Télécharger +500 PolyQCM en Urolologie et Néphrologie Corrigés avec QROC Cas Cliniques et Diagest
Evaluation Pratique par QCM / QROC / Cas Cliniques
=> 40 QCM généralisées => à partir de la 01 ère page
=> 05 QCM sur l’insuffisance rénale chronique => Sur la 05 ère page
=> 31 QCM sur l’hypertrophie bénigne de la prostate => Sur la 07 ère page
=> 10 QCM sur l’insuffisance rénale aiguë => Sur la 05 ère page
=> Les Cas cliniques => Sur la 10 ème page
=> Les QROC => Sur la 07 ème page
=> DIAGEST Entéro-Gastro => Sur la 07 ème page
=> Téléchargement disponible => Sur la 07 ème page
a) aminoside et céphalosporine
b) diurétique et IEC
c) diurétique et AINS
d) IEC et AINS
2) Les médicaments suivants peuvent déclancher des insuffisances rénales par des modifications de l’hémodynamique intra-rénale :
a) IEC
b) ARA2
c) aminosides
d) ciclosporine
e) AINS
3) La prescription d’AINS est dangereuse dans les situations suivantes :
a) déshydratation
b) insuffisance cardiaque congestive
c) insuffisance rénale chronique
d) cirrhose avec ascite
e) colique néphrétique
4) Les médicaments suivants sont néphrotoxiques :
a) IEC
b) Diurétique
c) Cisplatine
d) Aminoside
e) Fungizone
5) les médicaments suivants nécessitent une adaptation posologique selon la fonction rénale :
a) digitaline
b) digoxine
c) barbiturique
d) dépakine
e) clopidrogel : PLAVIX
f) céphalosporine
6) Si la clairance de la créatinine est à 20 ml/mn, on peut prescrire :
a) metformine GLUCOPHAGE
b) fibrate
c) IEC
d) ARA2
e) Statine
7) L’existence d’une insuffisance rénale sévère, clairance de la créatinine inférieure à 20 ml/mn risque d’entraîner un surdosage avec l’utilisation de:
a) l’héparine
b) la calciparine
c) l’énoxaparine sodique LOVENOX
d) la deltaparine sodique FRAGMINE
8) Il est nécessaire d’adapter la posologie à la fonction rénale avec :
a) nicorandil IKOREL
b) molsidomine CORVASAL
c) dinitrate isosorbide RISORDAN
d) amlodipine AMLOR
e) atenolol TENORMINE
f) bisoprolol CARDENSIEL
g) métoprolol SELOKEN
9) Des médicaments peuvent déclencher :
a) une néphropathie tubulo-interstitielle immunoallergique
b) une insuffisance rénale pré-rénale
c) une néphrite interstitielle chronique
d) une insuffisance rénale obstructive
e) une glomérulonéphrite
f) un SHU
10) Il nécessaire d’adapter la posologie à la fonction rénale avec :
a) les Benzodiazépines
b) buprémorphine TEMGESIC
c) sulfate de morphine SKENAN
d) tramadol TOPALGIC
####SIKI####
a) régresse le plus souvent à l’arrêt du médicament
b) nécessite une PBR
c) s’accompagne toujours d’une réaction allergique systémique
d) nécessite un avis néphrologique
12) Classer ces associations médicamenteuses possiblement iatrogènes du risque le plus élevé au risque le plus faible :
a) IEC + bêta bloquant + inhibiteur calcique
b) IEC + AINS + diurétique épargneur de potassium
c) IEC + AINS + diurétique de l’anse
d) IEC + diurétique de l’anse + inhibiteur calcique
13) Les antagonistes des récepteurs de l’angiotensine II :
a) ne provoquent jamais d’insuffisance rénale
b) déclenchent moins souvent des phénomènes de toux que les IEC
c) peuvent être prescrit sans surveillance particulière
d) peuvent être associés aux diurétiques épargneurs de potassium
14) les diurétiques thiazidiques:
a) sont la principales causes d’hyponatrémie
b) entraînent une fuite potassique
c) entraînent une hypercalciurie
d) peuvent favoriser la survenue de lithiases rénales
15) En cas d’insuffisance rénale sévère :
a) je m’abstiens de toute prescription
b) je choisis des médicament à métabolisme hépatique uniquement
c) je vérifie dans le VIDAL la posologie pour chaque médicament
d) je contact systématiquement un néphrologue en cas de nouvelle prescription
16) les diurétiques de l’anse:
a) sont utilisables en insuffisance rénale
b) entraînent une fuite potassique
c) entraînent une hypercalciurie
d) peuvent favoriser la survenue de lithiases rénales
e) diminuent l’uricémie
17) A partir de 50 ans, le débit de filtration glomérulaire diminue physiologiquement de :
a) 1 ml/min/an
b) 3 ml/min/an
c) 5 ml/min/an
d) 8 ml/min/an
e) 10 ml/min/an
18) Par quel mécanisme les statines peuvent-elles induire une insuffisance rénale :
a) Néphrite interstitielle aiguë immuno-allergique
b) Nécrose tubulaire aiguë par rhabdomyolyse
c) Glomérulonéphrite extra-membraneuse
d) Obstacle
19) A quelle posologie doit-on prescrire l’ofloxacine à la clairance de 40 ml/min :
a) 400 mg/j
b) 200 mg/j
c) 100 mg/j
d) 200 mg toute les 48h
20) A quelle posologie doit-on prescrire l’amoxicilline à la clairance de 25 ml/min :
a) 2 g/j
b) 1 g/j
c) 500 mg/j
d) 500 mg/48h
####SIKI####
CM 1) Vous réalisez une bandelette urinaire devant :
a) Un purpura
b) Une HTA
c) Des oedèmes
d) Une douleur lombaire latéralisée
e) Une hypoprotidémie
CM 2) La bandelette urinaire permet de dépister :
a) Un syndrome néphrotique
b) Un syndrome néphritique
c) Une protéinurie de Bence Jones
d) Une tubulopathie
CS 3) Une protéinurie est dite physiologique si inférieure à :
a) 100 mg/j
b) 150mg/j
c) 200mg/j
d) 300mg/j
CM 4) Une BU avec +++ de protéinurie évoque :
a) Une protéinurie glomérulaire
b) Une protéinurie de Bence-Jones
c) Un syndrome néphrotique
d) Une amylose rénale
CM 5) La protéinurie à la bandelette
a) varie en fonction de la concentration des urines
b) est un examen sensible
c) doit faire réaliser une protéinurie des 24 h si positive
d) nécessite une solide expérience médicale
CM 6) La microalbuminurie :
a) Est une excrétion urinaire d’albumine entre 30 et 300 mg/j
b) Traduit la présence d’une néphropathie diabétique débutante
c) Se recherche si la Pu est à ++ à la BU
d) se dépiste à la BU
CS 7) Une BU négative :
a) Elimine une cystite
b) Nécessite une ECBU
c) Est compatible avec un syndrome néphrotique
d) Nécessite une protéinurie des 24 h
CS 8) En cas d’hématurie positive à ++ à la Bu et négative à l’ECBU et au HLM on évoque :
a) Une hématurie terminale
b) Une myoglobinurie
c) Une colique néphrétique
d) Une néoplasie vésicale
e) Une ingestion de betteraves
CM 9) Une hématurie peut être d’origine glomérulaire :
a) Si on retrouve des cylindres hématiques
b) Si on ne retrouve pas de cylindres hématiques
c) Si les hématies sont dysmorphiques ou déformées
d) Si on retrouve des caillots dans les urines
CM 10) Les cristaux suivants peuvent être observés sans critères pathologiques :
a) Oxalate de calcium
b) Urate
c) Cystine
d) Phosphate
####SIKI####
CM 11) Un syndrome néphrotique pur retrouve :
a) Une Pu à +++ à la BU
b) Une hématurie
c) Une lipidurie
d) Une HTA
CM 12) On doit évoquer une pathologie néphrologique devant :
a) Des oedèmes
b) Une HTA
c) Un purpura
d) Des hémorroïdes
e) Une baisse de l’acuité visuelle
f) Un amaigrissement
g) Des arthralgies
CM 13) Des œdèmes périphériques prenant le godet traduisent :
a) Une deshydratation intracellulaire
b) Une hyperhydratation extracellulaire
c) Une hyperhydratation plasmatique
d) Un bilan sodé positif
CS 14) Des oedèmes des paupières le matin et des membres inférieurs le soir :
a) Sont en faveur d’une thrombose cave supérieure
b) Orientent vers une thrombose cave inférieure
c) Evoque un syndrome néphrotique
d) Evoque un lymphoedème
CM 15) La natrémie nous renseigne sur :
a) Le contenu en sodium du compartiment extra cellulaire
b) Le rapport entre la quantité de sodium extracellulaire et le volume d’eau extra cellulaire
c) L’hydratation intra cellulaire
CS 16) L’hyponatrémie est :
a) Une hyperhydratation extracellulaire
b) Une deshydratation intracellulaire
c) Une hyperhydratation intracellulaire
d) Une deshydratation extra cellulaire
CS 17) La symptomatologie de l’hyponatrémie est liée à :
a) L’importance de l’hyponatrémie
b) La rapidité de l’installation de l’hyponatrémie
c) L’état d’hydratation extra cellulaire
CM 18) Quels examens sont utiles pour évaluer l’hyponatrémie
a) L’osmolalité plasmatique
b) L’osmolalité urinaire
c) La concentration urinaire en sodium d) La bandelette urinaire
CM 19) Le bilan suivant : Na (p) :110 mmol/l Osmolalité plasmatique : 230 mosm/kg Osmolalité urinaire : 760 mosm/kg Na (u) : 12 mmol/l Peut correspondre à :
a) Un SIADH
b) Un potomane
c) Un abus de diurétique thiazidique
d) Une hyponatrémie de déplétion
CS 20) Quel est l’examen le plus pratique pour mesurer la fonction rénale en pratique courante ?
a) la créatininémie
b) la clairance de la créatine mesurée ( U.V) P
c) la clairance de la créatinine selon Cockroft et Gault Cl créat = (140 – âge) X Poids X Cst Créat
d) la clairance de l’inuline
####SIKI####
a) On parle d’insuffisance rénale sévère si la clairance de la créat est < 30 ml/mn
b) On parle d’insuffisance rénale modérée si la clairance de la créat est < 50 ml/mn
c) On parle d’insuffisance rénale terminale si la clairance de la créat est < 15 ml/mn
2) Le meilleur moyen d’apprécier le débit de filtration glomérulaire en pratique courante donc la valeur de la fonction rénale est :
a) La clairance de la créatinine mesurée UVP
b) La clairance de la créat selon Cockroft
c) La créatininémie
d) La clairance de l’inuline
e) La mesure de la diurèse
3) La prévalence de l’insuffisance rénale chronique terminale en France :
a) Augmente de 3 à 5% /an
b) Est évaluée à 45000 patients
c) Comprend les patients dialysés et greffés
d) Nécessite des mesures de prévention
4) L’incidence de l’insuffisance rénale chronique terminale :
a) Est d’environ 700 nouveaux cas / an en France
b) Est d’environ 300 nouveaux cas /an en Lorraine
c) Augmente d’année en année
d) Est liée à l’augmentation des maladies vasculaires et diabétiques
5) On recherche une insuffisance rénale chronique si :
a) injection de produits de contraste b) HTA
c) Diabète
d) Insuffisance cardiaque
e) Marqueurs rénaux : protéinurie, hématurie
6) Qui dépiste une insuffisance rénale chronique :
a) Le médecin traitant
b) Le cardiologue
c) L’anesthésiste
d) Le laboratoire
e) L’endocrinologue
f) Le néphrologue
7) les affirmations suivantes sont exactes
a) 20 à 35% des patients consultent un néphrologue pour la première fois moins de 6 mois avant la première dialyse
b) Plus 30% des patients ont une créat > 500 µmol/l (56.5mg/l) à la première consultation néphro
c) Il n’y a aucun bénéfice à consulter un néphrologue avant d’avoir besoin de dialyse
d) Le néphrologue intervient le plus tard possible pour ne pas inquiéter le patient
8) On prend maintenant en charge l’IRC le plus tôt possible:
a) Car la néphrologie n’est utile que pour dialyser
b) Car ces patients ne peuvent être suivis que par des néphrologues
c) Pour ralentir la progression de l’insuffisance rénale
d) Pour préparer l’épuration extra rénale si nécessaire
e) Pour diminuer le coût
9) L’insuffisance rénale modérée est un facteur de risque vasculaire
a) Vrai
b) Faux
10) Après une perte néphronique, la suppression du mécanisme lésionnel initiale suffit à stopper la progression de l’atteinte rénale.
a) Vrai
b) Faux
####SIKI####
a) La déshydratation
b) L’apport excessif de protéines
c) Le tabac
d) L’exercice physique
e) Les dyslipidémie
f) L’HTA
g) La protéinurie
h) L’ethnie
i) La sédentarité
j) L’anémie
12) Les actions suivantes sont néphroprotectrice :
a) Diminution de la ration protéique
b) Blocage du SRAA (système Rénine Angiotensine Aldostérone)
c) Hyperhydratation
d) Déshydratation
e) Correction de l’anémie
f) Suivi néphrologique précoce
g) Contrôle strict de la TA
h) Diminution de la protéinurie
13) Pour diminuer la protéinurie, je prescrit :
a) Des thiazidiques
b) Des bêta bloquant
c) Des inhibiteur calciques
d) Des IEC
e) De antagonistes des récepteurs de l’angiotensine II
14) Dans la néphropathie diabétique de type II, il est légitime de prescrire des antagonistes des récepteurs de l’angiotensine II après :
a) Avoir vérifié l’ absence ce rétinopathie
b) Sous surveillance du sodium
c) Sous surveillance de la créatinine et du potassium
d) Si la créat n’augmente pas plus de 20% après la mise en route du traitement
15) Les IEC (ramipril) permettent de retarder le recours à la dialyse de 3 ans après 6 ans de traitement
a) vrai
b) faux
Les IEC (ramipril) réduise le risque d’évolution vers une protéinurie supérieure à 3g/J
a) vrai
b) faux
16) Retrouver les recommandations concernant l’apport quotidien en protéines :
a) 0,6 à 0,8 g/Kg/j
b) 0,8 à 1,2 g/Kg/j
c) 1,3 g/Kg/j
Dialyse péritonéale
Hémodialyse
Insuffisance rénale chronique
17) l’excès de lait entraîne chez l’insuffisant rénal chronique :
a) Une hypocalcémie
b) Une hyperphosphrémie
c) Une augmentation de l’urée
d) Une augmentation de la créat
18) Si l’insuffisance rénale est pré terminale, on s’orientera vers l’hémodialyse :
a) Car il existe une cardiopathie sévère
b) Car il existe de nombreuse cicatrices abdominales
c) Car le patient est anurique
d) Et on protégera le capital veineux d’un bras pour la création d’une fistule artério veineuse
e) Et on vaccinera le patient précocement contre l’hépatite B
f) Si le patient est jeune et autonome
19) Quelque soit l’âge du patient on doit :
a) Se poser la question sur l’origine de la néphropathie
b) Envisager un traitement spécifique de la néphropathie si c’est possible
c) Ralentir la progression de l’insuffisance rénale avec des moyens non spécifiques
d) Préparer le mode d’épuration extra rénale avant d’en avoir besoin
20) La mise en dialyse se décide en cas d’insuffisance rénale terminale :
a) Sur les chiffres biologiques exclusivement
b) S’il existe une surcharge cardiovasculaire résistante au traitement
c) Si l’hyperkaliémie s’accompagne de signes électriques à l’ECG
d) S’il existe une intolérance alimentaire
####SIKI####
⦁ se développe aux dépens de la prostate caudale
⦁ est une hypertrophie bénigne de la prostate
⦁ est un état précancéreux
⦁ doit être opéré dès qu’il est volumineux
⦁ entraîne parfois une insuffisance rénale
⦁ est développé à partir des glandes péri-urétrales, sus-montanale.
⦁ est une tumeur bénigne qui dégénère parfois
⦁ est rare après 70 ans
⦁ est apprécié par le toucher rectal
⦁ se manifeste souvent par une incontinence d’urines
⦁ l’étude du résidu postmictionnel
⦁ l’ECBU
⦁ l’échographie prostatique
⦁ l’échographie rénale
⦁ le dosage de la créatininémie
⦁ sténose de l’urètre prostatique
⦁ sténose de l’urètre antérieur
⦁ incontinence d’urines
⦁ impuissance
⦁ éjaculation rétrograde
⦁ UIV
⦁ Cystoscopie
⦁ urétéro-pyélographie rétrograde (UPR)
⦁ échographie prostatique
⦁ artériographie hypogastrique
⦁ une hématurie massive
⦁ une sténose du col vésical
⦁ une incontinence d’urine
⦁ une fistule recto-urétrale
⦁ une infection
⦁ de rétention vésicale complète
⦁ d’insuffisance rénale
⦁ d’incontinence par regorgement
⦁ de lithiase urétérale
⦁ de lithiase prostatique
⦁ une infection urinaire
⦁ une dysurie
⦁ une hématurie
⦁ une rétention aiguë d’urines
⦁ une incontinence
⦁ Le cancer de prostate
⦁ La prostatite chronique
⦁ L’hypertrophie bénigne de la prostate
⦁ La sténose uréthrale
⦁ L’abcès de la prostate
⦁ Traitement médical par alpha-bloquants
⦁ Sonde à demeure
⦁ Adénomectomie trans-vésicale
⦁ Prostatectomie radicale
⦁ Résection trans-uréthrale de l’adénome
La prostate périphérique
La prostate centrale
La zone fibro-musculaire antérieure
La zone de transition
La capsule prostatique
⦁ Un jet faible
⦁ Une hématurie terminale
⦁ Une dysurie
⦁ Une pollakiurie
⦁ Des impériosités mictionnelles
⦁ Une prostate augmentée de volume
⦁ Une prostate lisse et régulière
⦁ Une prostate de consistance élastique
⦁ Un nodule prostatique dur au niveau d’un lobe
⦁ Une prostate indolore
⦁ Interrogatoire avec calcul du score IPSS
⦁ Une urographie intraveineuse
⦁ Une fibroscopie vésicale
⦁ Analyse des urines
⦁ Dosage du PSA (Antigène spécifique de la prostate)
⦁ Un débit maximum (Qmax) supérieur à 15 ml/seconde
⦁ Une courbe en cloche
⦁ Un temps de miction supérieur à 60 secondes
⦁ Un volume urinaire inférieur à 150 ml
⦁ Un temps de Qmax supérieur à 30 secondes
####SIKI####
⦁ Une surélévation du plancher vésical
⦁ Une empreinte prostatique du bas fond vésical
⦁ Une vessie de lutte multi-diverticulaire
⦁ Des uretères en hameçon
⦁ Une urétéro-hydronéphrose unilatérale et asymétrique
⦁ Résection trans-urétrale de la prostate
⦁ Médical à base d’alpha-bloquants
⦁ Adénomectomie trans-vésicale + diverticulectomie
⦁ De type endoscopique par Laser
⦁ Sondage vésical intermittent
⦁ De type chirurgical par taille vésicale
⦁ De type endoscopique par résection
⦁ De type endoscopique par laser
⦁ Par sondage vésical intermittent
⦁ Médical à base de décongestionnants pelviens
⦁ Traitement médical à base d’alpha bloquant
⦁ Sondage vésical à demeure
⦁ Résection endoscopique de la prostate + lithotricie endovésicale
⦁ Adnomectomie par taille vésicale + ablation du calcul
⦁ Prostatectomie radicale + ablation du calcul vésical
⦁ La résection endoscopique
⦁ L’adénomectomie à ciel ouvert
⦁ L’incision trigono-cervico-prostatique
⦁ L’endoprothèse urétrale
⦁ Médical à base d’alpha bloquants
⦁ Une impuissance définitive
⦁ Une anéjaculation
⦁ Une diminution de l’orgasme
⦁ Une éjaculation rétrograde
⦁ Une diminution du désir sexuel
⦁ Un débit maximal entre 20 et 30 mL/s
⦁ Une courbe aplatie
⦁ Un débit maximal inférieur à 10 mL/s
⦁ Un temps de miction diminué
⦁ Un temps de miction allongé
⦁ Une hypertrophie détrusorienne
⦁ Un diverticule vésical
⦁ Une lithiase de stase
⦁ Un résidu postmictionnel
⦁ Toutes ces réponses sont vraies
25- Quelles règles hygiéno-diététiques peuvent être instaurées dans le cadre d’une HBP ?
⦁ Augmentation des apports hydriques le soir
⦁ Éviter la caféine et l’alcool
⦁ Traitement d’une constipation associée
⦁ Arrêt des traitements favorisant la dysurie (anticholinergiques, neuroleptiques…)
⦁ Toutes ces réponses sont vraies
26- Un patient de 65 ans traité par (-bloquants présente une dysurie et une pollakiurie qui s’aggravent avec, au toucher rectal un adénome souple de 40 g, et un résidu post-mictionnel de 100 cc. Le taux de PSA est égal à 4 ng/ml. Vous proposez :
⦁ traitement médical avec association d’un inhibiteur de la 5 (-réductase
⦁ résection endouréthrale de prostate
⦁ adénomectomie par voie haute
⦁ prostatectomie radicale
⦁ section endoscopique du col vésical
27- Parmi les symptômes suivants, l’un n’est pas évocateur du diagnostic d’hypertrophie bénigne de prostate. Lequel ?
⦁ impériosité mictionnelle
⦁ pollakiurie diurne
⦁ pollakiurie nocturne
⦁ hémospermie
⦁ faiblesse du jet urinaire
28- Parmi les complications suivantes possibles, une n’est pas en rapport avec le traitement endoscopique de l’hypertrophie bénigne de prostate (résection endo-urétrale). Laquelle ?
⦁ sténose de l’urètre
⦁ éjaculation rétrograde
⦁ incontinence urinaire
⦁ dysfonctionnement érectile
⦁ syndrome de réabsorption
29- Quelles sont les complications les plus fréquentes après résection endo-uréthrale de prostate ?
⦁ impuissance
⦁ incontinence urinaire
⦁ éjaculation rétrograde
⦁ sténose du méat
⦁ sténose de l’urètre bulbaire
30- Parmi les examens suivants, quels sont ceux indispensables dans le bilan d’un patient consultant pour la première fois, présentant des symptômes prostatiques, et dont l’examen clinique met en évidence une hypertrophie bénigne de prostate ?
⦁ dosage de créatininémie
⦁ urographie intraveineuse
⦁ bandelette urinaire
⦁ numération-formule sanguine
⦁ débimétrie et recherche de résidu post-mictionnel
31- Quels sont les traitements validés dans l’hypertrophie bénigne de la prostate ?
⦁ a bloquants
⦁ b bloquants
⦁ extraits de plante
⦁ anti-androgènes
⦁ inhibiteur de la 5 a –Reductase
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