant une ostéomalacie
e. La survenue d’un lymphome dans l’évolution à long terme
bde
57- La localisation la plus fréquente des cancers colorectaux est
a. Le caecum
b. Le côlon descendant
c. Le recto-sigmoïde
c
58- Le syndrome dysentérique au cours de l’amibiase colique aiguë non compliqué comporte tous ces signes, sauf un, lequel :
a. Des selles glaireuses
b. Des selles sanglantes
c. Un ténesme rectal
d. Une fièvre élevée
d
59- Eléments qui peuvent être associés à l’ulcère duodénal (RF)
a. Un ulcère gastrique
b. Une antrite érosive
c. Une duodénite érosive
d. Une atrophie du fundus
d
60- Dans la maladie de Gilbert :
a. Une élévation des transaminases
b. Une hyperbilirubinémie non conjuguée
c. Une élévation des GGT
d. Ictère aggravé par le jeune
e. Amélioration par le phénobarbital
bde
61- Dans la maladie cœliaque, la portion de l’intestin grêle qui comporte de façon précoce et constate des lésions d’atrophie villositaire :
a. L’intestin grêle proximal
b. L’iléon
c. L’iléon terminal
a
62- Une rupture du pancréas au niveau de l’isthme peut provoquer
a. Une pancréatite aiguë
b. Un cholépéritoine
c. Un hémopéritoine
d. Un hématome rétropéritonéale
e. Une hémobilie
acd
63- Les lésions de l’œsophage qui nécessitent une surveillance endoscopique prolongée sont :
a. Les diverticules épibronchiques
b. L’œsophagite par reflux avec EBO
c. L’achalasie
d. Les sténoses caustiques
e. L’œsophagite mycosique
bcd
64- Chez un ictérique, la palpation d’une grosse vésicule évoque :
a. Un cancer du hile du foie
b. Une lithiase du cholédoque
c. Une pancréatite sténosant la VBP
d. Un cancer de la tête du pancréas
cd
65- La vagotomie hypersélective (ulcère duodénal rebelle au traitement médical) :
a. Respecte les branches motrices antrales du X
b. Elle a pour but de sectionner les branches sécrétoires gastriques du X
c. Elle laisse habituellement l’ulcère en place
d. Elle nécessite une opération de vidange (pyloroplastie)
e. Elle est plus efficace que la vagotomie + antrectomie
abc
66- Une dilatation de l’œsophage peut être observée en cas :
a. D’un cancer du cardia
b. D’un cancer du tiers inférieur de l’œsophage
c. D’une maladie de Chagas
d. D’une maladie des spasmes diffus de l’œsophage.
abc
67- Complication la plus fréquente en cas de cancer de sigmoïde :
a. Abcès péri-sigmoïdien
b. Fistule colo-vésicale
c. Occlusion intestinale aiguë
d. Perforation tumorale
c
68- La maladie de Gilbert (RF)
a. L’ictère est à bilirubine non conjuguée
b. Il n’y a pas d’HPM
c. La phosphatase alcaline est normale
d. L’épreuve du jeûne augmente la bilirubine non conjuguée
e. Le test au phénobarbital augmente la bilirubine non conjuguée
e
69- La gravité de la pancréatite aiguë est apprécié par :
a. L’élévation des phosphatases acides
b. L’hypocalcémie
c. L’hyperamylasémie
d. L’hyperleucocytose à PNN
bd
70- Eléments échographiques de la pancréatite chronique
a. Dilatation du canal de Wirsung
b. Retentissement sur le tube digestif
c. Dilatation de la VBP
ac
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71- A propos de volvulus sur bride de l’intestin grêle
a. La bride peut être d’origine congénitale
b. En cas de bride unique, celle-ci siège constamment au pied de l’anse volvulée
c. Le sens se torsion de l’anse se fait indifféremment dans le sens horaire ou anti-horaire
d. La dilatation intestinale frappe exclusivement l’intestin en amont du volvulus et respecte l’anse volvulée
e. Le maximum des lésions anatomiques siège au pied de l’anse volvulée
ace
72- L’occlusion par cancer du sigmoïde se caractérise par :
a. Début progressif
b. Météorisme abdominal important
c. Forte intensité des coliques abdominales
d. Un grand nombre de niveau hydroaérique
e. Des niveaux hydroaériques plus hauts que larges
abe
73- Un météorisme d’obstruction dans une occlusion intestinale aiguë est évoqué devant :
a. Ondulations péristaltiques
b. Silence abdominal
c. Asymétrie du météorisme
d. Conservation de l’état général
a
74- Au cours d’une malabsorption intestinale, on peut observer :
a. Hypocalcémie
b. Elévation des phosphatases alcalines
c. Hypocholestérolémie
d. Hypoprothrombinémie
abcd
remarque : b (par ostéomalacie), d (par carence en vitamine K).
75- La polypose rectocolique familiale
a. Est une maladie héréditaire liée au sexe
b. Chez l’enfant peut s’accompagner d’un retard de croissance
c. Evolution spontanée vers la cancérisation
d. Doit être traitée chirurgicalement
bcd
76- La vagotomie suprasélective (fundique)
a. Diminue la sécrétion acido-peptique gastrique
b. Nécessite une pyloroplastie complémentaire
c. Est l’opération de choix dans l’ulcère gastrique
d. A pour séquelle une diarrhée persistante
a
77- Quels sont les CI du traitement médical de LV par Ursolvan®
a. Vésicule exclue radiologiquement
b. Lithiase pigmentaire
c. Grossesse
d. Lithiase calcifiée
e. Taille de calcul > 30mm.
abcde
78- Quelle est la chaîne ganglionnaire qui est le plus souvent envahis en cas de cancer de la petite courbure de l’estomac :
a. cardio-tubérositaire
b. Gastro-épiploïque droite
c. Coronaire stomachique
c
79- Quelle est l’intervention qui procure le plus faible pourcentage de récidives en cas d’ulcère bulbaire :
a. La vagotomie tronculaire + pyloroplastie
b. La vagotomie suprasélective
c. La gastrectomie des 2/3
d. La vagotomie + antrectomie.
e. L’intervention de Taylor
d
80- Un mécanisme de strangulation dans une occlusion intestinale aiguë est évoqué devant :
a. Douleurs permanentes
b. Signe de Von Wahl
c. Bruits hydro-aériques
d. Hoquet
ab
81- Complications au cours d’une diverticulose sigmoïdienne colique :
a. hémorragie par voie basse
b. Occlusion
c. Infection diverticule
d. Péritonite cloisonnée
e. Fistule colo-vésicale
abcde
82- Le procédé Finesterer après gastrectomie partielle pour ulcère duodénal comporte une anastomose :
a. Gastro-jujénale termino-terminal sur toute la tranche gastrique
b. Gastro-jujénale termino-latérale sur une partie de la tranche gastrique
c. Gastro-jujénale latéro-latérale
b
83- La vagotomie suprasélective pour ulcère duodénal respecte l’innervation
a. Du cardia
b. Du corps de l’estomac
c. Du fundus
d. De l’antre
e. Du pylore
de
84- En cas d’hémopéritoine traumatique par rupture de rate, on observe habituellement :
a. Contracture abdominale
b. Matité des flancs
c. Douleur au toucher rectal
d. Bruits hydroaériques
e. Irradiation de la douleur à l’épaule gauche
bce
85- Une douleur thoracique rétrosternale d’origine œsophagienne peut
a. Survenir de manière spontanée
b. Survenir à l’occasion des repas
c. Etre soulagée par la prise de trinitrine
d. Augmenter à l’inspiration profonde
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86- Parmi les parasites suivants, quel est le seul responsable d’un syndrome dysentérique ?
A. Entamoeba coli
B. Endolimax nana
C. Giardia intestinalis
D. Entamoeba histolytica
87- Un syndrome dysentérique au cours d’une amibiase colique aiguë non compliqué comporte :
A. Des selles glaireuses
B. Des selles sanglantes
C. Un ténesme rectal
D. Une fièvre élevée
88- L’amibiase intestinale peut être contractée :
A. Par l’eau de boisson
B. Par voie transplacentaire
C. Par l’ingestion d’aliments crus
D. Chez les homosexuels par voie vénérienne.
89- Le diagnostic d’amibiase intestinale aiguë est retenu devant:
A. Un examen parasitologique des selles qui trouve toujours la forme kystique.
B. Un examen parasitologique des selles qui trouve toujours la forme végétative.
C. Une coproculture qui objective la présence de forme kystique.
D. Un syndrome dysentérique.
90- En cas d’amibiase intestinale aiguë :
A. Le début de la symptomatologie est progressif.
B. La fièvre est présente de façon quasi-constante.
C. L’état général peut s’altérer par déshydratation.
D. Il y’a poly-éxoneration afécale.
91-Les complications de l’amibiase intestinale aiguë :
A. La déshydratation.
B. L’amoebome fréquemment.
C. La perforation intestinale.
D. Une surinfection bactérienne.
92- Parmi les affirmations suivantes concernant l’amibiase intestinale, lesquelles sont vraies ?
A. L’amibiase intestinale est due à Entamoeba dispar.
B. Le mode de transmission habituel de l’amibiase est féco-oral.
C. La recto-sigmoïdo-scopie rencontre des ulcérations en coup d’ongle, et des abcès en boutons de chemise.
D. Le traitement probabiliste est licite devant une diarrhée au retour d’un pays d’endémie
93- La posologie du traitement de l’amibiase par le metronidazole chez l’adulte est de :
A. 1g/j pendant 7 jours.
B. 2g/j pendant 7 jours.
C. 200 mg/j pendant 7 jours.
D. 30 mg/kg/j pendant 7 jours.
94- Au cours de l’amibiase intestinale aiguë, le syndrome dysentérique associe : (la RJ)
A. Emissions de selles afécales.
B. Epreinte et ténesme
C. Un TR douloureux.
D. Toutes les réponses sont correctes.
95-Parmi les éléments suivants indiquez celui (1) qu’on utilise pour confirmer le diagnostic d’amibiase intestinale:
A. Aspects endoscopiques
B. clinique: syndrome dysentérique
C. présence d’hyperleucocytose à l’hémogramme
D. la parasitologie des selles
96- Sont des complications de l’amibiase intestinale :
A. Colectasie
B. perforation colique
C. amoebome
D. la réponse A est fausse
97- Le syndrome dysentérique au cours d’une amibiase aiguë comporte:
A. les épreintes
B. les ténèsmes
C. les évacuations rectales anormales
D. la diarrhée
98- Devant un tableau dysentérique aigu, il faut évoquer une amibiase:
A. Même en l’absence d’E. histolytica dans les selles.
B. S’il y a dans les selles des formes minuta d’E. histolytica.
C. S’il y a dans les selles des kystes.
D. S’il y a dans les selles des salmonelles.
99- Dans l’amibiase intestinale aiguë, le syndrome dysentérique franc:
A. Est de début souvent brutal.
B. Est de début plus brutal que celui des dysenteries bacillaires.
C. Est précédé de symptômes à type d’anorexie, de dysepsie.
D. peut être provoqué par l’un des facteurs suivants: stress, modification de la flore intestinale.
100- Dans l’amibiase aiguë, les exonérations sont:
A. Faites de selles sanglantes.
B. Au nombre de 15 à 20 par jour.
C. Sont afécales.
D. Sont faites de glaires plus que de selles.
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101- Parmi les signes cliniques suivants, quels sont ceux qui se rencontrent dans l'”amibiase chronique”?
A. Rectorragies.
B. Diarrhée au long cours.
C. Constipation au long cours.
D. Douleurs abdominales variées.
102- Parmi les modes évolutives de l’amibiase intestinale, l’une est fausse. Laquelle ?!
A. Forme aiguë grave
B. Forme chronique en absence de traitement
C. Forme tumorale(ameboeme)
D. dégéneréscence maligne
103- Le syndrome dysentérique impose la réalisation de:
A. coproculture et parasitologie des selles
B. TR
C. rectoscopie
D. coloscopie
E. Transit du grêle
104- Quels sont les deux localisations habituelles d’une amibiase digestive:
A. Rectosigmoïde
B. Colon transverse
C. Caecum
D. Grêle
105- Le syndrome dysentérique peut se voir en :
A. cas d’amibiase
B. cas de salpingo-ovarite ou la prostatite
C. cas de rectocolite hémorragique
D. post-radiothérapie
Les réponses : 86- D 87- ABC 88- ACD 89- AD 90- CD 91- ACD 92- BCD 93- BD 94- D 95- D 96- ABC 97- ABCD 98- ABC 99- ACD 100- ACD 101- BCD 102- D 103- ABC 104- AC 105- ABCD
=> 5 PolyQCM sur l’amibiase intestinale
1- Concernant l’amibiase intestinale :
A. le dépistage et traitement des sujets « même asymptomatiques » est obligatoire.
B. Elle simule le tableau de certaines maladies inflammatoires et tumorales.
C. L’FNS peut montrer une anémie
D. La Vs est toujours accélérée
2- L’amibiase intestinale aiguë :
A. Déclenche les poussées des MICI
B. Est traité par le Métronidazole (Flagyl ®)
C. A une issue fatale si elle se transforme en amibiase maligne
D. Nécessite un diagnostic sérologique à ce stade
3- Le syndrome dysentérique au cours de l’amibiase colique aiguë non compliqué comporte tous ces signes, sauf un, lequel :
A. des selles glaireuses
B. des selles sanglantes
C. un ténesme rectal
D. une fièvre élevée
4- Lesquels parmi ces éléments sont habituellement positifs en cas d’amoebome :
A. Biopsies (qui ramènent des amibes)
B. Sérologie amibienne
C. Examen des selles
D. Toutes les réponses sont justes
5- Concernant l’amibiase colique :
A. on conseille un amoebicide tissulaire
B. on conseille un amoebicide de contact
C. nécessite parfois une prise en charge médico-chirurgicale
D. le portage asymptomatique est traité par amoebicide de contact
Les réponses : 1- ABC 2- ABC 3- D 4- AB 5- ABCD
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=> 25 PolyQCM sur la cirrhose
1- Un foie de cirrhose non compliquée présente à l’examen, habituellement :
A. Une hyperthophie
B. Une surface marronnée
C. Une consistance dure
D. Une palpation douloureuse
E. Un bord inférieur tranchant
2- Au cours d une cirrhose, l’insuffisance hépatocellulaire se manifeste par :
A. Baisse du facteur V
B. Augmentation de l’activité rénine plasmatique
C. Elévation du cholestérol total
D. Elévation de la bilirubine
E. Baisse du fer sérique
3- Les angiomes stellaires :
A. Sont pathognomoniques de la cirrhose alcoolique
B. Peuvent être observés au cours de la grossesse
C. Ne peuvent pas être observés au cours d’une hépatite aiguë
D. Peuvent être congénitaux
E. Sont observés dans toutes les maladies comportant une hypertension portale
4- Une décompensation ictéro-ascitique d’une cirrhose éthylique peut relever de plusieurs étiologies. Une ou plusieurs dans la liste ci-dessous est/sont exacte(s) :
A. Hémorragie digestive
B. Encéphalopathie hépatique
C. Adéno-cancer
D. Infection entéro-péritonéale
E. Insuffisance rénale fonctionnelle
5- La première poussée d’ascite chez un cirrhotique doit être traitée par :
A. Le régime désodé et les diurétiques
B. Les corticoïdes
C. La ponction concentration réinjection d’ascite
D. Le shunt péritonéo-jugulaire
E. La dérivation porto-cave
6- La cirrhose hépatique alcoolique :
A. Est la cause la plus fréquente d’hypertension portale en France
B. Se complique dans 30 % des cas d’une angiocholite
C. Prédispose à la survenue d’un carcinome hépatocellulaire
D. Est toujours mortelle en moins de 5 ans
E. Peut guérir après arrêt total des boissons alcoolisées pendant trois ans
7- L’apparition d’une fièvre chez un cirrhotique fait envisager plusieurs étiologies. Laquelle ou lesquelles parmi les suivantes ?
A. Pyléphlébite
B. Hépatocarcinome
C. Septicémie à germes Gram négatif
D. Hépatite alcoolique
E. Une insuffisance rénale fonctionnelle
8- Une insuffisance hépatocellulaire peut se traduire cliniquement par :
A. Angiomes stellaires
B. Hypertrophie parotidienne
C. Flapping tremor
D. Erythrose palmaire
E. Maladie de Dupuytren
9- Les signes cliniques de l’encéphalopathie hépatique peuvent comporter toutes ces manifestations sauf une :
A. Des crises convulsives
B. Des déficits moteurs variables
C. Un foetor hepaticus
D. Un astérixis
E. Une hypertonie oppositionnelle
10- Quelle(s) est(sont) la(les) manifestation(s) hématologique(s) fréquemment rencontrée(s) au cours des cirrhoses hépatiques avec hypertension portale ?
A. Macrocytose avec ou sans anémie
B. Allongement du temps de Quick
C. Thrombopénie
D. Hyperleucocytose avec lymphocytose
E. Toutes les réponses sont vraies
11- Parmi les propositions suivantes, citez celle qui ne fait pas partie du syndrome d’hypertension portale :
A. Circulation veineuse collatérale abdominale
B. Splénomégalie
C. Ascite
D. Erythrose palmaire
E. Varices oesophagiennes à l’endoscopie
12- Chez un malade qui présente une cirrhose alcoolique avec insuffisance hépatocellulaire sévère, quel est le bilan de coagulation le plus vraisemblable ?
A. Fibrinogène : 3g/l II : 90% VII+X : 100% V : 90% IX : 100%
B. Fibrinogène : 3g/l II : 30% VII+X : 20% V : 100% IX : 20%
C. Fibrinogène : 0,80g/l II : 50% VII+X : 100% V : 20% IX : 100%
D. Fibrinogène : 4g/l II : 100% VII+X : 100% V : 100% IX : 1%
E. Fibrinogène : 1g/l II : 30% VII+X : 20% V : 40% IX : 25%
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13- Parmi ces anomalies biologiques, laquelle(lesquelles) peu(vent)t caractériser une insuffisance hépato-cellulaire ?
A. Elévation du taux des transaminases sériques
B. Elévation de la phosphatase alcaline sérique
C. Hypercholesterolémie
D. Hypoalbuminémie
E. Abaissement du taux de prothrombine, sans abaissement du taux du facteur
14- Le traitement de l’encéphalopathie des cirrhoses comprend :
A. La restriction protidique
B. La prescription d’antibiotiques (Néomycine®)
C. La prescription de lactulose
D. La perfusion d’acides aminés aromatiques
E. La correction des troubles électrolytiques
15- Parmi les situations suivantes, lesquelles contre-indiquent l’emploi des spironolactones pour le traitement d’une ascite cirrhotique ?
A. Créatinine sérique élevée
B. Natrémie > 135 mmoles/I
C. Natrémie < 130 mmoles/I
D. Kaliémie < 3,5 mmoles/I
E. Kaliémie > 5,5 mmoles/I
16- A propos de l’ascite cirrhotique, il est exact que :
A. L’ascite du cirrhotique est souvent associée à des oedèmes des membres inférieurs
B. Une ascite de 300 ml peut passer cliniquement inaperçue
C. L’échographie abdominale peut détecter des ascites de petit volume
D. Le signe du glaçon se rencontre dans les ascites cloisonnées
E. La ponction d’ascite s’effectue dans la fosse iliaque droite
17- Le traitement de l’encéphalopathie des cirrhoses comprend : Quelle est la proposition fausse ?
A. La restriction protidique
B. La prescription d’antibiotiques Néomycine®
C. La prescription de lactulose
D. La perfusion d’acide aminé aromatique
E. La correction des troubles électrolytiques
18- Une encéphalopathie hépatique chez un cirrhotique peut être déclenchée par :
A. Une hémorragie digestive
B. Une septicémie à germe Gram (-)
C. La prescription de Valium®
D. Un régime hyperprotidique
E. La prescription de diurétiques hypokaliémiants
19- Quels examens ferez-vous appel pour affirmer le diagnostic de carcinome hépatocellulaire ?
A. Echographie hépatique après ponction évacuatrice
B. Scanner hépatique
C. Téléthorax
D. Dosage d’alpha-foeto-proteine sanguine
E. Examen cyto bactériologique du liquide d’ascite
20- quels sont les arguments qui doivent faire évoquer la survenue d’un hépatocarcinome ?
A. la survenue d’un ictère
B. La présence d’angiomes stellaires
C. L’hépatomégalie douloureuse
D. L’augmentation des transaminases à 2 fois la limite supérieure de la normale
E. L’augmentation des phosphatases alcalines à 2 fois la limite supérieure de la normale
21- CS: On parle d’hépatomégalie lorsque la fléché hépatique mesurée sur la ligne médioclaviculaire est :
A. Supérieure à 10 cm
B. Supérieure à 12 cm
C. Supérieure à 14 cm
D. Supérieure à 08 cm
22- La cirrhose :
A. Est caractérisée par une désorganisation de l’architecture normale du foie par la fibrose
B. Est due à plusieurs étiologies en particulier l’hépatite A
C. Peut se compliquer d’encéphalopathies et d’ictère
D. Le traitement de sa cause permet sa régression
23- CS : Une seule des maladies suivantes ne se complique pas de cirrhose, laquelle ?
A. Hépatite auto-immune
B. Hépatite virale A
C. Hépatite virale B
D. Hépatite virale C
24- Devant une hépatomégalie, quel(s) signe(s) oriente(nt) vers une cirrhose ?
A. Bord inférieur tranchant
B. Reflux hépato-jugulaire
C. Souffle hépatique
D. Consistance dure
25- Concernant la biopsie hépatique, toutes les affirmations suivantes sont vraies sauf une, laquelle ?
A. La PBH est le seul élément de certitude diagnostic.
B. La PBH affirme le diagnostic de cirrhose
C. Sans elle le diagnostic de cirrhose ne peut être porté que de manière probabiliste
D. Les données histologiques de la PBF sont incluses dans le score de Child-Pugh
Les réponses : 21- B 22- AC 23- B 24- AD 25- D
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=> 20 PolyQCM sur les tumeurs du foie
1- Parmi ces critères, lesquels sont indispensables pour le diagnostic du carcinome hépatocellulaire quand on veut éviter la biopsie hépatique :
La présence d’une cirrhose
Nodule de plus de 2cm
Rehaussement artériel du nodule à l’imagerie
Lavage ou «wash out» au temps portal
Élévation de l’alphafœtoprotéine
2- L’adénome hépatocellulaire :
Le diagnostic nécessite toujours une biopsie hépatique
Est une tumeur bénigne
Elle est favorisée par la prise prolongée de contraceptifs oraux
Une transformation maligne est possible
Ne nécessite aucun suivi
3- Le carcinome hépatocellulaire :
Se développe presque toujours sur une maladie chronique du foie
Au cours de la cirrhose, l’incidence du carcinome hépatocellulaire est de l’ordre de 2 à 5% par an
Est vascularisé exclusivement par la veine porte
L’augmentation de l’alphafœtoprotéine est un marqueur très sensible et très spécifique de cette tumeur
Un taux d’alphafœtoprotéine > 50 ng/mL suggère fortement qu’un carcinome hépatocellulaire est présent
4- Parmi les cancers primitifs suivants lesquels sont en cause le plus souvent en cas de métastases hépatiques :
Les cancers du sein
Les adénocarcinomes du tube digestif et du pancréas
Les carcinomes anaplasiques
Les mélanomes malins
Les tumeurs endocrines
5- Les facteurs de risque du carcinome hépatocellulaire sont :
Le sexe féminin
L’âge
La durée d’évolution de la maladie du foie
Le diabète
L’alcool
6- L’hémangiome hépatique est :
Une tumeur bénigne
Très rare
Hyperéchogène à l’échographie
Parfois multiple
À surveiller dans tous les cas
7- En imagerie, les métastases hépatiques d’adénocarcinome digestif peuvent présenter les aspects suivants :
Nodules hypoéchogènes
Nodules hypodenses avant injection de produit de contraste
Peuvent prendre un aspect kystique
Généralement n’ont pas de paroi
Toutes les réponses sont vraies
8- Au cours du cancer primitif du foie (carcinome hépato-cellulaire), le(s) signe(s) suivant(s) peut (peuvent) s’observer:
Douleur de l’hypochondre droit
Hyperleucocytose
Fièvre
Hépatomégalie dure
Hypoglycémie
9- Toutes les affections suivantes prédisposent au cancer primitif du foie, sauf une, indiquez laquelle:
Hémochromatose
Cirrhose alcoolique
Fibrose hépatique au chlorure de vinyle
Amylose
Thorotrastose
10- Parmi des données histologiques suivantes, indiquer celle(s) à laquelle ou auxquelles répond le cancer primitif du foie :
Carcinome épidermoïde différencié
Péliose hépatique
Angiosarcome
Cholangiocarcinome
Carcinome hépato-cellulaire
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11- Parmi les propositions suivantes, citer celle(s) qui pourrai(en)t être responsable(s) d’un carcinome hépatocellulaire:
Virus A
Virus B
Aflatoxine B1
Estrogènes
Androgènes
12- On décèle, sur une ponction biopsie hépatique, la métastase d’un carcinome épidermoïde ; parmi les organes suivants, lequel est le siège le plus probable de la tumeur primitive ?
Estomac
Pancréas
Poumon
Colon
Thyroïde
13- Une échographie abdominale retrouve une zone hyperéchogène dans le foie. Il peut s’agir :
D’un kyste liquidien
D’une calcification
D’un angiome
D’une tumeur primitive
D’une métastase
14- Parmi les caractéristiques suivantes concernant l’hyperplasie nodulaire focale du foie, quelles sont celles qui sont exactes ?
il s’agit d’une tumeur bénigne
elle ne saigne jamais
elle est liée à la prise de la pilule
elle est caractéristique en imagerie radiologique en raison d’une cicatrice étoilée périphérique elle doit toujours être opérée
15- Parmi les tumeurs bénignes suivantes, quelles sont celles qui sont associées à un risque de développement d’un carcinome hépato-cellulaire ?
le kyste biliaire
l’angiome
l’adénome hépato-cellulaire
l’hyperplasie nodulaire focale
le cystadénome
16- On découvre un gros foie de surcharge en échographie. Quel examen permet de différencier une stéatose d’une hémochromatose ?
ponction biopsie,
TDM abdominal,
ASP,
artériographie digestive,
scintigraphie hépatique.
17- Chez un malade âgé de 52 ans, en bon état général, porteur d’un carcinome hépato-cellulaire développé sur cirrhose aloolique Child A, sous forme d’un nodule de 40 mm visible en échographie et s’accompagnant de thrombose segmentaire portale, quelles sont les propositions thérapeutiques qui vous paraissent envisageables ?
une chirurgie de résection
une chirurgie de transplantation
une chimioembolisation lipiodolée
une injection intra-tumorale d’éthanol
une hormonothérapie par Nolvadex
18- une hépatomégalie avec parenchyme hétérogène peut se voir dans :
lymphome,
cirrhose,
foie cardiaque,
métastases,
hépatocarcinome.
19- l’association d’une hépatomégalie hétérogène et d’adénopathies hilaire et coelio-mésentérique doit faire évoquer :
cirrhose,
angiomes multiples,
lymphome,
hémochromatose,
métastases.
20-Devant une hépatomégalie, quel(s) signe(s) oriente(nt) vers une cirrhose du foie?
Bord inférieur tranchant
Reflux hepatojugulaire
Souffle hepatique
Turgescence des jugulaires
Consistance dure
Les réponses : 1- ABCD 2- BCD 3- AB 4- B 5- BCDE 6- ACD 7- ABC 8- ABCDE 9- D 10- CDE 11- BCDE 12- C 13- BCDE 14- AB 15- CE 16- B 17- ABD 18- ADE 19- CE 20- AE
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=> 6 PolyQCM sur l’hernie hiatale
1- Quelles sont les propositions exactes concernant la hernie hiatale?
A. Toute hernie hiatale par glissement se complique d’un reflux gastro-œsophagien
B. Une hernie hiatale peut être à l’origine d’une anémie ferriprive
C. L’étranglement est la complication de la hernie hiatale par roulement
D. L’âge n’influence pas la fréquence de la hernie hiatale
E. Toute hernie hiatale doit être opérée
2- Parmi les propositions suivantes, laquelle ne s’applique pas aux hernies hiatales par glissement:
A. La hernie est parfois intermittente
B. La hernie peut s’étrangler
C. Le reflux gastro-oesophagien est inconstant
D. La hernie peut être responsable d’une oesophagite
E. La hernie peut être asymptomatique et découverte à l’occasion d’un cliché thoracique
3- Le diagnostic de hernie hiatale par roulement est habituellement compatible avec une ou plusieurs des propositions suivantes. Laquelle ou lesquelles?
A. Sa fréquence moindre que celle de la hernie hiatale par glissement
B. Un cardia intra-abdominal
C. Un angle de His habituellement largement ouvert
D. Un estomac porteur d’un ulcère de l’angle de la petite courbure
E. Sa complication la plus fréquente est l’oesophagite peptique
4- Parmi les propositions suivantes concernant le traitement des hernies hiatales et de leurs complications, quelle(s) est(sont) celle(s) qui est (sont) exacte(s)?
A. Une hernie par glissement avec oesophagite peptique stade 1 est une indication opératoire
B. Une sténose peptique oesophagienne doit toujours être traitée par oesophagoplastie colique
C. L’ulcère peptique de l’oesophage compliquant un reflux acide est une indication opératoire
D. Il est possible de dilater les sténoses peptiques de l’oesophage
E. Les complications respiratoires des hernies par glissement sont traitées médicalement
5- Complications des HH par glissement (1RF) :
A. Hémorragie digestive
B. Sténose oesophagienne
C. Etranglement herniaire
D. EBO
6- Quelles sont les complications d’une hernie hiatale par roulement ? (CS)
A. Hémorragie digestive haute
B. Occlusion digestive
C. Aphagie
D. Etranglement herniaire
E. Vomissements
Les réponses : 1- BC 2- B 3- AB 4- CD 5- B 6- D
=> 5 PolyQCM sur les Lymphomes malins nonhodgkiniens primitifs du tube digestif
1- Parmi ces localisations primitives extra-ganglionnaires du lymphome malin non hodgkinien, quelles est la plus fréquente?
a) Cerveau
b) Sphère ORL
c) Poumon
d) Tube digestif
e) Rein
2- On parle d’un lymphome gastrique à petites cellules (LGP) de haut grade s’il y’a :
a) Des ulcérations nodulaires.
b) De multiples ulcérations
c) Une masse ulcérée
d) Un ulcère à gros plis
e) De multiples polypes
3- La localisation la plus fréquente du LMNH (occidental) du tube digestif est :
a) L’estomac
b) Le duodénum
c) Le jéjunum
d) L’iléon
e) Le colon
4- Concernant le lymphome malin non-hodgkinien primitif du tube digestif, et de type occidental :
a) Il se manifeste sous l’aspect de polyposes au niveau du grêle.
b) Les localisations œsophagiennes et appendiculaires sont exceptionnelles.
c) Il se manifeste par de multiples polypes au niveau du grêle.
d) Il se manifeste par un aspect pseudo-anévrismal au niveau de l’estomac fundique.
e) Toutes les réponses sont bonnes
5- Concernant le LMNH primitif de type occidentale :
a) La symptomatologie n’est pas spécifique et dépend du siège de l’atteinte.
b) L’antibiothérapie peut être indiquée
c) Il est impératif de rechercher autres localisations
d) Le risque de transformation de LMNH de bas grade en LMNH de haut grade est considérable
e) La maladie peut être liée à la maladie cœliaque.
Les réponses : 1- D 2- Cd 3- A 4- Bc 5- Abce
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=> 20 PolyQCM sur la maladie de Crohn
1- L’examen ayant la meilleure rentabilité pour porter le diagnostic de maladie de Crohn est le suivant :
A. endoscopie œsogastroduodénale avec biopsies
B. iléocoloscopie avec biopsies
C. transit baryté de l’intestin grêle
D. entéroscanner
E. entéro-IRM
2- Parmi les affirmations suivantes concernant la maladie de Crohn, laquelle est fausse ?
A. elle prédomine dans les pays « occidentaux »
B. le pic d’apparition est à 45 ans
C. le tabagisme double le risque de maladie de Crohn
D. l’allaitement maternel réduit le risque d’apparition d’une maladie de Crohn
E. le rôle des mycobactéries n’a pas été confirmé
3- Parmi les affirmations suivantes concernant les sténoses intestinales au cours la maladie de Crohn, laquelle est fausse ?
A. elles siègent préférentiellement au niveau de l’iléon
B. elles peuvent être responsables d’un syndrome de König
C. elles peuvent être responsables d’un syndrome occlusif
D. il existe un parallélisme anatomoclinique
E. le traitement médical est le plus souvent efficace en phase initiale
4- Les manifestations extra-intestinales suivantes sont classiques au cours de la maladie de Crohn, sauf une, laquelle ?
A. Pyoderma gangrenosum
B. aphtes buccaux ou génitaux
C. maladies thromboemboliques
D. ostéopénie
E. cirrhose biliaire primitive
5- Parmi les affirmations suivantes concernant la maladie de Crohn, laquelle est vraie ?
A. les lésions anopérinéales sont observées dans un tiers des cas
B. 30 % des patients nécessitent une chirurgie de résection dans l’évolution de leur maladie
C. elle contre-indique les activités sportives et de loisirs
D. les troubles fonctionnels intestinaux sont rares dans cette population
E. la mortalité est nettement accrue en raison du risque de cancer colique
6- Quel(s) traitement(s) permet(tent) d’obtenir une réponse rapide en cas de poussée de maladie de Crohn :
A. dérivés salicylés
B. corticoïdes systémiques oraux
C. antibiotiques
D. azathioprine (Imurel)
E. anticorps anti-TNFα (Remicade)
7- Quel(s) traitement(s) est (sont) efficace(s) pour le maintien de la rémission au cours de la maladie de Crohn ?
A. dérivés salicylés
B. corticoïdes
C. antibiotiques
D. azathioprine (Imurel)
E. anticorps anti-TNFα (Remicade)
8- Citer les 2 localisations préférentielles de la maladie de Crohn :
A. l’iléon terminal
B. le colon droit
C. le duodénum
D. le rectum
E. l’oesophage
9- La maladie de Crohn :
A. Est une maladie pouvant atteindre les différents segments du tube digestif
B. Est aggravée par le tabac
C. Peut être associée à des manifestations extra-digestives
D. Peut se compliquer d’abcès profonds
E. Peut nécessiter un traitement d’entretien par immunosuppresseurs
10- A propos de la maladie de Crohn il est exact que :
A. L’inflammation est localisée à la muqueuse digestive sans intéresser les tuniques profondes
B. La maladie n’intéresse que l’iléon et/ou le côlon
C. Le granulome est constitué de cellules épithélioïdes, de cellules géantes et de caséum
D. Entre les lésions, il existe des intervalles de muqueuse saine
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11- La conférence de consensus de 2006 sur la vidéocapsule endoscopique recommande son utilisation en première intention dans les situations suivantes :
A. Saignement digestif inexpliqué après gastroscopie et coloscopie normales
B. Suspicion de tumeur de l’intestin grêle
C. Recherche d’une récidive postopératoire de maladie de Crohn
D. Colite indéterminée pour trancher entre rectocolite hémorragique et maladie de Crohn
E. Maladie cœliaque sous régime sans gluten
12- L’une des manifestations est rencontré dans la maladie de Crohn et non dans le RCUH :
A. Arthropathie axiale
B. Erythème noueux
C. Diarrhée sanglante
D. Lithiase rénale oxalique
E. Un pyoderma gangrenosum
13- 1 RF: Les complications potentielles d’une maladie de Crohn colique étendue anciennes comportent :
A. Les sténoses
B. Le cancer rectocolique
C. La malabsorption des micronutriments
D. Les fistules
E. Les abcès
14- Parmi les propositions suivantes, indiquez celle qui est très utile dans le diagnostic différentiel entre la maladie de Crohn et la RCUH :
A. Atteinte gauche prédominante
B. Atteinte rectale
C. Complications périanales
D. Forme des ulcères coliques
15- parmi les propositions suivantes concernant la maladie de Crohn, l’une est fausse laquelle ?
A. Elle peut atteindre tous les segments du tube digestif
B. Des signes d’inflammation extra digestive sont fréquemment associés
C. Elle évolue par poussées entrecoupées de périodes de rémission
D. Les lésions sont continues sans intervalle de muqueuse saine
E. 90 % des porteur de cette maladie sont opérés au moins une fille dans leurs vies
16- Parmi les propositions suivantes au sujet des complications de la maladie de Crohn, laquelle est fausse ?
A. Les mégacôlons toxiques sont beaucoup moins fréquents en cas de MC qu’en cas de RCUH.
B. Les sténoses de la dernière anse iléale peuvent être à l’origine de syndrome de Koenig.
C. Les perforations sont fréquentes
D. Les fistules sont exceptionnelles
17- Un des examens suivants a une place privilégiés au cours de la maladie de Crohn :
A. Lavement baryté
B. Iléo-coloscopie avec biopsie
C. TDM abdominale
D. Transit du grêle
18- Concernant la maladie de Crohn, deux de ces propositions sont vraies, lesquelles ?
A. L’évolution de la maladie se fait par poussées
B. L’association a une atteinte ano-périnéale est constante dans la localisation iléo-caecale
C. Le retard staturo-pondéral est fréquent chez le jeune adulte
D. Les fissures peuvent être à l’origine d’abcès
19- Au cours de la maladie de Crohn, la TDM:
A. a un intérêt dans la recherche d’un trajet fistuleux
B. a un intérêt dans le diagnostic différentiel avec la tuberculose iléo-caecale
C. a un intérêt dans la recherche d’un abcès
D. est systématiquement effectuée au début de l’évolution de la maladie de Crohn
20- Les examens biologiques au cours de la maladie de Crohn ont pour but de :
A. montrer au cours d’une poussée un syndrome inflammatoire.
B. Une hyperleucocytose à PNN en cas d’abcès
C. Juger l’efficacité d’un traitement médical à base de dérivés salicyclés.
D. Suivre la maladie de Crohn entre les poussées
Les réponses : 1- B 2- B 3- D 4- E 5- A 6- BE 7- BDE 8- AB 9- ABCDE 10- D 11- A 12- D 13- C 14- D 15- D 16- C 17- B 18- AD 19- C 20-….
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=> 42 PolyQCM sur la maladie ulcéreuse gastroduodénale
1- La gastrine est sécrétée par des cellules de l’estomac situées au niveau :
a- De l’antre
b- Du fundus
c- Du pylore
d- De la grosse tubérosité
2- L’hélicobacter pylori :
a- C’est un BG+ spiralé.
b- C’est un BGN spiralé.
c- Germe anaérobie découvert en 1992.
d- Produit de l’uréase qui hydrolyse l’urée du liquide gastrique en ammoniaque.
e- Colonise le mucus du type duodénal rarement de type gastrique
3- L’infection par l’H.pylori (CS):
a- La contamination se fait habituellement dans l’adolescence.
b- La contamination se fait le plus souvent par voie orofécale
c- Le seul réservoir est l’estomac humain.
d- Aucune des réponses n’est juste.
4- Dans l’ulcère gastrique :
a- Les biopsies sont systématisées pour éliminer un cancer gastrique ulcériforme.
b- Les biopsies du fond de l’ulcère sont utiles car elles mettent en évidence la fibrine.
c- Les biopsies sont nécessaires pour rechercher l’infection à H.pylori.
d- L’ulcère guérit sous la forme d’une cicatrice blanchâtre.
5- Le traitement actuel de la MUGD repose sur l’association (CS):
a- Mucoprotecteur + 2 ATB
b- Mucoprotecteur + anti-sécrétoire + 2 ATB
c- Antisecretoire + 2 ATB
d- Antisécrétoire + 3 ATB
6- Quels sont les facteurs incriminés dans la pathogénie de l’ulcère gastroduodénal ?
a- Génétique. b- Infection à H.Pylori
c- Le stress.
d- Les AINS
e- Toutes les réponses sont correctes.
7- Dans le cadre de la pathologie ulcéreuse gastro-duodénale :
a- L’infection à Helicobacter pylori est beaucoup plus fréquente dans les pays développés b- L’incidence des ulcères gastroduodénaux est en augmentation dans les pays développés
c- Les AINS induisent une inhibition de la synthèse des prostaglandines pouvant favoriser la survenue d’ulcères gastriques
d- L’aspirine à faible dose n’a pas d’effet ulcérogène
e- L’ulcère duodénal du syndrome de Zollinger-Ellison est lié à une hypersécrétion acide induite par une inhibition de la gastrine
8- Dans le cadre du diagnostic de la maladie ulcéreuse gastroduodénale :
a- La douleur de type ulcéreuse est toujours de siège épigastrique
b- L’endoscopie œsogastroduodénale permet la réalisation de biopsies antrales et fundiques à la recherche d’Helicobacter pylori quelle que soit la localisation de l’ulcère
c- Le diagnostic d’infection à Helicobacter pylori ne peut se faire que sur des biopsies gastriques d- L’hémorragie digestive est la complication la plus fréquente des ulcères gastro-duodénaux
e- La prise d’AINS favorise le risque de perforation ulcéreuse
9- L’ulcère gastroduodénal (UGD) est une maladie chronique récidivante définie anatomiquement par un ou plusieurs des critères suivants :
a- Perte de substance pariétale ne dépassant pas la sousmuqueuse.
b- Perte de substance interrompant la paroi gastrique au moins jusqu’à la musculeuse.
c- Cicatrisation par réépithélialisation sur un bloc scléreux.
d- Absence d’altération vasculaire.
e- Siège préférentiel au niveau de zones de moindre épaisseur pariétale.
10- L’Helicobacter pylori est un germe :
a- Spiralé antérieurement appelé Campylobacter pylori.
b- N’est jamais retrouvé chez le sujet sain.
c- Entraîne des lésions de gastrite uniquement par des mécanismes immunitaires.
d- Est principalement retrouvé au cours de l’ulcère duodénal dans la muqueuse fundique.
e- Provoque les lésions responsables de l’ulcère en zone de métaplasie gastrique bulbaire.
Les réponses : 1- a 2- bd 3- c 4- acd 5- c 6- e 7- c 8- bde 9- bc 10- ae
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QCM 11. Les cellules pariétales de l’estomac :
A. Siègent au niveau de l’antre.
B. Sécrètent du facteur intrinsèque.
C. Ne sécrètent pas d’acide chlorhydrique.
D. Sont stimulées par la gastrine.
E. Sont stimulées par l’acétylcholine.
B-D-E
QCM 12. L’ulcère gastroduodénal (UGD) est une maladie chronique récidivante définie anatomiquement par un ou plusieurs des critères suivants :
A. Perte de substance pariétale ne dépassant pas la sousmuqueuse.
B. Perte de substance interrompant la paroi gastrique au moins jusqu’à la musculeuse.
C. Cicatrisation par réépithélialisation sur un bloc scléreux.
D. Absence d’altération vasculaire.
E. Siège préférentiel au niveau de zones de moindre épaisseur pariétale.
B-C
QCM 13. L’ulcère duodénal :
A. Est une affection aussi fréquente que le syndrome du côlon irritable.
B. Touche environ 2% de la population.
C. Est 3 ou 4 fois plus fréquent que l’ulcère gastrique.
D. Est beaucoup plus fréquent chez la femme.
E. A un pic d’incidence maximal entre 40 et 50 ans.
C-E
QCM 14. Parmi les facteurs étiologiques suivants, quels sont les deux qui apparaissent actuellement les plus importants en ce qui concerne l’ulcère gastrique ?
A. L’hérédité.
B. Le tabac.
C. Le stress.
D. La prise d’AINS ou d’aspirine.
E. Infestation par Helicobacter pylori.
D-E ·
QCM 15. L’Helicobacter pylori est un germe :
A. Spiralé antérieurement appelé Campylobacter pylori.
B. N’est jamais retrouvé chez le sujet sain.
C. Entraîne des lésions de gastrite uniquement par des mécanismes immunitaires.
D. Est principalement retrouvé au cours de l’ulcère duodénal dans la muqueuse fundique.
E. Provoque les lésions responsables de l’ulcère en zone de métaplasie gastrique bulbaire.
A-E
QCM 16. Quelles sont les assertions exactes concernant l’ulcère gastrique ?
A. Est associé généralement à une sécrétion acide élevée.
B. Est favorisé par des altérations de la barrière muqueuse.
C. Est principalement dû à Helicobacter pylori.
D. Est plus nettement influencé par des facteurs psychoaffectifs que l’ulcère duodénal.
E. Peut se cancériser.
B-C-E .
QCM 17. Le ou les caractères suivants s’appliquent à la douleur typique d’un ulcère gastroduodénal :
A. Elle est perçue comme une crampe.
B. Elle est calmée par l’alimentation.
C. Elle est volontiers nocturne.
D. Elle est permanente durant la journée.
E. Elle est calmée par l’antéflexion du tronc.
A-B-C
QCM 18. Une épigastralgie de type ulcéreux peut être observée au cours de :
A. L’ulcère duodénal.
B. L’ulcère gastrique.
C. La gastrite chronique atrophiante.
D. Le cancer de l’estomac.
E. La gastrite chronique érosive.
A-B-D-E
QCM 19. L’ulcère duodénal se manifeste par un syndrome ulcéreux typique dans :
A. 5% des cas.
B. 20% des cas.
C. 40 à 60% des cas.
D. 80 à 95% des cas.
E. 100% des cas.
C
QCM 20. Le diagnostic clinique d’un ulcère peut être rendu difficile par :
A. L’absence de tout symptôme.
B. La fréquence des symptômes atypiques de type dyspepsie.
C. La ressemblance avec une douleur pancréatique.
D. La grande fréquence des complications révélatrices de l’affection.
E. La rareté du syndrome ulcéreux typique.
A-B-C
QCM 21. A l’examen clinique d’un malade présentant un ulcère gastroduodénal non compliqué :
A. Il est fréquent de constater un clapotage à la palpation du creux épigastrique.
B. On déclenche volontiers une plexalgie.
C. On entend fréquemment un souffle systolique.
D. On retrouve un point douloureux de Mayo Robson.
E. On ne détecte généralement aucune anomalie.
E
– A : ulcère compliqué de sténose gastrique.
– D : Classique dans la pancréatite aiguë.
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QCM 22. Pour le diagnostic d’ulcère duodénal dans sa forme courante et non compliquée :
A. Le tubage est d’un grand intérêt.
B. Le TOGD doit toujours être pratiqué.
C. Les biopsies per-endoscopiques sont essentielles au niveau bulbaire.
D. L’endoscopie est essentielle et montre généralement une ulcération linéaire.
E. L’endoscopie est indispensable pour surveiller l’évolution.
aucune réponse.
– A : non, sauf si SZE.
– B : Quand ulcère avec sténose, avant intervention chirurgicale quand gastrectomie partielle.
– C : non, car aucun risque de cancer.
– D : endoscopie = oui, ulcération linéaire = non.
– E : surveillance clinique.
QCM 23. Les biopsies faites au niveau d’un ulcère gastrique chronique :
A. Peuvent mettre en évidence une néoplasie malgré un aspect macroscopique typique d’ulcère bénin. B. Permettent de conclure à la bénignité lors du premier examen endoscopique.
C. Doivent être renouvelées sans retard lorsqu’on identifie des lésions de dysplasie sévère.
D. Doivent être refaites 2 mois plus tard si elles sont négatives et si l’ulcère n’a pas cicatrisé après 6 à 8 semaines de traitement bien conduit.
E. Donnent un diagnostic erroné dans au moins 2% des cas.
A-C-D
– B : endoscopie + biopsie de contrôle +++.
– E : < 1% des cas. · Syndrome de Zollinger Ellison (R) ++.
QCM24. L’ulcère aigu de l’estomac se différencie de l’ulcère chronique par :
A. L’absence de bloc scléreux au fond de l’ulcère sur une pièce opératoire.
B. L’aspect endoscopique de l’ulcère en cas d’ulcère solitaire.
C. L’aspect endoscopique en cas d’ulcères multiples et hémorragiques.
D. L’absence de cancérisation.
E. Les circonstances étiologiques.
A-C-D-E
QCM 25. En dehors de la douleur ulcéreuse, quels sont les modes de révélation du syndrome de Zollinger Ellison ?
A. Diarrhée volumogénique.
B. Hémorragie digestive.
C. Perforation duodénale.
D. Récidive ulcéreuse après vagotomie.
E. Diarrhée par pullulation microbienne.
A-B-C-D · Evolution de l’ulcère duodénal – Poussées
QCM 26. Parmi les maladies suivantes, deux seulement peuvent entraîner une gastrinémie très augmentée, lesquelles ?
A. L’ulcère gastrique.
B. L’anémie de Biermer.
C. Le syndrome de Zollinger Ellison.
D. La vagotomie hypersélective.
E. L’insuffisance rénale chronique.
B-C
QCM 27. Concernant l’évolution d’un ulcère duodénal, quelles sont les assertions vraies ?
A. Lors du traitement d’une poussée ulcéreuse, la cicatrisation est parallèle à l’évolution des douleurs.
B. Une récidive est attendue 1 fois sur 4 dans l’année s’il n’y a pas d’éradication d’Helicobacter ou si l’on n’entreprend pas un traitement d’entretien.
C. Le tabac influence favorablement l’évolution.
D. Des risques de dégénérescence peuvent être observés après 10 à 15 ans d’évolution.
E. La surveillance doit toujours être endoscopique pour contrôler la cicatrisation.
aucune réponse
QCM 28. Après guérison d’une première poussée ulcéreuse duodénale, le taux de récidive est approximativement de :
A. 75% à un an sans traitement d’entretien.
B. 20% à un an sans traitement d’entretien.
C. 25% à un an avec un traitement d’entretien par un anti-H2 à demi-dose.
D. 70% avec un traitement d’entretien par un anti-H2 à demidose.
E. 25% après éradication de l’Helicobacter pylori.
A-C · Complications hémorragiques
QCM 29. Parmi les affections suivantes, quelle est ou quelles sont celles qui entraîne(nt) une augmentation du risque de cancer de l’estomac ?
A. Ulcère chronique de l’estomac.
B. Gastrite chronique atrophiante.
C. Adénome gastrique.
D. Gastrite chronique hypertrophique (maladie de Ménétrier).
E. Gastrite varioliforme.
A-B-C-D
QCM 30. Au cours des complications hémorragiques de l’ulcère duodénal :
A. Le siège antérieur de l’ulcère est de bon pronostic.
B. Le méléna est beaucoup plus fréquent que l’hématémèse.
C. Le pronostic est influencé par le terrain.
D. L’endoscopie est indispensable en urgence pour préciser le mécanisme du saignement. E. La récidive est moins fréquente si on éradique l’Helicobacter ou si en l’absence d’Helicobacter on entreprend un traitement d’entretien.
A-B-C-D-E
– Conseils hygiéno-diététiques
– Limités au minimum (afin de ne pas augmenter le stress).
– Régimes lactés dangereux.
– Limiter le café, l’alcool, les épices.
– Eviter les AINS, l’AAS (altèrent la cytoprotection).
– Réduire le tabac (< 10 cigarettes par jour).
QCM 31. Parmi les conseils hygiéno-diététiques dans le traitement de l’ulcère duodénal :
A. Il faut être extrêmement strict.
B. Il est conseillé de limiter les apports de café.
C. On peut uniquement réduire la prise d’antiinflammatoires.
D. Il faut interrompre très rapidement l’intoxication tabagique.
E. Un régime lacté est particulièrement conseillé.
B
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QCM 32. Lors du traitement d’un ulcère duodénal :
A. L’éradication de l’Helicobacter pylori peut être entreprise dans tous les cas.
B. L’éradication de l’Helicobacter pylori comporte une bithérapie.
C. L’éradication de l’Helicobacter pylori comporte une trithérapie pendant 15 jours suivie d’un traitement antisécrétoire les 15 jours suivants.
D. Le contrôle de l’éradication d’H.p. doit toujours être effectué à la fin du traitement par endoscopie. E. Après éradication d’H.p. on maintient un traitement d’entretien pendant un an.
aucune réponse
QCM 33. Parmi les antisécrétoires :
A. Le chef de file des anti-H2 est la cimétidine.
B. La prise d’un anti-H2 telle la ranitidine à la posologie de 300 mg avant le dîner donne un pourcentage d’environ 80% de cicatrisation à 4 semaines.
C. Les IPP sont les plus puissants.
D. Les IPP ont une bonne tolérance à court terme.
E. Les IPP peuvent entraîner une augmentation de la gastrinémie en traitement d’entretien.
B-C-D-E
QCM 34. Les médicaments antibactériens utilisés en France dans le traitement de la maladie ulcéreuse duodénale sont :
A. Le bismuth colloïdal.
B. L’amoxycilline.
C. Le métronidazole.
D. La clarithromycine.
E. La vancomycine.
B-C-D
35- Parmi les propositions suivantes toutes sont exactes sauf une : Hélicobacter pylori est une bactérie siégeant dans l’estomac :
responsable de plus de 90 % ds ulcères duodénaux
responsable de plus de 70 % des ulcères gastriques
dont l’éradication entraîne la guérison d’environ 90 % des ulcères duodénaux
dont l’éradication nécessite l’association d’un antisécrétoire puissant et deux antibiotiques
dont la contamination humaine se fait habituellement après l’âge 30 ans
36- Les antihistaminiques H2
empêchent la libération d’histamine par les mastocytes
sont utilisés pour lutter contre les phénomènes de broncho-constriction
réduisent la sécrétion gastrique acide
diminuent la sécrétion d’insuline
bloquent les effets de l’histamine sur la musculature intestinale
37- La meilleure prévention des complications gastro-duodénales secondaires aux antiinflammatoires non stéroïdiens (AINS) repose sur :
la prescription de deux AINS
la prescription systématique de misoprostol (Cytotec(r))
l’association AINS et aspirine
la prescription d’AINS à doses supérieures aux doses recommandées
l’évaluation du risque (âge, antécédent d’ulcère gastro-duodénal)
38- Lors de la découverte d’un ulcère duodénal (UD) au cours d’une fibroscopie, la recherche de l’infection à Hélicobacter pylori (HP) se fait par plusieurs moyens. Lesquels ?
biopsie pour culture d’HP
biopsie pour étude en biologie moléculaire d’HP par PCR
biopsie pour uréase test
biopsie pour test respiratoire au C13
biopsie pour étude anatomopathologique (avec colorations spéciales)
39- Les inhibiteurs de la pompe à protons :
sont des antisécrétoires puissants de la sécrétion acide gastrique
agissent sur les récepteurs H2 de l’histamine
agissent sur les récepteurs à gastrine
agissent au pôle apical de la cellule pariétale sur une ATP ase H+ K+
agissent sur les récepteurs à somatostatine
40- Hélicobacter Pylori :
Est systématiquement associé à un ulcère gastroduodénal
Est associé à un état général d’hyperacidité
Peut être responsable d’un cancer gastrique à partir d’un foyer de métaplasie intestinale
Doit être systématiquement éradiqué
Aggrave le reflux gastro-oesophagien
41- En cas d’hémorragie digestive liée à un ulcère gastro-duodénal :
Une hémorragie extériorisée est constante
Une sclérose par voie endoscopique est indispensable dans tous les cas
Un traitement d’éradication d’helicobacter pylori n’est jamais entrepris en urgence La mise sous Somatostatine s’impose dès le diagnostic posé
L’association à la prise d’AINS est fréquente
42- La recherche d’Helicobacter pylori peut être faite par :
Biopsies duodénales
Biopsies gastriques
Test respiratoire à l’urée C13
Test au lactulose glucose
Sérologie Hélicobacter pylori
Les réponses : 35- E 36- C 37- E 38- CE 39- AD 40- C 41- CE 42- BCE
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=> 10 PolyQCM sur les brûlures caustiques de l’œsophage
1- L’œsophagite caustique:
A. Est un accident grave en raison du risque de sténose œsophagienne
B. Nécessite un premier bilan endoscopique en urgence
C. Nécessite toujours une neutralisation du caustique
D. Doit toujours être traitée par dilatations préventives
E. Peut s’associer à des lésions caustiques gastriques
2- Toutes ces propositions concernant l’oesophagite caustique sont vraies, sauf une. Laquelle?
A. Elle ne s’accompagne jamais de lésions gastriques.
B. Elle fait suite à l’ingestion d’alcalins
C. Elle peut évoluer vers une sténose œsophagienne
D. Elle fait suite à l’ingestion d’acides
E. La brûlure œsophagienne détruit l’épithélium
3- L’endoscopie digestive haute en urgence peut servir à évacuer le caustique :
A. Vrai
B. Faux
4- L’ingestion d’une substance corrosive peut provoquer la(les) lésion(s) suivante(s)
A. Hémorragies œsophagiennes
B. Ulcérations longitudinales de l’œsophage
C. Sténose de l’œsophage
D. Nécrose en foyers de la face postérieure de l’estomac
E. Inflammation de l’antre gastrique
5- Indiquez la proposition incorrecte :
A. L’ingestion accidentelle de caustique est l’apanage des enfants
B. l’ingestion de caustique par autolyse est plus fréquente que l’ingestion accidentelle
C. L’ingestion accidentelle de caustique peut donner des lésions d’œsophagites sévères
D. L’atteinte lors d’ingestion de caustique par autolyse est souvent plus grave que lors d’un accident
6- Concernant la pathogénie des brûlures caustiques du tractus digestif supérieur :
A. les caustiques agissent uniquement par leur pH
B. la lésion muqueuse est toujours immédiate
C. les acides forts entraînent une nécrose de liquéfaction
D. l’œsophagite est habituellement plus grave en cas d’ingestion d’une base forte
E. la sévérité des lésions dépend de la durée de contact du caustique avec la muqueuse
7- La fibroscopie en cas de brûlure du tractus supérieur :
A. Utilise un endoscope souple
B. Est toujours effectuée sous anesthésie générale
C. Est réalisée après un délai d’au moins 6 heures
D. Est contre-indiquée en cas de brûlure oropharyngée
E. Est inutile si l’examen clinique est normal
8- Au sujet des œsophagites caustiques :
A. La prise en charge doit être multidisciplinaire.
B. Il est impératif d’évaluer et de traiter les lésions.
C. Il y a toujours parallélisme entre les signes cliniques et les lésions digestives.
D. La reprise alimentaire est toujours immédiate.
E. L’endoscopie digestive est l’examen de référence permettant de classer les lésions et d’orienter la thérapeutique.
9- La prise en charge des ingestions de caustiques s’appuie sur des principes simples en phase d’urgence immédiate, à savoir :
A. Des gestes qu’il faut faire comme donner un antidote au patient.
B. La connaissance du produit en cause, et des circonstances d’ingestion.
C. Le traitement de la douleur.
D. L’évaluation clinique et orientation hospitalière adaptée.
E. L’ensemble de ces propositions.
10- L’ingestion de caustiques :
A. provoque des lésions locales et des manifestations générales.
B. peut provoquer une médiastinite.
C. peut provoquer une détresse respiratoire par atteinte de la filière aérienne.
D. peut aboutir à une hypovolémie.
E. impose une endoscopie digestive haute dans l’immédiat.
Les réponses : 1- ABE 2- A 3- A 4- ABCDE 5- A 6- DE 7- A 8- ABE 9- BCD 10- ABCD
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=> 15 PolyQCM sur la pancréatite chronique
1- Les lésions histologiques de la pancréatite chroniques sont :
A. Infiltrat inflammatoire
B. fibrose
C. calcifications
D. sténoses
2- Concernant la pancréatite chronique alcoolique ;
A. Il est sage de chercher un cirrhose
B. Un sevrage alcoolique s’impose
C. Elle touche le plus souvent les femmes en 3e décennie
D. Elle est à l’origine de douleur intenses
3- Les récidives douloureuses au cours d’une pancréatite chronique alcoolique peuvent être dues à la survenue de plusieurs facteurs. Lesquels ?
A. une reprise de l’intoxication alcoolique
B. une sténose inflammatoire du canal de Wirsung
C. une thrombose de l’artère mésentérique
D. la constitution d’un pseudokyste
E. une compression de la veine cave
4- CS: Au cours des pancréatites chroniques :
A. Le syndrome de malabsorption est précoce
B. Il peut exister une hypertension portale segmentaire
C. La possibilité de pseudokystes nécrotiques est fréquente
D. Le diabète peut précéder la maladie
E. L’ASP permet précocement d’en faire le diagnostic en mettant en évidence des calcifications
5- La pancréatite chronique :
A. Comporte des altérations canalaires et une sclérose régulièrement réparties au sein du parenchyme exocrine et endocrine.
B. Comporte des altérations touchant uniquement le parenchyme exocrine.
C. Peut être d’origine obstructive et régresser après levée de l’obstacle.
D. Est calcifiante dans les formes non obstructives.
E. Est parfaitement distincte de la pancréatite aiguë lorsque l’étiologie est alcoolique.
6- Au cours de la pancréatite chronique :
A. Le facteur étiologique principal est l’alcool.
B. Un facteur génétique intervient dans certains cas.
C. Aucune cause n’est retrouvée plus d’une fois sur 5.
D. Une origine lithiasique biliaire ainsi qu’une cause médicamenteuse doivent être recherchées.
7- Au cours de la pancréatite chronique :
A. La douleur épigastrique est le symptôme principal.
B. Les signes d’insuffisance pancréatique exocrine sont très fréquents et précoces.
C. La présence de calcifications permet le diagnostic de pancréatite chronique calcifiante dès le début de la maladie.
D. La symptomatologie est plutôt moins grave dans les formes idiopathiques.
E. Le sex ratio est égal à 1.
8- Au cours de la pancréatite chronique :
A. La douleur débute généralement durant la 4ème décennie chez l’homme alcoolique.
B. La douleur a une sémiologie très caractéristique.
C. Un facteur diététique déclenchant est toujours retrouvé à l’origine d’une crise.
D. L’augmentation des pressions pancréatiques est le seul mécanisme réellement prouvé.
E. La douleur peut être d’origine biliaire.
9- Au cours de l’évolution d’une pancréatite chronique :
A. Il n’y a pas de parallélisme entre la douleur et la détérioration du parenchyme.
B. Les complications anatomiques les plus graves hormis le cancer se manifestent dans la première décennie.
C. Les pseudo-kystes se développent toujours en amont d’un obstacle.
D. Des complications hémorragiques ou des épanchements séreux peuvent survenir.
E. La détérioration fonctionnelle (exocrine et endocrine) est la plus tardive.
10- Parmi les méthodes d’exploration utiles au diagnostic de pancréatite chronique :
A. L’examen clinique fournit des données essentielles.
B. L’ASP est la meilleure façon de mettre en évidence les calcifications pancréatiques.
C. La TDM est particulièrement performante dans la détection des complications.
D. La pancréatographie est la technique d’imagerie de référence pour évaluer l’étendue et l’importance des lésions canalaires mais elle est invasive.
E. L’échoendoscopie peut montrer des anomalies parenchymateuses à un stade précoce.
11- Parmi les complications suivantes, citer celle(s) qui peut(vent) être liées à une pancréatite chronique:
A. Diabète
B. Faux kyste du pancréas
C. Ascite
D. Ictère cholestatique
E. Ulcère du bulbe
12- Un malade présentant une pancréatite chronique calcifiante isolée, indolore sans sténose des voies biliaires ni du tube digestif, nécessite:
A. Une triple dérivation digestive: pancréatique gastrique et biliaire
B. Une double dérivation biliaire et gastrique
C. Une cholécystectomie de principe
D. Une vagotomie pyloroplastie
E. Un traitement hygiéno-diététique
13- Concernant la pancréatite chronique, quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) exacte(s)?
A. La cause la plus fréquente est l’alcoolisme chronique
B. Les douleurs peuvent être calmées par l’aspirine
C. L’amaigrissement est habituel
D. La stéatorrhée apparaît tardivement
E. Le diabète ne survient que lorsque la pancréatite chronique est évoluée
14- Parmi ces signes cliniques, les deux plus fréquents au cours de la pancréatite chronique sont :
A. Douleur épigastrique
B. Ictère
C. Diarrhée avec stéatorrhée
D. Amaigrissement
E. Pâleur
15- Parmi les complication, quelles sont celles que l’on peut attribuer à la pancréatite chronique ?
A. Faux kyste du pancréas
B. Ulcère duodénal
C. Diabète
D. Hypertension portale segmentaire
E. Dégénérescence néoplasique
Les réponses : 1- ABCD 3- ABD 3- ABD 4- B 5- CD 6- AB 7- AD 8- AB 9- ABDE 10- CDE 11- ABCD 12- E 13- ABCDE 14- AD 15- ACDE
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=> 17 PolyQCM sur la rectocolite ulcéro-hémorragique
1- CM : les traitements d’une RCH :
a) Les immunosuppresseurs
b) Les dérivés 5-aminosalyciclés
c) Les AINS
d) Les IPP
e) La proctocolectomie
2- CS : Le lavement baryté de la RCH, se traduit :
a) Au début, par une perte des haustrations coliques.
b) A un stade avancé, par un aspect de colon tubulisé filiforme.
c) Le calibre du colon est généralement très réduit.
d) Toutes les réponses sont fausses
3- CS : Dans la RCUH le principale caractère histologique est ce lui des :
a) Des lésions polymorphes discontinues.
b) Des lésions superficielles et continues.
c) Des lésions profondes et continues.
d) Des lésions polymorphes et continues.
4- Au cours de la RCUH ; l’index de sévérité TrueLove & Witts associe :
a) Nombre de selles / jour, température, rythme respiratoire, l’Ht, et VS à la 1e heure.
b) Nombre de selles sanglantes, hypothermie, fréquence pulmonaire, taux de GR, et dosage des alpha-globuline
c) Nombre de selles / jour, température, fréquence cardiaque, l’Hb, et VS à la 1e heure.
d) Nombre de selles / jour, température, fréquence cardiaque, l’Hb, et VS à la 1e heure.
5- Dans la RCUH, l’iléo-coloscopie a une place privilégié :
a) Les lésions endoscopiques évocatrices sont d’aspect granité congestif, friable.
b) Les lésions sont continues.
c) Le rectum est atteint une fois sur deux.
d) On peut rencontrer des lésions congestives au niveau de
e) Toutes les réponses sont fausses sauf la réponse b
6- Le diagnostic de la RCH repose sur :
a) Les manifestations cliniques (diarrhées sanglantes).
b) Les aspects endoscopiques (atteintes continue des lésions).
c) Les manifestations cliniques et biologiques.
d) Les expressions cliniques, endoscopiques et histologiques des lésions.
7- Dans la phase quiescente de la RCH le lavement baryté montre :
a) Des images en faveur de pseudopolypes
b) Des sténoses
c) Aspect tubulé du colon
d) Abcès en boutons de chemises
e) Coléctasie
8- Au cours de la RCH le traitement chirurgicale est indiqué devant :
a) Une hémorragie sévère
b) Perforation avec tableau de péritonite
c) Cancer colique
d) Affection résistante au traitement médicale
9- Les malades atteints de RCH se plaignent typiquement de (CS) :
a) Douleur abdominale intense
b) Diarrhées sanglantes
c) Nausées et vomissement
d) Ténesme
10- Dans la RCH, le traitement chirurgical :
a) Permet une guérison définitive
b) Coloprotectomie + iléostomie définitive = meilleure intervention.
c) Coloprotectomie + anastomose iléoanale sur réservoir en J = meilleure intervention
d) Colectomie totale + anastomose iléorectale = meilleure intervention
11- La RCH est une affection :
a) qui touche le plus souvent l’iléon terminal
b) la paroi intestinale est épaisse
c) les granulomes épithélio-giganto-cellulaires sont constamment retrouvés.
d) Aucune réponse n’est juste.
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12- La RCUH est caractérisée par :
a) L’exulcération de l’épithélium de surface.
b) L’absence de l’hémorragie
c) Abcès inter-cryptique.
d) Une bonde claire sous nucléaire.
13- La recto-colite ulcéro-hémorragique RCUH :
a) une maladie au long cours évoluant par des poussées.
b) se localise au niveau du duodénum.
c) l’inflammation est limitée à la muqueuse.
d) l’inflammation est pan-pariétale.
e) se manifeste cliniquement par des diarrhées muco-sanglante.
14- Au cours de la RCUH :
a) Les dérivés salicyclés, la molécule active est l’acide 5-amino-salicyclique.
b) La Salazopyrine et la Mésalazine trouve leur indications dans le traitement de poussées sévères.
c) Le Budésonide n’a aucune indication.
d) Les immunosuppresseurs oraux permettent une guérison définitive.
15- L’endoscopie chez un sujet en phase de quiescence de l’RCUH montre tout les aspects suivant sauf un, lequel ?
a) Une muqueuse normale
b) Des pseudopolypes
c) Une sténose cicatricielle
d) Une macrocolie
e) Un épaississement de la paroi
16- La rectocolite ulcéro-hémorragique est une maladie inflammatoire localisée du tube digestif. Quelle est cette localisation ?
A. l’iléon terminal
B. le rectum et souvent le côlon de façon ascendante et continue
C. en plusieurs sites possibles : côlon, grêle, estomac
D. fréquemment à l’anus avec fistule colo-anale
E. rectum et au côlon avec des localisations discontinues comportant des intervalles de muqueuse saine
17- La rectocolite hémorragique
A. Atteint fréquemment la marge anale
B. Est aggravée par le tabac
C. Présente des granulomes épithélioïdes en histologie
D. Peut se compliquer de colectasie
E. Ne se complique jamais de cancer colique
Les réponses : 1- b 2- d
=> 23 PolyQCM sur le Reflux Gastro-œsophagien
1- Parmi les situations suivantes, indiquez celles qui favorisent la survenue d’un reflux gastro-œsophagien :
A. Grossesse
B. Achalasie
C. Sclérodermie
D. Obésité
E. Traitement anti-parkinsonien
2- 1RF : Parmi les examens suivants, quels sont ceux qui vous permettent le diagnostic de reflux gastro-œsophagien ?
A. Manométrie œsophagienne
B. Transit œsogastroduodénal
C. Impédancemétrie œsophagienne
D. Écho-endoscopie
E. pHmétrie œsophagienne
3- Quelles sont les propositions exactes concernant le reflux gastro-œsophagien?
A. Il peut être acide ou non acide
B. Il est favorisé par les relaxations transitoires du sphincter inférieur de l’œsophage C. Il se complique d’œsophagite dans 50% des cas
D. L’endobrachyœsophage correspond à une métaplasie intestinale du bas œsophage favorisée par le reflux E. Il est prévenu par un traitement anti-calcique
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4- 2RJ : Quelles sont les propositions exactes concernant le traitement du reflux gastroœsophagien (RGO) par inhibiteurs de la pompe à protons (IPP)?
A. Ils doivent être prescrits à demi-dose en l’absence d’endoscopie
B. Un RGO nocturne justifie une prise d’IPP plutôt le soir avant le dîner
C. Le traitement par IPP se fait à la demande en cas d’œsophagite
D. Le traitement par IPP est efficace dans plus de 90% des cas sur les symptômes de RGO
E. Un traitement par IPP en continu est systématique en cas d’endobrachyœsophage
5- Un reflux gastro-œsophagien :
A. peut provoquer des crises d’asthme
B. peut entraîner des troubles du rythme cardiaque
C. peut être cause d’anémie chronique
D. peut être cause de cancer œsophagien
E. est toujours associé à une hernie hiatale
6- Ce reflux gastro-œsophagien acide peut être prouvé et quantifié par le résultat de :
A. œsogastroscopie
B. pH métrie œsophagienne
C. Scintigraphie œsophagienne
D. Transit baryté œsogastroduodénal
E. Manométrie œsophagienne
7- La pH métrie œsophagienne est l’examen adéquat pour mettre en évidence :
A. Une hyperacidité gastrique
B. Un reflux gastro-œsophagien acide
C. Une œsophagite peptique
D. Une achalasie
E. Une localisation œsophagienne de la sclérodermie
8- Un reflux gastro-œsophagien peut être à l’origine de :
A. Pyrosis
B. Pharyngite
C. Asthme
D. Rhinite
E. Dysphagie
9- En cas de reflux gastro-œsophagien, quels sont dans le liquide de reflux le(les) constituant(s) toxique(s) agressifs pour la muqueuse œsophagienne ?
A. Pepsine
B. Sels biliaires
C. Bicarbonates
D. Acide chlorhydrique
E. Mucus
10- Devant une symptomatologie atypique l’existence d’un reflux gastro œsophagien est affirmé par :
A. Transit baryté œso-gastro-duodénal
B. Fibroscopie avec biopsie
C. Manométrie œsophagienne
D. pH métrie E. La tomodensitométrie
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11- Quelle est la méthode la plus sensible pour rechercher un reflux gastro-œsophagien ?
A. Le transit baryté
B. La manométrie œsophagienne
C. La pHmétrie œsophagienne
D. La fibroscopie œsophagienne
E. L’échographie œsophagienne
12- Le reflux gastro-œsophagien :
A. est secondaire à des contractions œsophagiennes rétrogrades
B. peut s’observer en l’absence de hernie hiatale
C. est souvent marqué par un pyrosis
D. peut évoluer sous le masque de douleurs pseudo-angineuses
E. est lié à l’incontinence du sphincter inférieur de l’œsophage
13- Ce reflux gastro-œsophagien acide peut être prouvé et quantifié par le résultat de :
A. l’œso-gastroscopie
B. la pH-métrie œsophagienne
C. la scintigraphie œsophagienne
D. le transit baryté œso-gastro-duodénal
E. la manométrie œsophagienne
14- Le reflux gastro-œsophagien est favorisé par :
A. la grossesse
B. la cirrhose hépatique
C. la gastrite atrophique
D. l’aspiration œso-gastrique par sonde
E. l’ouverture de l’angle de His
15- Parmi les propositions suivantes, la(les) quelle(s) est(sont) juste(s) ? Les principes essentiels du traitement chirurgical du reflux gastro-œsophagien visent à :
A. Restaurer l’efficacité du sphincter inférieur de l’œsophage
B. Recréer un segment d’œsophage abdominal
C. Former une valve anti-reflux
D. Diminuer l’acidité gastrique
E. Diminuer la pression abdominale
16- Parmi les propositions suivantes, quelles sont celle(s) utilisées pour la cure du reflux gastro-œsophagien ?
A. Abaissement du cardia en intra-abdominal
B. Rapprochement des deux piliers du diaphragme
C. Réfection de l’angle de His
D. Réalisation d’une valve anti-reflux
E. Vagotomie tronculaire
17- Quel(s) est (sont) le ou les signes cliniques qui évoque(nt) le syndrome de reflux gastroœsophagien ?
A. Pyrosis
B. Régurgitations post-prandiales
C. Signe du lacet (postural)
D. Toux nocturne de décubitus
E. Défense épigastrique
18- Parmi les complications du reflux gastroœsophagien, il y a :
A. La sténose peptique de l’œsophage
B. L’ulcère de l’œsophage
C. Certaines formes d’asthme
D. Le cancer sur endobrachyœsophage
E. L’achalasie du sphincter inférieur de l’œsophage
19- En cas de reflux gastro-œsophagien acide, quel(s) est (sont) le(s) moyen(s) thérapeutique(s) efficace(s) sur la symptomatologie ?
A. prise d’alginates après les repas
B. cimétidine (Tagamet*), 1 600 mg/24 h
C. régime sans résidus
D. anticholinergiques (dérivés atropiniques) aux trois repas
E. cholestyramine (Questran*), 1 sachet à chaque repas
20- Les mécanismes physiologiques anti-reflux gastro-œsophagien mettent en jeu :
A. Le péristaltisme œsophagien
B. Le sphincter inférieur de l’œsophage
C. La motricité gastrique
D. Le reflux duodéno-biliaire physiologique
E. La fermeture de l’angle cardio-tubérositaire
21- Le traitement du RGO a pour objectif à long terme d’éviter une des complications suivantes, laquelle ?
A. la sténose peptique
B. l’ulcère de l’oesophage
C. l’endobrachyoesophage
D. les hémorragies digestives par oesophagite
E. aucune de ces propositions ne correspond à l’objectif thérapeutique cité
22- Quels sont les items caractérisant un risque élevé d’apparition d’une oesophagite peptique sévère au cours d’un reflux gastro-oesophagien (RGO) ?
A. l’ancienneté du RGO
B. un trouble moteur de l’oesophage associé (avec diminution du péristaltisme normal)
C. une dénutrition associée
D. l’intensité des symptômes de RGO
E. la prise d’AINS chez un sujet âgé
23- Concernant le pyrosis dû à un reflux gastroœsophagien, il est exact que:
A. Il peut être déclenché par une compression abdominale
B. Il peut être déclenché par le décubitus
C. Il complique toutes les hernies hiatales par glissement
D. Il peut s’accompagner de toux spasmodiques nocturne
E. Il traduit toujours l’existence d’une oesophagite
Les réponses : 1- ACD 2- D 3- ABD 4- AB 5- ACD 6- BC 7- B 8- ABCE 9- ABD 10- D 11- C 12- BCDE 13- B 14- ADE 15- ABC 16- ABCD 17- ABCD 18- ABCD 19- AB 20-…. 21- E 22- BCE Réponses 23-ABD
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=> 8 PolyQCM sur la tuberculose intestinale
1- Concernant la tuberculose intestinale :
A. on note la présence au niveau du tube digestif de Lactobacillus.
B. c’est une urgence diagnostique du fait du piège diagnostique avec la maladie de Crohn.
C. c’est une urgence thérapeutique car les lésions anciennes sont difficiles à traiter.
D. l’histologie identifie un granulome épithéliogigantocellulaire sans nécrose caséeuse.
E. b, c et d sont justes.
2- Parmi les organes suivants du tractus gastrointestinal lequel n’est pas affecté par la tuberculose?
A. estomac
B. duodénum
C. le jéjunum
D. foie et de la rate
E. Aucune de ces réponses
3- La transmission des bacilles tuberculeux dans le système gastro-intestinal se fait:
A. En avalant des crachats
B. Par la dissémination hématogène
C. Par la consommation de lait contaminé
D. Par extension de voisinage
E. Aucune de ces réponses
4- Quel organe est le plus souvent affecté de la tuberculose ?
A. estomac
B. duodénum
C. jéjunum
D. iléon terminal et caecum.
E. Colon
5- La tuberculose iléocæcal se présente avec:
A. Une douleur abdominale
B. De la diarrhée et / ou constipation
C. De la fièvre
D. Une perte de poids
6- Devant des ulcérations iléales récentes étendues, les principaux diagnostics sont :
A. L’amibiase intestinale
B. La maladie de Crohn
C. La tuberculose intestinale
D. La rectocolite hémorragique
7- Concernant la tuberculose digestive, on dit que la localisation iléo-cæcale est la plus fréquente du fait de :
A. L’abondance des tissus lymphoïdes à ce niveau.
B. La rareté des tissus lymphoïdes à ce niveau.
C. La stase physiologique.
D. La diminution du processus d’absorption à cet endroit.
E. L’augmentation du processus d’absorption à cet endroit.
8- En cas de tuberculose intestinale :
A. La zone de prédilection du BK est la zone iléocaecale
B. L’aspect ulcéro-hypertrophique est spécifique de l’atteinte tuberculeuse
C. Les ulcérations muqueuses sont circonférentielles, peu profondes à bords inclinés et détachés
D. La recherche d’autres localisations tuberculeuses est systématique
E. Le traitement antituberculeux agit sur les lésions infectieuses sans rôle préventif des rechutes
Les Réponses : 1- BC 2- E 3- ABCD 4- D 5- ABCDE 6- BC 7- ACE 8- ACD