Cours PDF résumés : THERAPEUTIQUE OCULAIRE
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THERAPEUTIQUE LOCALE
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les collyres : action immédiate et relativement brève,
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les mydriatiques :
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les parasympatholytiques :
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atropine : CI dans le glaucome (amine : uniquement)
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délais 10-20minutes, dure 6-8jrs + paralysie de l’accommodation
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effets secondaires : crise de glaucome chez sujet prédisposé, allergie, sécheresse de la bouche, tachycardie, hyperthermie, délire
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scopolamine : si intolérance à l’atropine
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hématropine : semblable à l’atropine avec durée d’action ne dépasse pas 24h
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mydriaticum : mydriatique fugace, utilisé en consultation
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les sympathomimétiques :
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néosynéphrine : utiliser pour renforcer l’action de l’atropine ou mydriaticum
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les myotiques : utilisés dans le glaucome (amine : uniquement)
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les parasympathomimétiques :
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pilocarpine : le plus classique, durée d’action jusqu’à 12h
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carbacholine, glaucostat
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les anticholinestérasiques :
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réserpine : la plus utilisée
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les antiseptiques :
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nitrate d’argent : prophylaxie des conjonctivites gonococciques du nouveau né
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sulfate de zinc : blépharo-conjonctivite angulaire
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bleu de méthylène : le plus utilisé des colorants
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les sulfamides :
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actifs contres la plupart des germes conjonctivaux, seuls ou en association avec d’autres ATB
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les antibiotiques :
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pénicilline, néomycine, chloramphénicol, rifamycine, cycline, streptomycine (affections tuberculeuses)
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les antiviraux :
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acyclovir, IDU, ICD, ARA, vitrophta…
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collyres corticoïdes :
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excellents dans les atteintes inflammatoires et allergiques
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effets secondaires locaux :
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freinent la cicatrisation
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favorisent la dissémination des maladies virales et mycosiques
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augmentation de la tension oculaire chez les sujets prédisposés
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CI : kératites
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indications amine : utilisés dans toutes les conjonctivites bactériennes et adénovirus
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collyres anesthésiques :
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utilisation hospitalière
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novosine, lignocaïne, tétracaïne
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les pommades ophtalmiques :
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tous les collyres précédents sont disponibles en pommade
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avantage des pommades : véhicule retard + diffusion lente (le soir, diminuer la fréquence…)
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inconvénients : plus allergisants que les collyres
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les gels antiviraux trouvent la meilleure indication
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injections sous conjonctivales :
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permet d’obtenir des concentrations ↑ à celles des collyres ou de la médication générale
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injection d’ATB, CTC, vasodilatateur (brulures), adrénaline (synéchies)
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injections intramérullaires :
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injection de substance active directement dans la chambre antérieure
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ex : CTC + parfois adrénaline dans les iridocyclites
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injections intravitréennes :
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dans des affections dramatiques, injection de CTC, ATB, antiviraux
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ex : rétinite nécrosante à CMV chez le sidéen, ou CI à la voie générale
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THERAPEUTIQUE GENERALE
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les antibiotiques :
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la pluparts des ATB sont utilisés en ophtalmologie
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la pénétration de la barrière hémato-oculaire est d’autant plus facile que
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ATB de BPM
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Pas d’azote dans la formule
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Corps Liposoluble
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les corticoïdes :
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souvent utilisé en flash dans les affections inflammatoires chroniques ( en cas de poussées)
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flash solumédrol pdt 10-15jrs puis relais oral
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uvéites chroniques
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maladie de Behcet
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neuropathies optiques
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ophtalmopathies basedowiennes
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hypotonisants généraux :
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acétazolamide : inhibiteur de l’anhydrase carbonique => ↓ sécrétions de l’humeur aqueuse, il faut compenser les fuites potassiques qu’il peut occasionner
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mannitol en IV : délais d’action 1h
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immunosuppresseurs :
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chloraminophène, cyclophosphamide, cyclosporine A
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